Seuil a la protection des Végétaux l Etat Français explose les seuils
Parlement européen
2019-2024
Commission des pétitions
26.10.2020
COMMUNICATION AUX MEMBRES
Objet: Pétition nº 0193/2012, présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe», sur les seuils visés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe, ainsi que la protection insuffisante de la santé publique et de l’environnement à cet égard
. Résumé de la pétition
Le pétitionnaire exprime son mécontentement quant aux valeurs cibles et aux objectifs à long terme fixés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe. Il critique aussi vertement la manière dont la France applique les dispositions en vigueur dans ce domaine. Il invite dès lors la Commission à prendre des mesures à l’encontre de la France et à appliquer des seuils plus sévères.
2. Recevabilité
Déclarée recevable le 13 juin 2012. La Commission a été invitée à fournir des informations (article 227, paragraphe 6, du règlement intérieur) (ancien article 216, paragraphe 6, du règlement intérieur).
À la suite du renvoi de la France devant la Cour de justice de l’Union européenne par la Commission en raison des dépassements des valeurs limites de NO2 fixées par la directive 2008/50/CE, la Cour de justice de l’Union européenne a rendu un arrêt confirmant la condamnation de la France pour manquement aux obligations issues de cette directive. Dans le même sens, le bilan de qualité des directives concernant la qualité de l’air ambiant, achevé en novembre 2019, a conclu que la directive avait donné lieu à des règles applicables et qu’il était important d’adopter des mesures d’exécution pour réduire la pollution atmosphérique. Malmenés par la sécheresse et les canicules de l’an passé, des arbres risquent le coup de grâce ce printemps si les sols ne sont pas assez humides et les nappes d’eau superficielles assez rechargées C’était un spécimen qui avait fière allure, probablement âgé de 50 ans. Un chêne pédonculé en surplomb de la rivière la Leyre, à quelques encablures du bourg landais de Pissos. En octobre dernier, il s’est fendu en deux à la base et a basculé vers l’autre rive, laissant son jumeau survivre seul à quelques mètres de là...
l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME) des Amis de Pertain , de plonger dans un dossier spécial "Pollution de l'air". On vous explique pourquoi le brûlage des déchets du jardin, que l’on appelle aussi "déchets verts", est interdit et quelles alternatives s’offrent à vous pour vous en débarrasser. Entretenir son jardin génère des déchets. Entre la tonte de la pelouse, les tailles de haies, d’arbustes et d’arbres, ou encore les feuilles mortes, une personne en produit 160 kilos chaque année selon l’ADEME des amis de Petain . Pour s’en débarrasser, certaines personnes les brûlent dans leur jardin : un million de tonnes de déchets verts seraient ainsi brûlés chaque année. Cette pratique largement répandue est pourtant interdite depuis 2011. Trop peu de personnes savent que la combustion de ces déchets est très néfaste pour la santé et l’environnement : elle libère dans l’air des substances toxiques telles que des particules fines, des oxydes d’azote, des hydrocarbures aromatiques polycycliques, du monoxyde de carbone, des composés organiques volatils ou encore des dioxines. Et cette pollution est augmentée si les déchets verts sont brûlés avec d’autres déchets comme le plastique, le bois traité, etc. (ce qui arrive malheureusement parfois). Brûler 50 kg de végétaux à l’air libre émet autant de particules fines que 13 000 km parcourus par une voiture diesel récente...
Ecobuage : pourquoi les montagnes continuent à flambe
Cela fait 5 000 ans que ça dure. Chaque hiver, les éleveurs pyrénéens mettent délibérément le feu aux pentes des montagnes. Le brûlage des terres agricoles - écobuage en termes techniques - peut avoir des conséquences graves. Quand le feu s'échappe, il conduit à la destruction de forêts et, parfois, à la perte de vies humaines. En 2000, cinq randonneurs sont morts, piégés par un feu pastoral illégal à Estérençuby, dans les Pyrénées-Atlantiques. Ce drame n'a rien changé. Cet hiver, les Pyrénées ont à nouveau flambé. Des milliers d'hectares ont été parcourus par le feu, en particulier pendant le premier week-end de février, malgré l'interdiction décrétée à cause d'un vent violent. Plusieurs maisons ont été menacées. Un agriculteur est mort dans les Pyrénées-Atlantiques. Il pratiquait un écobuage légal et contrôlé. Les derniers feux de la saison ont eu lieu jusqu'à la fin avril, laissant dans le paysage d'éphémères taches sombres et des collines noircies. Faut-il perpétuer cette pratique ancestrale ? Didier Buffière, défenseur infatigable de l'écobuage, chargé du développement rural à la direction départementale de l'agriculture (DDA) des Hautes-Pyrénées, est habitué à l'incompréhension des urbains. Il énumère les arguments. « Le feu est aussi essentiel pour les éleveurs que la taille de la vigne ou des rosiers, explique-t-il. Faire brûler un hectare prend un quart d'heure et ne coûte rien. Le débroussaillage mécanique d'un hectare coûte 25 000 à 30 000 francs [3 800 euros à 4 600 euros], et il n'est pas possible partout. » Les estives, pâturages collectifs escarpés, sont la plupart du temps brûlées, afin de se débarrasser des ronces et des genêts, qui poussent au détriment de la bonne herbe.
