L ADEME et ses magouilles sous l Heure d'ete des vaincus de 1945
Les conflits d sont avérés et les particuliers payent pour l’industrielle qui est le pollueur payeur
La proximité de l’Agence avec l’administration centrale explique, pour partie, que l’ADEME se soit vu confier, par exemple, la gestion de certains « fonds Grenelle ». C’est le cas notamment de la communication sur le Grenelle (près de 80 M€ sur trois ans). C’est également le cas du plan « bruit », bien que ses contributions repartent principalement vers l’Etat, via des fonds de concours. Les parlementaires se trouvent ainsi privés de contrôle sur des dépenses qui auraient trouvé leur place dans le budget général, d’autant plus que le financement par l’Etat des activités de l’ADEME prend de plus en plus la forme d’affectatio de recettes fiscales. Parce que la mission de l’Agence n’apparaît pas toujours clairement, le partage des tâches dans certains secteurs reste flou. Par exemple, les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air sont subventionnées par l’ADEME pour leurs investissements, mais par les nouvelles directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement DREAL) pour leur fonctionnement. De même, l’Agence peut avoir la tentation de se positionner sur des sujets émergents en rapport avec son champ d’intervention, mais dans lesquels son rôle resterait à définir. C’est particulièrement le cas de la précarité énergétique où l’ADEME peut certes alimenter les réflexions grâce à son expertise sur les économies d’énergie, mais où les leviers de l’action préventive relèvent de l’ANAH, et ceux de l’action curative des fonds de solidarité pour le logement (FSL) financés par les départements Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) recommande, dans un nouvel avis transmis à la direction générale de la santé
le 18 janvier dernier, de privilégier désormais le port de masques de catégorie 1, dont le pouvoir filtrant est supérieur à 90 %, qu’ils soient en tissu ou chirurgicaux, et de mettre de côté les masques fabriqués artisanalement. La DGPR nous a indiqué que le ministère de la Transition écologique ADEME encourageait bien le port de masques en tissu pour les citoyennes et citoyens réutilisables homologués de niveau 1. C’est également le cas du ministère du travail qui indique dans son protocole de lutte contre la covid-19 à destination des entreprises, actualisé le 6 janvier dernier, que les masques doivent être « de préférence réutilisables ». Borne a été la Sinistre de la pollution de l’Air avec l ADEME Bref ces gens la n ont que faire de votre santé...
La vaccination de masse est illégale en Europe
- Code civil français :
Article 16-1 : « chacun a le droit au respect de son corps. Le corps est inviolable »
- Résolution 2361 du Conseil de l’Europe (28 janvier 2021) : avis consultatif : l’Assemblée demande instamment aux États membres et à l’Union européenne :
Article 731 : « de s’assurer que les citoyennes et les citoyens sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement »
Article 732 : « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risque potentiel pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner »
- Code de déontologie médicale, article 36 :
Article R4127-36 du Code de santé publique: « le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposé, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences »
- Code de Nuremberg (1947) : « le consentement du sujet humain est absolument essentiel. Le pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique »
- Déclaration de Genève pour les médecins (1948) : « je respecterai l’autonomieet la dignité de mon patient. Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte. Je garderai le respect absolu de la vie humaine, dès la conception. Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci »
- Déclaration d’Helsinki (1996) signée par 45 pays dont la France :
Article 25 : « la participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé »
6) Convention d’Oviedo (1997) signée par 29 pays dont la France) :
Article 5 : « une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement »
- Loi Kouchner (4 mars 2002) :
Article 111-4 : « toute personne prend avec le professionnel de santé et compte tenu des informations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »
- Arrêt Salvetti (2002) : aucun traitement médical n’est obligatoire au sein de l’Union européenne : « en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales » (arrêt Salvetti c/Italie-CEDH décision du 9 juillet 2002 ; n°42197/98)
Conflit d’intérêts avec l’Agence européenne du Médicament
On s’est ému récemment que l’Agence européenne du médicament (et les emplois qu’elle draine avec elle) déménage de Londres à Amsterdam plutôt que chez nous en France. D’autres motifs d’indignation sont pourtant à l’ordre du jour : elle a été une nouvelle fois pointée du doigt pour son manque de transparence et ses possibles conflits d’intérêts. Comme la révélé la revue Prescrire, l’EMA propose aujourd’hui en toute opacité aux firmes pharmaceutiques des « conseils scientifiques », parfois facturés, pour les aider à faire passer leur dossier de demande d’autorisation de mise sur le marché de médicaments. Une occurrence parmi d’autres d’une longue tradition de possibles conflits d’intérêts qui jettent un doute sur l’indépendance de cette instance d’évaluation.
En 2010, l’Agence européenne du médicament s’était déjà fait taper sur les doigts par le Parlement européen, qui dénonçait à l’époque une « gestion désastreuse des conflits d’intérêts », en s’appuyant sur l’audit réalisé en 2009 par la Commission européenne.
À plusieurs reprises, en effet, des employés de l’EMA se retrouvaient « chefs de projet » pour l’autorisation de mise sur le marché de médicaments commercialisés par des laboratoirespour lesquels ils avaient travaillé auparavant, dont ils possédaient des actions boursières, ou pour qui travaillait leur conjoint. Il arrivait également que des experts ayant participé à l’évaluation d’un médicament ne soient pas enregistrés dans le fichier d’experts de l’EMA, ou qu’il y ait des différences entre les documents papiers et le contenu des fichiers informatiques. Et pour les 11 cas qui ont révélé un risque élevé de conflit d’intérêts et de renvois d’ascenseur, aucune suite n’a été donnée, contrairement à ce qui est prévu par le règlement de l’EMA.
Le Médiateur européen s’est inquiété de cette activité et demande de la transparence sur ces activités, car l’hypothèse de possibles compromis et jeux d’influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA, se pose.
Il se pose d’autant plus que la pratique du pantouflage, qui consiste pour les experts de l’EMA à aller travailler après leurs mandats comme consultants très bien rémunérés pour les laboratoires pharmaceutiques, est une pratique courante et dénoncé de longue date et avec force par des associations comme le Formindep, Health Action International, ISDB, Corporate EU Observatory ou ALTER-EU.