Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rechauffement climatique cop21 changement d'heure
27 avril 2023

Poulet à l OGM l escrologie de la Commission Européenne et du FMI. Lagarde qui se prend une nouvelle fois les pieds dans le Ta

20220408170346241910

126753530

ob_bf228c_etat-13

ob_540139_vichy-2

ob_ced86c_vichy

 

Image

C'est le retour du Petainisme en France avec les blouses blanches de Vichy et l ideologie de la LVF de Pompidou 

Les merdes de l Etats Français sont de retour sur les routes des collabos

Les États membres devront lever les interdictions unilatérales d’importation de produits agricoles en provenance d’Ukraine s’ils veulent recevoir l’aide financière promise par l’UE pour soutenir leurs agriculteurs mis en difficulté par l’afflux d’importations ukrainiennes bon marché sur leurs territoires. C’est ce qu’a annoncé Janusz Wojciechowski, commissaire européen à l’Agriculture, aux ministres de l’Agriculture lors d’une réunion à huis clos mardi (25 avril).

Plusieurs pays particulièrement touchés par la situation, dont la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie, ont récemment décidé d’interdire toutes les importations de produits agricoles ukrainiens.

Cette décision intervient à la suite de perturbations sur les marchés nationaux de ces pays en raison d’un certain nombre de mesures prises par l’UE pour aider l’Ukraine à exporter des produits agricoles. Ces mesures ont entraîné un afflux de produits tels que les céréales et la volaille, ce qui a fait chuter les prix et précipité les agriculteurs au bord du gouffre.

« Nous comprenons parfaitement la demande des cinq États membres d’introduire des mesures contre cette offre excédentaire de produits en provenance d’Ukraine, car elle crée de nombreux problèmes pour les agriculteurs », a reconnu le commissaire M. Wojciechowski lors d’une conférence de presse organisée à l’issue de la réunion.

Membre du Parti paysan unifié (ZSL) à partir de 1984, il rejoint en 1990 la cour d'appel de Varsovie où il siège jusqu'en 1993.

 Le Parti paysan unifié (Zjednoczone Stronnictwo Ludowe, ZSL) fut un parti politique polonais, membre du Front d'unité nationale dirigé par le Parti ouvrier unifié polonais (PZPR) durant les années de la Pologne populaire.

Parti paysan polonais

Jan Piekałkiewicz et Stefan Korboński exercent la fonction de Délégué du gouvernement polonais en Pologne, alors que Stanisław Mikołajczyk représente le mouvement auprès du gouvernement à l'étranger. Les autorités du SL-Roch sont hostiles envers les deux occupants, mais dans le conflit qui naît après la conclusion des accords Sikorski-Maïski le 30 juillet 1941 à la suite de l'invasion de l'Union soviétique par son allié d'hier, l'Allemagne de Hitler, elles soutiennent le premier ministre Władysław Sikorski. Ainsi, Mikołajczyk devient le vice-premier ministre et le ministre des affaires intérieures, et, après la mort tragique de Sikorski en juillet 1943, il prend la tête du gouvernement.

 

Le poulet ukrainien inonde le marché français : les volaillers tricolores tirent la sonnette d’alarme

 

Le tourteau de soja, très largement utilisé dans les élevages comme source d’apport en protéines, subit d’énormes tensions sur les cours mondiaux. La pénurie se fait particulièrement sentir depuis le début de la guerre en Ukraine. La Russie était l’un des principaux pays exportateurs de soja non OGM vers la France. Et une grosse part du tournesol HiPro (riche en protéines) non OGM, qui pouvait le remplacer, est produit — et donc bloqué — en Ukraine.Au premier semestre 2022, les importations en France de poulet ukrainien ont augmenté de 122%, en raison d'une réorientation des flux internationaux. Elles risquent de croître encore plus depuis la suppression par l'Union européenne, en juin, des droits de douane appliqués à l'Ukraine, en menaçant ainsi l'équilibre d'une filière française déjà fragile. Pendant les six premiers mois de 2022, les importations en France de poulets provenant directement d'Ukraine ont en effet crû de 122% par rapport à la même période de l'année précédente, a calculé l'association. Et ce, sans compter le poulet produit en Ukraine mais qui, étant découpé dans l'un des pays de l'UE, est importé en France comme européen, met en garde le vice-président de la Fédération des industries avicoles (Fia), Gilles Huttepain. 