i brûler tontes de gazons, pailles, branches et feuilles mortes peut paraître bénin, les fumées de ces déchets verts qui se combinent avec celles issues d’autres sources de pollution, constituent un cocktail toxique pour les poumons. Un phénomène encore pris à la légère par les autorités. Une épaisse fumée noire stagne au-dessus de la vallée du Rhône. En cette matinée du 8 avril, le mercure est descendu jusqu’à −7 °C et l’air est irrespirable. Témoignage de la bataille perdue par les arboriculteurs et les viticulteurs contre le gel. Pour réchauffer l’air et sauver les bourgeons — développés prématurément en raison de températures proches des 25 °C une semaine plus tôt — les producteurs ont brûlé de la paille et allumé des torches au pied des vergers. Si la technique n’est pas nouvelle, son ampleur a provoqué un important pic de pollution, des plaines viticoles du Vaucluse jusqu’au centre-ville de Lyon. La concentration des polluants était telle que les capteurs d’AtmoSud, association mandatée par l’État pour contrôler la qualité de l’air de la région Paca (Provence-Alpes-Côte d’Azur), ont disjoncté. « On n’a pas tout de suite compris ce qu’il se passait », raconte, encore stupéfait, Stéphane Castel, responsable innovation et communication de l’organisme. « À Carpentras et Avignon, nos stations ont enregistré des résultats aberrants. Nous avons ensuite fait le lien avec l’épisode de gel. » Les capteurs de leurs homologues d’Atmo Auvergne-Rhône-Alpes ont enregistré des données similaires : une concentration de PM10 (particules en suspension dans l’air d’un diamètre inférieur à 10 micromètres) dans l’atmosphère jusqu’à 297 µg/m³ à Romans-sur-Isère (Drôme), soit largement au-dessus du seuil d’alerte pollution situé à 50 µg/m³.
Les feux de cheminée provoquent aussi des effets sur la qualité de l’air, mais avec un bon insert et un bois bien sec, « on peut diviser, par cent, voire mille, les effets sur la qualité de l’air par rapport à des foyers ouverts », dit Stéphane Castel, qui indique que brûler 50 kg de déchets verts humides à l’air libre émet autant de particules qu’une voiture à moteur diesel moderne qui parcourt 13 000 km. Une étude de l’Ademe des amis de Petain , publiée en 2016, note que « les conséquences de la pollution atmosphérique [du brûlage à l’air libre des déchets verts] peuvent être constatées […] parfois à des centaines, voire des milliers de kilomètres, des lieux d’émission des polluants », rappelant qu’une fois émises, les particules polluantes peuvent en former d’autres par « réactions physicochimiques et photochimiques » et participer ainsi à la formation de pluies acides, à l’augmentation des nitrates dans le sol, ou encore à l’émission de gaz à effet de serre tel que le méthane (CH4). Le rapport affirme que les effets de ces fumées sur la santé sont similaires à ceux provoqués par les produits pétroliers « tant dans la nature que dans la fréquence des troubles engendrés (affection respiratoire, cancer du poumon
Depuis plus de 30 ce journaleux fait du boniment contre la république pour les amis de Pétain de l ADEME. La pollution photochimique est la première source qui tue les arbres Ce journaleux est un disciple de l'Etat français et des âneries de ses amis de Pétain de l ADEME La France a été condamnée par la Cour des justices de l'Union européenneAPRÈS LE NO2, LES PM10 : LA FRANCE CONDAMNÉE PAR LA COUR DE JUSTICE DE L’UE POUR NON-RESPECT DE LA DIRECTIVE SUR LA QUALITÉ DE L’AIR
Recommandation 1432 (1999)
a. à la pollution accrue de l’air par les oxydants photochimiques et à ses conséquences pour la santé;
b. à la rupture des rythmes biologiques d’une part importante de la population et aux problèmes physiologiques et psychologiques qui en résultent;
c. aux conditions de travail et de vie familiale et sociale des travailleurs de secteurs dépendant des cycles naturels;
L'heure d'été pour la France a été imposée en 1942 par le maréchal Pétain contre la République
Cette mesure est contraire à l'article 1f du traité de Maastricht
Article F
1. L'Union respecte l'identité nationale de ses États membres, dont les systèmes de gouvernement sont fondés sur des principes démocratiques.
