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20 avril 2023

La menace industrielle polluante de l Etat Français de Pétain sur l Europe Nouvelle

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Seine-et-Marne : le fort de Vaujours, entre secret militaire et site squatté, une histoire compliquée

Le fort de Vaujours est un ancien site du Commissariat à l'énergie atomique, remis dans le domaine public en 1998. Pas complètement décontaminé, le site est souvent squatté.

Le CEA a voulu impose l Heure d'ete a la Nouvelle Caledonie en septembre 2020 avec l echec de la technocratie de l Etat Français digne de Vichy Les essais nucléaires militaires y ont été pratiqués dans les années 1950 à 1970. Il a été remis dans le domaine public en 1998 sans avoir été décontaminé au préalable.

Des activités nucléaires

Comme l'explique la préfecture de Seine-et-Marne sur son site, le fort de Vaujours a servi à des essais nucléaires militaires dès les années 1950.
« Pendant la guerre de 1940, le site est occupé par l'armée allemande et sert au stockage de produits explosifs [...]. En août 1944, les munitions sont en partie détruites par l'armée allemande lors de sa retraite. La destruction incomplète répand sur le périmètre des munitions non explosées. [...] Inoccupé jusqu'en 1947, le site est alors exploité par divers laboratoires du Service des Poudres (Poudrerie nationale de Sevran) pour des recherches sur la chimie et la physique des explosifs [...] (munitions, fusées,...). Le Centre d'Études de Vaujours (CEV) est créé le 3 juin 1955 sur le terrain militaire mis à disposition par le ministère de la Défense pour effectuer toutes les études sur les poudres et explosifs nécessaires à la réalisation d'armes nucléaires. [...] Le CEV a été un centre d'études majeur permettant l'élaboration de la première bombe atomique française (développement du détonateur de la bombe). [...] De 1955 à 1997, sur les 45 hectares du site le CEA construit plus de 300 bâtiments à usage de bureaux ou de laboratoires [...]. »

Présence humaine interdite

Un arrêté interpréfectoral de 2005 définit de façon restrictive quelles utilisations peuvent être faites de ce terrain : « L’occupation du site sera limitée à des activités d’industrie ou de service à l’industrie ou assimilés. En particulier, un usage résidentiel, des activités agricoles, des activités entraînant la présence régulière d’enfants, les établissements recevant du public et les lieux de rassemblement de personnes (parc public, camping, aire de spectacle,…) sont proscrits. »

Uranium. Plutonium. Américium. Neptunium. Béryllium.

Ce n'est pas un cours de chimie. Il s'agit d'une liste de matières radioactives dangereuses qui polluent désormais en permanence le sol du Fort de Vaujours, un site situé juste à l'extérieur de Paris 

Les produits chimiques radioactifs ont impregné le sol après des décennies d'essais nucléaires "top-secrets" effectués par l'État français 

Aujourd'hui, la société BPB PLACO veut creuser ce terrain dangereux et contaminé et construire une immense carrière de gypse à ciel ouvert. Cela mettrait en danger non seulement la santé humaine et environnementale des résidents et des travailleurs : la contamination pourrait se propager au-delà du site par la poussière dans le vent ou les cours d'eau. De plus, tous les produits en plâtre mis sur le marché européen par cette entreprise, qui est la plus grande usine de transformation du plâtre au monde, pourraient facilement être contaminés, ce qui constituerait une menace pour les consommateurs français et d'autres pays 

Les habitants de la région ripostent contre cette folie à but lucratif - ensemble, ils ont organisé des mobilisations et des réunions, et forcé les responsables à tenir des consultations publiques pour s'assurer que leurs préoccupations soient entendues 

Et maintenant, MARYVONNE, ils demandent votre soutien: ils pensent qu'ils ont plus de chances d'arrêter cela si des personnes au-delà de leur ville se joignent à leur combat. Le collectif « Sauvons la Dhuis » a lancé une pétition sur YouMove Europe, appelant le gouvernement français à stopper l'exhumation de déchets radioactifs et la construction de cette carrière de gypse à ciel ouvert.

Si vous souhaitez répondre à leur appel à l'aide pour rejoindre cette campagne, ajoutez votre nom à leur pétition maintenant :

✍️ JE VEUX SIGNER TOUT DE SUITE !

 

Née en 1946 après avoir collaboré a outrance de 1940 et 1945  et à l’origine de l’introduction de la plaque de plâtre en France, la société Placoplatre est aujourd’hui leader sur le marché français du plâtre et de l’isolation. Elle conçoit des solutions innovantes et performantes à destination des professionnels de la construction et des particuliers.
Depuis 2005, Placoplatre appartient au groupe Saint-Gobain, lui-même leader mondial de l’habitat. Placoplatre intervient en neuf et en rénovation dans le non résidentiel et l’habitat individuel et collectif. Pour cela, l’entreprise propose une offre complète de solutions pour l’univers de la Maison et du Bâtiment. Ces solutions participent activement au confort et à la qualité de vie de l’habitat. Elles offrent des performances en termes de résistance au feu et aux chocs, d’isolation phonique et thermique, de facilité de pose, d’amélioration de la qualité de l’air intérieur ou encore d’étanchéité à l’air.