L’Ukraine ouvre enfin son marché des terres agricoles. Les dés sont-ils déjà pipés ?

Mainmise américaine sur 40% des terres arables ukrainiennes
Les trois enseignes Cargill, Monsanto (société germano-australienne à l’origine, mais aujourd’hui à majorité américaine) et Dupont sont bien connues aux États-Unis détiennent désormais environ 40% des terres arables ukrainiennes. Cette réalité récente relie la guerre en Ukraine aux initiatives des décideurs financiers stratégiques occidentaux puisque des sociétés comme Vanguard, Blackrock et Blackstone figurent parmi les plus gros actionnaires de ces entreprises.

Le 1er juillet 2021, l’Ukraine est sortie du club très fermé des pays interdisant la vente des terres agricoles, avec l’entrée en vigueur d’une loi très attendue. Exigée par le Fonds monétaire international (FMI), cette réforme était retardée depuis des années par l’instabilité politique et économique du pays. ( ndlr: le siège du FMI est implanté à Washington, D.C,. aux États-Unis )

Déclaration d'indépendance de l'Ukraine (1941) — Wikipédia

 

Sceau neo nazi de 1941 Ukrainien 

Malgré l’opposition de certains oligarques, Volodymyr Zelensky et son sceau de l Eat Ukrainien  de 1941 annonce en août 2019 une réforme du marché foncier. Depuis 2001, il existe dans le pays une interdiction d'acheter et de vendre des terres agricoles. Chaque année, les députés renouvellent le moratoire en invoquant l'absence de loi sur le chiffre d'affaires de ces terres. L'Ukraine est le dernier marché d'Europe où existent de telles dispositions. Le nouveau président propose de tenir un débat public et d'organiser un référendum pour trouver une solution équilibrée au problème de l'ouverture du marché foncier après une réforme devant concerner  millions d'hectares. Il entend lever le moratoire sur les achats et ventes de terres, qui aurait au total fait perdre plus de 22 milliards de dollars de PIB au pays

 

En raison des tensions sur les cours mondiaux, les œufs ou la volaille sans aliments transgéniques se raréfient. Les exigences de certains Labels rouges sont dégradées.

 

Mauvaise passe pour les volailles. Confinées en raison de l’influenza aviaire, elles sont aussi confrontées à une pénurie d’aliments protéinés. « Il est de plus en plus compliqué de se fournir en soja non OGM. Les filières sont peu nombreuses, explique Loïc Coulombel, du Comité national pour la promotion de l’œuf (CNPO). Et son prix flambe. Il a plus que doublé au cours des derniers mois. »

Le tourteau de soja, très largement utilisé dans les élevages comme source d’apport en protéines, subit d’énormes tensions sur les cours mondiaux. La pénurie se fait particulièrement sentir depuis le début de la guerre en Ukraine. La Russie était l’un des principaux pays exportateurs de soja non OGM vers la France. Et une grosse part du tournesol HiPro (riche en protéines) non OGM, qui pouvait le remplacer, est produit — et donc bloqué — en Ukraine.

Une filière française de soja sans OGM très insuffisante

Il existe bien une filière de soja non OGM française, mais très insuffisante pour couvrir les besoins des élevages. « Près de 80 % des tourteaux de soja non OGM vendus en France sont produits à l’étranger, en utilisant des graines cultivées elles aussi à l’étranger », notait l’Autorité de la concurrence dans sa décision du 18 août 2022, autorisant la prise de contrôle de la société Solteam, importateur de soja sans OGM, par le groupe Avril, leader de l’alimentation animale en France.