2. L'Union respecte les droits fondamentaux garantis par la convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, signée à Rome le 4 novembre 1950, et qui résultent des traditions constitutionnelles communes aux États membres, en tant que principes généraux du droit communautaire
Le décret du 17 février 1942 (Journal Officiel du 20 février 1942) précise que l'heure applicable en zone non occupée sera TU + 2 heures à compter du 9 mars 1942. A partir de cette date, la France est donc, à nouveau réunifiée à partir de l'époque point de vue.
L'heure 2 heures avant le soleil n'a jamais fait la moindre économie d'énergie en 1940 et 1945
Loi du 18 décembre 1940 RELATIVE À LA RÉDUCTION DE LA CONSOMMATION D'ÉLECTRICITÉ
JORF du 22 décembre 1940
Arrêté du 11 février 1942, EN APPLICATION DE L'ART. 1 (2E) DE LA LOI DU 18 décembre 1940 SUR LA RÉDUCTION DE LA CONSOMMATION D'ÉLECTRICITÉ
En Espagne, c'est l'heure d'été de Franco Mars 1942
Le 16 mars 1942, à 23 heures, le dictateur avance donc les mains du pays en 60 minutes, forçant les Espagnols à marcher au rythme d'Hitler, Mussolini et Pétain. les changements annuels d'heure d'été ont amplifié le phénomène
L'heure d'été est un fléau et une calamité pour le climat, la santé, la biodiversité et la pollution photochimique
LA DOUBLE HEURE D'ÉTÉ
CONTESTÉE
Si l'ozone se situant au niveau de la stratosphère (à 40 km d'altitude) est tout à fait indispensable à la vie sur terre puisqu'il filtre les UV provenant du Soleil, l'ozone au niveau du sol est par contre toxique : il dégrade les matériaux, entrainent des troubles pulmonaires dans les cas un des personnes prédisposées et un facteur du dépérissement des forêts en conjonction avec le phénomène des pluies acides HNO3. Cet ozone provient de l'action des rayonnements solaires sur les polluants primaires (oxyde d'azote, hydrocarbures) rejetés par les véhicules industriels, automobiles et les foyers Si toutes les activités humaines avaient lieu la nuit, les polluants primaires ne seraient Soleil et pas ne soumise à l'action au soleil et à la formation de cet ozone toxique. On comprend que tout changement de rythme des activités humaines puisse entraîner une aggravation de la pollution par l'ozone. L'heure d'été se traduisant par un décalage deux heures entre par le moment où le soleil est au zénith et celui où il est douze heures à notre montre, ce décalage a pour effet global d'exposer plus longuement les polluants primaires au Soleil et d'accroître jusqu'à 45 d'ozone, % et 60% l'acide nitreux la concentration concluent ces recherchent Elles ont été menées par simulation numérique d'un modèle prenant en compte tous les facteurs atmosphériques importants (facteurs physiques, chimiques, météorologiques, facteurs d'émission...). Jean Claude Dechaux, chercheur dans ce laboratoire et responsable de ces études, s'interroge sur la nécessité de conserver le système actuel Le fait que seuls cinq pays européens (la France, l'Espagne, la Hollande, la Belgique et le Portugal Bref, le gouvernement d’António Guterres est revenu en 1996 au UTC +0. L’Agence pour la qualité de l’air (AQA, devenue Ademe) a également pointé la pollution photo-oxydante sous l’angle de l’heure d’hiver et de l’heure d’été par rapport à l’heure solaire. Les études du Pr Jean-Claude Déchaux, commandées sur l’argent public par l’AQA, ont démontré que l’adoption de l’heure d’été, en déplaçant les périodes de trafic routier et aérien, quand l’ensoleillement est maximal et en l’absence de vent, entraîne un accroissement net de la formation d’ozone et des oxydants photochimiques associés. Lors de la parution de ces travaux, le Congrès mondial pour la pureté de l’air de Montréal confirmait en 1992 : « L’utilisation de l’heure solaire serait en ce sens très bénéfique, diminuant notamment l’ozone de 42 % par rapport aux valeurs calculées en heure d’hiver heure solaire. […] C’est une véritable pénalité d’utiliser l’heure d’été […] de l’argent est gaspillé. […] Il nous paraît inutile et dangereux de vouloir pérenniser cet usage. » (Valeurs dépassées en 2014.) Par cette démonstration-là France continue d'aggraver la pollution avec son heure d’été et son but est de rendre responsable les transports et non l'heure d’été de Pétain de 1942...