Ainsi, dans la pratique, c’est à Paris qu’avaient lieu les négociations économiques. Si le gouvernement civil français était effectivement basé à Vichy, il n’en reste pas moins que des pans entiers des ministères avaient été maintenus à Paris. On citera en particulier les ministères économiques comme le ministère des Finances et le ministère de la Production industrielle, en relation permanente avec les sections économiques du MBF. Après l’installation du gouvernement Darlan, Jacques Barnaud fut nommé délégué général aux Relations économiques franco-allemandes (DGRE). Deux instances coexistaient par conséquent en France aussi. À l’instar de son homologue allemande, la délégation économique française auprès de la commission d’armistice basée à Wiesbaden était composée en majorité de militaires, mais aussi de diplomates tels Maurice Couve de Murville, qui joua un rôle de premier plan dans le règlement de la question des frais d’occupation. Les services Barnaud, autre nom de la DGRE, comptaient également parmi leurs membres des diplomates économiques, comme François Conty et Jacques de Bourbon-Busset. De nombreux délégués, à l’image d’Olivier Mourre, chargé des contacts avec Vichy, étaient issus du corps des inspecteurs des Finances ou de la Cour des Comptes (cas de Claude des Pontes). La DGRE comprenait également des praticiens de l’économie dépêchés à Paris, comme Jean Terray issu du secteur de l’aviation ou Bernard Lechartier, de la SNCF, ce dernier étant chef de cabinet jusqu’en juillet 1942. La rencontre entre Speer et Bichelonne en septembre 1943 à Berlin aboutit de la même façon à des réunions franco-allemandes régulières, auxquelles assistaient d’assez nombreux représentants du MBF et des ministères français Ces entretiens portaient, eux aussi, sur un problème précis, à savoir la réquisition de main-d’œuvre française pour l’Allemagne, l’une des « actions Sauckel ». Glatzel, membre des SS et adjoint de Sauckel en charge des affaires françaises, fut promu vice-chef de l’administration militaire en France. Ses partenaires de négociation côté français étaient, outre Jean Bichelonne, le chef de cabinet de ce dernier, Cosmi, puis, à partir de mars 1944, Marcel Déat, secrétaire d’État au Travail, aux côtés de Kupeczek, Boyez et d’autres qui continuèrent, par esprit de loyauté, à collaborer à la politique de réquisition de la main-d’œuvre jusqu’à la fin juin 1944.

Ce n’est pas un hasard si l’administration économique allemande le tenait pour le ministre français le plus compétent et pour un homme d’avenir. Vers la fin de la collaboration vichyste, son pouvoir politique dépassait celui de Laval 