Zelenski le neo nazi et les institutions internationales ont toujours présenté cette réforme agricole comme une condition nécessaire pour attirer les investissements étrangers, permettant de « libérer » le plein potentiel des terres agricoles ukrainiennes. Cette loi était également la condition d’obtention d’un prêt de 5 milliards de dollars accordé par le Fonds monétaire international (FMI).Mais nombreux Ukrainiens contestent la loi qui , selon eux, ne fera que renforcer la corruption (devenu un fléau dans le pays) et l’accaparement des terres par les grandes multinationales étrangères Le Réseau ukrainien de développement rural dénonce le fait que « la plupart des terres privatisées sont louées par de grandes exploitations commerciales agricoles…la terre ne sera même plus disponible à la vente au profit des agriculteurs indépendants ». La guerre en Ukraine a des conséquences sur l'agriculture française. Depuis six mois, en raison d'une réorientation des flux internationaux, le poulet ukrainien inonde le marché français. La filière avicole locale, dont les coûts de production sont bien plus élevés, en subit les conséquences. Notamment dans les Landes.La directrice générale du centre national de gestion (CNG) par intérim - Ministère de la santé - m'a infligé la sanction la plus lourde C’est lui-même qui l’a annoncé sur son compte Twitter, ce samedi 4 février. Le Dr Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet, a été révoqué de ses fonctions par le Centre national de gestion (CNG), l’autorité administrative des praticiens hospitaliers. La directrice générale du Centre national de gestion par intérim – ministère de la Santé – m’a infligé la sanction la plus lourde : révocation. Elle prend effet dès sa notification : dès ce samedi 4 février 2023

L’Ordre créé par Serge Huard est dirigé par un Conseil supérieur restreint de douze membres, nommés par Huard lui-même. Ce Conseil élabore une première version d’un code de déontologie, s’engage dans la réglementation des titres et des spécialités, participe à l’établissement de la nomenclature générale des actes médicaux et chirurgicaux, jette les bases d’un projet de Caisse professionnelle de retraite. Mais ces initiatives sont très critiquées et en avril 1942, avec le retour de Pierre Laval au pouvoir, Huard est remplacé comme ministre de la Santé par Raymond Grasset, ancien syndicaliste, qui réorganise l’Ordre par la loi du 10 septembre 1942.Dans cette seconde version, la principale innovation se trouve dans les conseils de l’Ordre, désormais élus par les médecins eux-mêmes. L’élection des membres des conseils représente une victoire pour les syndicats, officiellement interdits mais officieusement présents dans les conseils de l’Ordre. Ils prônent depuis toujours des conseils élus car, comme dit en 1929 leur secrétaire général Paul Cibrie : « Si vous voulez que les syndicats aient la direction de l’Ordre des médecins, il faut la baser sur l’élection. Si l’élection des membres du Conseil de l’Ordre est fondée sur le suffrage universel des médecins, comme les syndiqués possèdent partout, sauf peut-être à Paris, la majorité des votants, il n’est pas douteux que si nous avons une discipline syndicale suffisante, ce sont les syndicats médicaux qui décideront de la marche de l’Ordre des médecins »

 

Loi du 24 novembre 1940 INSTITUANT L'OBLIGATION DE LA VACCINATION ANTITETANIQUE ASSOCIEE A LA VACCINATION ANTIDIPHTERIQUE

 

JORF du 26 novembre 1940

LOI instituant l’obligation de la vaccination antiténanique associée à la vaccination antidiphtérique.

Nous, Maréchal de France, chef de l’Etat français, Sur le rapport du ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, du ministre secrétaire d’Etat aux finances, du garde des sceaux, ministre secrétaire d’Etat à la justice, et du secrétaire d’Etat à l’instruction publique,

Vu la loi du 15 février 1902, complétée par la loi du 7 septomlve 1939;

Vu la loi du 16 juillet 1912 (art. 11);

Vu la loi du 11 août 1936; Vu la loi du 25 juin 1938;

Le conseil des ministres entendu, Décrétons:

Art. 1er. — Il est ajouté à la loi du 15 février 1902, relative à la protection de la santé publique, un article 6 ter, ainsi rédigné : « La vaccination antitétanique par l’anatoxine est désormais obligatoire. Elle est pratiquée en même temps et dans les mêmes conditions que la vaccination antidiphtérique prévue à l’article 6 bis ajouté à la loi du 15 février 1902, par la loi du 25 juin 1938 ».

Art. 2. — Le paragraphe 4 de l’article unique de la loi du 25 juin 1938 est remplacé par les dispositions suivantes : « Un décret simple, pris sur la proposition du ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, déterminera les conditions dans , lesquelles seront pratiquées la vaccination antidiphtérique, instituée par la loi du j 25 juin 1938, et la vaccination antitétani- | que, instituée par la présente loi ». |

Art. 3. — Le présent décret sera publié au Journal officiel et exécuté comme loi de l’Etat.

