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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
26 janvier 2018

Votre sante en danger pour la nouvelle mesure en Velo en ville

Cen'est qu'un au revoir -Andre Rieu-Concert-Auld Lang Syne

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L'heure d’été de petain de 1942 favorise la pollution a l'Ozone + dioxyde d'azote et acide nitreux

Cette pollution est un danger pour la santé et faire du sport est un risque

Inhaler de la pollution réduit sa vie


Pollution de l'air : quels risques pour quels niveaux de protection ?

Les particules fines sont classées cancérogènes par l'Organisation mondiale de la santé. Malgré leur dangerosité, la France dépasse régulièrement les normes maximales.



Deux catégories de particules sont particulièrement dangereuses : les PM10, d'un diamètre inférieur à 10 micromètres (10 µm, soit 10 millièmes de millimètre) et les PM2,5, dont le diamètre est inférieur à 2,5 micromètres et peuvent, en raison de leur très petite taille, facilement pénétrer profondément dans les voies respiratoires. La liste des maux qu'elles provoquent est longue : bronchite chronique, asthme, cancer du poumon, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde ou encore problèmes placentaires.




Effets sur la santé

Dans l’air, le NO2 a les effets suivants:

  • C’est un gaz toxique entraînant une inflammation importante des voies respiratoires à des concentrations dépassant 200 μg/m3, sur de courtes durées.

    En france le seuil est de 400 µg/m3 d'air et préservé par les amis de la cagoule de Hulot

  • C’est le principal agent responsable de la formation des aérosols de nitrates, qui représentent une proportion importante des PM2.5 et d’ozone, en présence de rayons ultraviolets.

    • Valeurs recommandées

40 μg/m3 moyenne annuelle / 200 μg/m3 moyenne horaire. La valeur guide actuelle de l’OMS de 40 μg/m3 (moyenne annuelle), fixée pour protéger le public des effets du NO2 gazeux sur la santé, reste inchangée par rapport aux directives précédentes

  • Faire du sport dans un environnement pollué : quels risques ?

La pollution atmosphérique est un cocktail de molécules présent dans l’air que l’on respire. Étant donné qu’en courant on consomme plus d’air qu’au repos (5-10 fois plus en endurance), on absorbe donc plus de polluants qu’au repos. De plus, en courant, on respire le plus souvent par la bouche, donc l’air n’est pas filtré par le nez. Voilà pourquoi nous sommes d’autant plus exposés à la pollution quand on court, par rapport à la marche.







Se pencher sur les statistiques en matière de déplacements donne des indications claires sur les modes de transports à privilégier.



Une « loi d’orientation des mobilités » est promise par le gouvernement pour le premier semestre 2018, sans que l’on sache encore exactement ce qu’elle contiendra. Dans cette réflexion, une chose est sûre cependant : pour bien adapter les politiques, il faut s’intéresser de près à la distance que permet de parcourir chaque déplacement

 

En France, 98 % des déplacements relèvent de ce que l’on appelle la mobilité « locale » (qui intègre tous les déplacements inférieurs à 80 kilomètres). Parmi ces déplacements locaux, l’essentiel se fait à petite distance ; en effet, 35 % ne dépassent pas 2 kilomètres et 60 % font moins de 5 kilomètres.

Pourquoi cette observation est-elle cruciale ? Parce que 5 kilomètres c’est 20 minutes à vélo.

 

Transformer nos modes de déplacement

C’est donc, en France, une part considérable des déplacements qui pourrait être basculée vers la marche et le vélo… si du moins ces modes n’étaient pas, comme c’est encore généralement le cas aujourd’hui, chassés de la voirie par un aménagement tourné vers les seules voitures. Ainsi, à Paris, la moitié de la voirie est-elle consacrée à l’automobile, qui n’assure pourtant que 10 % des déplacements des habitants. Une situation d’autant plus absurde qu’en agglomération les voitures sont utilisées à 40 % pour ne faire que des trajets inférieurs à 3 kilomètres (soit l’équivalent de 10 minutes à vélo).

On pourrait avancer que tout le monde n’est pas capable de faire du vélo. Tout le monde, peut-être pas… mais les 27 millions de vélos français ont bien un ou une propriétaire capable de les utiliser ! Cela fait déjà une belle base, et le parc automobile français n’est d’ailleurs pas beaucoup plus développé avec ses 32 millions de voitures.

On pourrait également objecter qu’il faut penser d’abord aux gens qui ont vraiment besoin de leur voiture, c’est-à-dire ceux qui l’utilisent pour aller travailler. Mais, là aussi, on ne saurait ignorer que 60 % des déplacements domicile-travail inférieurs à 3 kilomètres se font en voiture, alors même qu’ils seraient tout aussi rapidement effectuables à vélo, dans la mesure où la vitesse moyenne d’une voiture en milieu urbain est similaire (et en fait légèrement inférieure) à celle d’un vélo.

 

Une question d’équité sociale

Un tel report de la voiture vers la marche et le vélo n’entraînera pas seulement de considérables gains en matière de pollution, et donc d’importantes économies en termes de coûts sanitaires ; rappelons ici que la pollution aux particules fines provoque à elle seule chaque année en France la perte de 500 000 années de vie.

Il y va aussi d’une exigence d’équité sociale. En effet, à rebours de la présentation usuelle des mesures pro-vélo comme constituant des politiques pro-bobos, plus les ménages sont pauvres, plus la part dans leur mobilité des déplacements inférieurs à 5 kilomètres (et donc assurables à vélo) est importante ; et plus également la marche et le vélo représentent une proportion notable de leurs déplacements.

Pour le quart le plus pauvre de la population française, c’est ainsi jusqu’à 67 % des déplacements qui font moins de 5 kilomètres (contre 53 % seulement chez le quart le plus aisé), et les modes actifs représentent 37 % de leurs déplacements, contre seulement 20 % pour le quart le plus riche. Réaménager la voirie au profit de la marche et du vélo, et donc nécessairement au détriment des voitures, est ainsi non seulement une politique économiquement rationnelle mais aussi une politique socialement juste.

La première exigence d’une loi sur la mobilité, c’est donc de déterminer sa logique en fonction des distances qui caractérisent le plus grand nombre de déplacements : en fonction donc, aussi bien, des formes de mobilité qui sont les mieux adaptées à ces distances.

Mais on ne saurait s’arrêter là : plus un déplacement se fait sur une distance restreinte, plus il est économe en temps, en énergie et en argent ; plus un déplacement est court, plus de ce fait il est efficace. Ce sont donc les déplacements à distance mesurée et les modes, actifs, qui leur sont le mieux adaptés, que se doit de privilégier toute loi sur la mobilité.

 

 

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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