Fait à Vichy, le 21 novembre 1940. 

Par le Maréchal de France, chef de l’Etat français:PH. PÉTAIN.

Le ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, MARCEL PEYROUTON

Bruxelles,

KG/ek [IPOL-COM-PETI D(2022)11]

Monsieur Erick Labrousse

Square Hector Berlioz 5

94700 Maisons Alfort

FRANCE

Objet: Pétition n° 0839/2021 (référence à rappeler dans toute correspondance)

 Monsieur,Labrousse Erick

Je vous informe par la présente que la commission des pétitions a examiné votre pétition et l’a déclarée recevable, étant donné que la question que vous soulevez relève des domaines d’activité de l’Union européenne.

Sachez que le Parlement européen n’a traité cette question que récemment.

Je voudrais attirer votre attention sur le fait que le «certificat COVID-19 de l’Union européenne» qui est entré en application le 1er juillet 2021 dans tous les États membres ne devrait pas être en place pour plus de 12 mois. Le document, au format numérique ou papier atteste que le titulaire a été vacciné contre le coronavirus ou, à défaut, qu’il a reçu un résultat de test négatif récent ou qu’il s’est rétabli de la COVID-19. Cependant, les certificats COVID- 19 de l’Union ne feront pas office de documents de voyage, ni ne deviendront une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation.

Veuillez trouver ci-dessous les informations relatives au certificat COVID-19 en tant qu’instrument destiné à faciliter la liberté de circulation sans discrimination:

 https://www.europarl.europa.eu/news/fr/headlines/priorities/reponse-de-l-ue-face-au-coronavirus/20210422IPR02606/le-certificat-covid-19-doit-faciliter-la-libre-circulation-sans-discrimination; le lien vers la page web de la Commission européenne consacrée au nouveau

certificat de vaccination valable dans toute l’Europe: https://ec.europa.eu/info/live-work- travel-eu/coronavirus-response/safe-covid-19-vaccines-europeans/eu-digital-covid- certificate_fr , ainsi que le lien vers la page web de la Commission consacrée à la sécurité des vaccins contre la COVID-19: https://ec.europa.eu/info/live-work-travel-eu/coronavirus-response/safe-covid-19-vaccines-europeans_fr

Sur cette base, la commission a décidé de ne pas poursuivre plus avant l’examen de votre pétition. Néanmoins, je tiens à vous remercier d’avoir exercé votre droit de pétition.

D 100026 04.01.2022

Présidente de la Commission des Pétitions

Je vous prie de recevoir, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

Dolors Montserrat

Présidente de la Commission des Pétitions

 

  • Pétition citoyenne sur les nouveaux OGM

    28.10.2021

    Question avec demande de réponse écrite  E-004911/2021
    à la Commission
    Article 138 du règlement intérieur
    Eric Andrieu (S&D), Sylvie Guillaume (S&D)

    L’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) du 25 juillet 2018 dans l’affaire C-528/16 a statué sur le champ d’application de la directive 2001/18/CE relative à la dissémination volontaire d’organismes génétiquement modifiés dans l’environnement et abrogeant la directive 90/220/CEE du Conseil.

    Une pétition rassemblant plus de 150 000 signataires a été adressée à la commission PETI du Parlement européen afin d’accélérer la transcription dans le droit d’un État membre, en l’occurrence la France, des conséquences dudit arrêt.

    Un projet de décret, jugé satisfaisant par les pétitionnaires, a été soumis par le gouvernement français à la Commission, qui a rendu un avis négatif et aurait indiqué se réserver le droit d’assigner l’État français devant la CJUE.

    • 1.La Commission peut-elle confirmer les dires des pétitionnaires sur la menace d’assigner l’État français si ce dernier rendait exécutoire son décret?
    • 2.Le cas échéant, la Commission mesure-t-elle bien la responsabilité qu’elle prend en s’opposant à l’application d’un arrêt de la CJUE?

     

    Pas d OGM dans les champs Pas d OGM dans l Assiette pas d'OGM dans le corps 

Dans un rapport publié jeudi 29 avril 2021, la Commission européenne s'est positionnée en faveur des « new breeding techniques », désignées en français comme des nouvelles techniques de sélection, dans le secteur de l'agriculture. Ces nouvelles techniques d'édition du génome, regroupées sous l'acronyme NBT, désignent l'ensemble des technologies qui permettent la modification du matériel génétique d'un être vivant, qu'il soit une plante, un animal, ou un être humain.

Ces techniques ont relancé les débats sur la modification du vivant, et les discussions sont particulièrement tendues dans secteur de l'agriculture. Les NBT rendraient par exemple possible la transformation du matériel génétique de certaines variétés de colza pour les rendre plus résistantes à la sécheresse. Elles permettraient aussi d'obtenir des tomates moins vulnérables aux maladies, ou d'améliorer la qualité nutritionnelle du soja. Les possibilités sont infinies. Certaines variétés sont déjà cultivées à titre expérimental en Europe, en Belgique et en Suède notamment. Elles ne sont pour le moment pas commercialisées.

En 2018, la Cour de justice de l'UE avait jugé que ces produits issus de « mutagenèse » étaient bien des organismes génétiquement modifiés (OGM) et devaient être soumis aux mêmes règles strictes (autorisation, traçabilité, étiquetage et surveillance). A la suite de cet arrêt, la Commission européenne avait commandé une étude à ses services pour déterminer si ces biotechnologies pouvaient être exemptées des obligations de sa directive OGM (datant de 2001) ou si cette dernière devrait être modifiée. Le rapport, publié fin avril par la Commission, se positionne largement en faveur de leur utilisation, et d'une nouvelle législation : selon ses auteurs, la directive OGM « n'est pas adaptée » aux « progrès scientifiques et technologiques ».

Le secteur de la santé en est déjà le principal utilisateur. « En matière de santé, les inquiétudes ont été dépassées car les effets cliniques ont été rassurants », explique Catherine Procaccia, sénatrice LR et co-rapporteur de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques sur les BNT, dans un entretien à « L'Usine Nouvelle ». Ces techniques ont d'ailleurs été utiles contre le Covid-19. Le vaccin de Jonhson & Johnson utilise un vecteur viral : un virus inoffensif qui ne peut se reproduire dans les cellules est utilisé pour transporter le matériel génétique du coronavirus, fabriquant la protéine qui enclenchera une réponse immunitaire.

 

Le Covid-19, rampe de lancement pour les vaccins OGM

 partir de la mi-décembre 2020, trois vaccins devraient être testés sur 2 200 volontaires en France, a annoncé le 2 décembre l’Inserm. Il s’agit des vaccins des géants pharmaceutiques américain Janssen (filiale de J&J), anglo-suédois AstraZeneca et de la biotech américaine Moderna. Or ces deux premiers vaccins sont des vaccins génétiques. Expérimentée contre Ebola, l’utilisation de la technologie OGM dans la vaccination humaine à l’échelle mondiale serait une première.Une politique à l'encontre de la stratégie "de la ferme à la fourchette" La lutte contre le Covid-19 entraîne bien des premières. Dont une qui pourrait révolutionner la façon de concevoir des vaccins en santé humaine. Alors que de nombreux laboratoires pharmaceutiques font appel à des techniques traditionnelles, comme le vaccin atténué - l’invention déployée par Louis Pasteur – ou les protéines recombinantes dans la mise au point de vaccins anti-Covid, d’autres expérimentent des technologies novatrices. Comme l’ARN-messager, utilisé notamment par Pfizer et BioNTech mais aussi par Moderna font appel au génie génétique et pourraient, à travers la lutte contre le Covid-19, donner à cette technologie une nouvelle application.

Dans son texte adressé aux parlementaires et au ministère de l'agriculture, Marie-Guite Dufay rappelle que "la volaille de Bresse, dont l’excellence et la renommée font la fierté de notre territoire, ne doit pas faire les frais d’un projet normatif qui va à l’encontre de la protection de nos filières, des agriculteurs, et des consommateurs. Alors que la stratégie européenne "de la ferme à la fourchette » soutient la production locale, durable et de qualité, il serait inconcevable que la révision en cours des normes de commercialisation européennes vienne contredire cette ambition."

Poulet chloré, viandes à base d'hormones et nouveaux OGM venus des États-Unis ? via l'UKRAINE 

Le poulet ukrainien néonazi a l OGM inonde le marché français : les volaillers tricolores tirent la sonnette d’alarme

Poulet chloré, viandes aux hormones et nouveaux OGM. Tels sont les objectifs des exportations alimentaires américaines vers l'Europe, rééquilibrer la balance commerciale entre les deux côtés de l'Atlantique. Tous bien? Un euphémisme.

TTIP et principe de précaution

Le secrétaire américain en agriculture, Sonny Perdue est actuellement en mission européenne. Elle doit faciliter les négociations du TTIP, Transatlantic Trade et Investment Partnership et éliminer leur principal "obstacle" du point de vue de Washington. Le soi-disant principe de précaution, sur lequel la politique et la législation de l'UE sont toujours basées.

Le principe de précaution implique, dans la législation alimentaire européenne, l'utilisation de l'analyse des risques comme base de toutes les décisions réglementaires et administratives. Son application implique que :

- lorsque, sur la base d'une évaluation scientifique des risques, un phénomène, un produit ou un procédé pourrait avoir des effets potentiellement dangereux (pour la santé humaine et animale ou l'environnement), et

- l'évaluation ne permet pas de déterminer (et/ou maîtriser) le risque avec suffisamment de certitude,

- il est nécessaire de prendre des mesures de précaution (par exemple des restrictions, des interdictions et d'autres garanties).

La précaution justifie les régimes d'autorisation préalable pour la dissémination volontaire dans l'environnement d'anciens et de nouveaux OGM (comme réitéré le 25.7.18 par la Cour de justice de l'UE), àutilisation d'agrotoxines dans l'agriculture, à la administration de médicaments vétérinaires, etc.

Le territoire de l’actuelle Ukraine étant le grenier de l’Europe (et au-delà) depuis des millénaires, le pays a été la cible de diverses sociétés agricoles, en particulier celles originaires de l’Occident politique. Ces dernières années, des sociétés étrangères ont acquis des champs ukrainiens, privant le pays de tout contrôle sur ses exportations alimentaires et même sur son approvisionnement alimentaire national.

Des sociétés telles que « Cargill », « DuPont » et « Monsanto » (qui est formellement une société germano-australienne, mais essentiellement américaine) figurent parmi les propriétaires les plus en vue des terres arables ukrainiennes. En outre, des sociétés telles que « Vanguard », « Blackrock » et « Blackstone » comptent parmi les plus gros actionnaires des géants agricoles susmentionnés et possèdent des billions de dollars d’actifs. Par exemple, « Blackrock » est un fonds qui gère des actifs d’une valeur de plus de 10 000 milliards de dollars, « Vanguard » en contrôle au moins six et « Blackstone » gère jusqu’à 1 000 milliards de dollars. Ensemble, les trois grandes multinationales américaines (« Cargill », « DuPont » et « Monsanto ») possèdent plus de 1,7 millions d’hectares de terres arables en Ukraine.

depuis que la nouvelle loi sur la vente des terres agricoles adoptée par le régime de Kiev est entrée pleinement en vigueur il y a environ un an, à ce jour, les trois grands consortiums multinationaux financés par des capitaux américains ont acquis de nombreuses terres arables ukrainiennes. Selon un rapport de l’Australian National Review, les trois sociétés américaines ont réussi à acquérir 1,7 des 62 millions d’hectares de terres agricoles en moins d’un an.

Après l’adoption de la loi sur la vente des terres agricoles, entrée en vigueur le 1er juillet 2021, le coût de l’hectare était d’environ 2 500 dollars, mais il a rapidement grimpé à 10 000 dollars. Jusque-là, un terrain de plus de deux hectares ne pouvait être loué que par des étrangers. Mais, après l’arrivée au pouvoir des nouveaux dirigeants, combinée à une augmentation constante du prix des terres arables, la loi a été modifiée et le moratoire de deux décennies sur la vente de terres agricoles aux étrangers a été levé. Avant cette décision, les gouvernements étaient réticents à l’autoriser, car cette mesure a toujours été considérée comme extrêmement impopulaire par le peuple ukrainien. Pendant sa campagne présidentielle, Vladimir Zelensky a déclaré qu’il prévoyait d’organiser un référendum national pour résoudre cette question « une fois pour toutes ». Cependant, aucun vote de ce type n’a jamais eu lieu. Dans un rapport publié en avril 2021, le Fonds monétaire international (FMI), l’un des principaux créanciers étrangers du régime de Kiev, a fait de la levée du moratoire une condition de son programme de prêts de l’époque et a affirmé que la production économique augmenterait de 6 % à plus de 12 % au cours de la prochaine décennie, selon la manière dont la réforme serait mise en œuvre. Malgré l’opposition généralisée à la levée de l’interdiction des ventes de terrains, l’excuse a été trouvée dans le fait que trop de temps s’était écoulé sans que la Rada (Parlement) n’établisse un mécanisme transparent pour la vente de terrains, qui était l’une des dispositions de la loi de 2001.

En raison des tensions sur les cours mondiaux, les œufs ou la volaille sans aliments transgéniques se raréfient. Les exigences de certains Labels rouges sont dégradées.

Mauvaise passe pour les volailles. Confinées en raison de l’influenza aviaire, elles sont aussi confrontées à une pénurie d’aliments protéinés. « Il est de plus en plus compliqué de se fournir en soja non OGM. Les filières sont peu nombreuses, explique Loïc Coulombel, du Comité national pour la promotion de l’œuf (CNPO). Et son prix flambe. Il a plus que doublé au cours des derniers mois. »

Le tourteau de soja, très largement utilisé dans les élevages comme source d’apport en protéines, subit d’énormes tensions sur les cours mondiaux. La pénurie se fait particulièrement sentir depuis le début de la guerre en Ukraine. La Russie était l’un des principaux pays exportateurs de soja non OGM vers la France. Et une grosse part du tournesol HiPro (riche en protéines) non OGM, qui pouvait le remplacer, est produit — et donc bloqué — en Ukraine.

Une filière française de soja sans OGM très insuffisante

Il existe bien une filière de soja non OGM française, mais très insuffisante pour couvrir les besoins des élevages. « Près de 80 % des tourteaux de soja non OGM vendus en France sont produits à l’étranger, en utilisant des graines cultivées elles aussi à l’étranger », notait l’Autorité de la concurrence dans sa décision du 18 août 2022, autorisant la prise de contrôle de la société Solteam, importateur de soja sans OGM, par le groupe Avril, leader de l’alimentation animale en France.

 

Au premier semestre 2022, les importations en France de poulet ukrainien ont augmenté de 122%, en raison d'une réorientation des flux internationaux. Elles risquent de croître encore plus depuis la suppression par l'Union européenne, en juin, des droits de douane appliqués à l'Ukraine, en menaçant ainsi l'équilibre d'une filière française déjà fragile. Explications.

La guerre en Ukraine a des conséquences sur l'agriculture française. Depuis six mois, en raison d'une réorientation des flux internationaux, le poulet ukrainien inonde le marché français. La filière avicole locale, dont les coûts de production sont bien plus élevés, en subit les conséquences. Notamment dans les Landes.

C'est encore un nouveau coup de massue pour les éleveurs déjà marqués par plusieurs années de grippe aviaire. Cette fois, l'inquiétude se porte sur le prix de vente de leur production qu'ils ne sont pas sûrs d'écouler face à la concurrence des poulets ukrainiens.

1 poulet sur 2 est importé

Aujourd'hui, un poulet sur deux, consommé en France, a été importé. C'était seulement un sur quatre, il y a 20 ans. 

Car la guerre et le blocage maritime qui en découle obligent l'Ukraine à se tourner vers l'Ouest. En soutien à l'économie du pays, l'Union européenne a, par ailleurs, supprimé les droits de douanes et les quotas imposés jusqu'ici aux produits ukrainiens. 

C'est ainsi que le poulet, produit en Ukraine, inonde le marché français depuis six mois. On compte même une augmentation de 122 % des importations en un an ! Avec un coût, deux fois moindre. Mais c'est également le cas pour les importations de poulets brésiliens.

D'où l'inquiétude des éleveurs français car le prix n'est pas le même, mais le mode de production et la qualité ne sont pas les mêmes n'ont plus.

Dans les Landes, l'éleveur Michel Larrère explique cette distorsion du marché : "La consommation n'évolue pas en France. Donc tout ce qui est importé, sera en moins à produire pour les éleveurs landais".  A nous, on nous demande de faire de la qualité, du bien-être animal, de faire attention au bilan carbone... il faut qu'on soit parfait. Et on importe de plus en plus. 

 

20 % des volailles bénéficient, en France, d’un accès à l’extérieur. Très loin devant les autres pays européens.

Avec la révision des normes de commercialisation, la Commission européenne prévoit de changer les règles concernant l’étiquetage des modes d’élevage des volailles. L’interprofession française de la volaille de chair (Anvol) alerte sur ce projet. Il fait peser de lourdes menaces ​sur la production de volailles fermières élevées en plein air. Et sur la clarté et la véracité de l’information des consommateurs​.

Suppression des normes

La Commission envisage en effet de supprimer les normes permettant aux consommateurs d’identifier clairement les modes d’élevage des volailles,...

 

 

Dolors MONTSERRAT

Présidente de la Commission des Pétitions

Dolors MONTSERRAT
 
Je voudrais attirer votre attention sur le fait que le «certificat COVID-19 de l’Union européenne» qui est entré en application le 1er juillet 2021 dans tous les États membres ne devrait pas être en place pour plus de 12 mois. Le document, au format numérique ou papier, atteste que le titulaire a été vacciné contre le coronavirus ou, à défaut, qu’il a reçu un résultat de test négatif récent ou qu’il s’est rétabli de la COVID-19. Cependant, les certificats COVID19 de l’Union ne feront pas office de documents de voyage, ni ne deviendront une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation.
Télérecours citoyens
Enregistrement de votre requête
Monsieur Eric Labrousse,
Votre requête a été enregistrée avec succès par le greffe. Vous trouverez, dans l’historique de votre dossier, l’accusé d’enregistrement.
Le numéro définitif de votre dossier est le suivant : n° 4607....
Vous pouvez désormais ajouter, si besoin, des pièces complémentaires à votre dossier.
Merci de suivre l’avancement de votre dossier dans Télérecours citoyens.
Cordialement,
L’administrateur Télérecours citoyens
Ceci est un email automatique, merci de ne pas y répondre.
Présidente de la Commission des Pétitions Bruxelles,
KG/ek [IPOL-COM-PETI D(2022)11]
Monsieur Erick Labrousse
Square Hector Berlioz 5
94700 Maisons Alfort FRANCE
Objet: Pétition n° 0839/2021 (référence à rappeler dans toute correspondance) Monsieur,Labrousse Erick
Je vous informe par la présente que la commission des pétitions a examiné votre pétition et l’a déclarée recevable, étant donné que la question que vous soulevez relève des domaines d’activité de l’Union européenne. Sachez que le Parlement européen n’a traité cette question que récemment. Je voudrais attirer votre attention sur le fait que le «certificat COVID-19 de l’Union européenne» qui est entré en application le 1er juillet 2021 dans tous les États membres ne devrait pas être en place pour plus de 12 mois. Le document, au format numérique ou papier, atteste que le titulaire a été vacciné contre le coronavirus ou, à défaut, qu’il a reçu un résultat de test négatif récent ou qu’il s’est rétabli de la COVID-19. Cependant, les certificats COVID19 de l’Union ne feront pas office de documents de voyage, ni ne deviendront une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation. Veuillez trouver ci-dessous les informations relatives au certificat COVID-19 en tant qu’instrument destiné à faciliter la liberté de circulation sans discrimination: https://www.europarl.europa.eu/.../le-certificat-covid-19...; le lien vers la page web de la Commission européenne consacrée au nouveau certificat de vaccination valable dans toute l’Europe: https://ec.europa.eu/.../eu-digital-covidcertificate_fr , ainsi que le lien vers la page web de la Commission consacrée à la sécurité des vaccins contre la COVID-19: https://ec.europa.eu/.../safe-covid-19-vaccines-europeans_fr Sur cette base, la commission a décidé de ne pas poursuivre plus avant l’examen de votre pétition. Néanmoins, je tiens à vous remercier d’avoir exercé votre droit de pétition. D 100026 04.01.2022 Présidente de la Commission des Pétitions Je vous prie de recevoir, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.
Dolors Montserrat
Présidente de la Commission des Pétitions
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
Publicité
Publicité
Commentaires
rechauffement climatique cop21 changement d'heure
  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Newsletter
Publicité