Des intérêts concordants liaient synarchistes et occupants allemands ; en effet, tous souhaitaient une réorganisation autoritaire, corporative de l’État français. Depuis août 1940, les spécialistes français œuvraient à la restructuration institutionnelle de l’économie. Outre leurs affinités idéologiques avec l’autorité d’occupation, les collaborateurs étaient motivés par la volonté pragmatique de préserver les intérêts de la France. Leur principal objectif était de relancer la production de denrées alimentaires, de biens de consommation et de produits industriels afin que la France ne souffre pas de la famine et de pénuries matérielles. Il s’agissait de s’opposer d’une certaine façon aux pillages allemands et de remettre l’économie sur les rails, de manière ordonnée et contrôlable. Sous le choc de la défaite, les technocrates français partaient du principe que l’Allemagne sortirait victorieuse de la guerre et que l’occasion était donnée à la France, en premier, de s’assurer une place dans l’ordre européen de l’après-guerre, sous hégémonie allemande. Les premières mesures visant à transformer l’économie française se rapportèrent à la loi du 16 août 1940 relative à l’organisation provisoire de la production industrielle.22 Avec la création des comités d’organisation, un nouveau découpage corporatif de l’économie était institué, qui s’apparentait à celui des groupes économiques du Reich. Le texte de la loi, qui comportait de nombreuses références à la loi française du 11 juillet 1938 sur l’organisation de la Nation en temps de guerre, émanait du ministère de l’Industrie dirigé par René Belin. Il avait été rédigé par Jacques Barnaud, qui était chef de cabinet du ministre du Travail depuis le 15 juillet 1940 et qui fut assisté dans cette tâche par les sympathisants Jean Bichelonne et Henri Lafond. La création des comités d’organisation s’inspirait largement des organisations patronales existantes, de sorte que les personnalités qui dirigeaient les grands groupes se retrouvaient à leur tête. Le cumul des mandats n’était pas rare, comme ce fut le cas avec François Lehideux et Pierre Pucheu : ils présidaient le comité d’organisation de leur branche industrielle respective, et soutenaient le régime de Vichy. Tous ces collaborateurs du ministère de l’Industrie contribuèrent à la création de nouvelles institutions, nécessaires à l’économie dirigée : ainsi, l’Office central de répartition des produits industriels (OCRPI) fut instauré sous la conduite de Jacques Barnaud, qui élabora le texte législatif correspondant car il considérait que le contingentement était indispensable en temps de guerre. En même temps, il émettait de sérieux doutes sur l’utilité de son projet : « À côté d’avantages certains mais épisodiques, l’organisation projetée présente des inconvénients graves et profonds qui se rattachent spécialement à la création dans toutes les branches d’industrie des offices de répartition obligatoire. Parmi les effets négatifs, il citait également « la disparition de l’esprit d’initiative et du goût de l’entreprise », la tendance à produire des marchandises standardisées d’un niveau moyen et la concentration économique dans le secteur de l’industrie. Dans la pratique, l’OCRPI s’avéra plus influent que les comités d’organisation, qui n’exercèrent jamais véritablement leur fonction de répartition. Ceux-ci ne pouvaient entreprendre qu’une répartition secondaire au sein de leur groupe économique. Avec l’arrivée d’Elmar Michel, c’est un ancien chef de service du ministère de l’Économie du Reich qui prend la tête des sections économiques du MBF. Rétrospectivement, Werner Best, son collègue parisien et chef de la section administrative, considérait ce juriste, né en 1897, comme un fonctionnaire exceptionnel, d’une grande objectivité et d’une concentration toute entière tournée vers le travail.27 Pour ses activités au MBF, le gouvernement du Reich lui avait conféré le rang de chef de l’administration de guerre, un titre spécialement créé par la dictature nazie pour l’administration des territoires occupés. L’exemple d’Elmar Michel montre que le pouvoir se concentrait toujours davantage entre les mains de ceux qui restaient en poste pendant une période relativement longue, aussi bien du côté allemand que du côté français. Ainsi, sous l’Occupation, E. Michel cumula encore d’autres fonctions, notamment celle de commissaire au commerce extérieur et à la monnaie, lors de la baisse des frais d’occupation concédée à la France.28 Les sections économiques revêtant une importance stratégique croissante, E. Michel fut nommé, le 1er août 1942, chef de l’état-major administratif.

Un tiers du personnel administratif opérationnel en France était concentré dans les services centraux parisiens, hébergés à l’hôtel Majestic. Il existe une vue d’ensemble des sections économiques du MBF pour le mois de mai 1941.30 La France recevait surtout des spécialistes de l’administration, issus à 65 % des ministères allemands.31 Les fonctionnaires avaient déjà souvent travaillé, depuis 1939, à la mise en place de la future administration d’occupation en France. Les autres spécialistes étaient des techniciens et des commerciaux. Les sections économiques du MBF comptaient plus de 30 bureaux, compétents pour chaque secteur économique. Ils étaient subdivisés en dix groupes en fonction des branches. En mai 1941, on répertoriait au total 44 chefs de bureaux et de groupes.Seuls quatre d’entre eux avaient un grade militaire, de lieutenant à capitaine. les autres, c’est-à-dire la grande majorité appartenaient à la société civile et occupaient des fonctions allant d’assistant à administrateur. Beaucoup de chefs de bureau étaient simplement des commissaires. 59 % de ces spécialistes de l’économie et des finances avaient un diplôme de doctorat. Avec près de 110 postes, les commissaires et les conseillers de l’administration militaire formaient la majorité du personnel technique. Ils étaient assistés d’autres techniciens pour les travaux d’enregistrement et d’inspection. Ainsi, dans la pratique, c’est à Paris qu’avaient lieu les négociations économiques. Si le gouvernement civil français était effectivement basé à Vichy, il n’en reste pas moins que des pans entiers des ministères avaient été maintenus à Paris. On citera en particulier les ministères économiques comme le ministère des Finances et le ministère de la Production industrielle, en relation permanente avec les sections économiques du MBF. Après l’installation du gouvernement Darlan, Jacques Barnaud fut nommé délégué général aux Relations économiques franco-allemandes (DGRE). Deux instances coexistaient par conséquent en France aussi. À l’instar de son homologue allemande, la délégation économique française auprès de la commission d’armistice basée à Wiesbaden était composée en majorité de militaires, mais aussi de diplomates tels Maurice Couve de Murville, qui joua un rôle de premier plan dans le règlement de la question des frais d’occupation. Les services Barnaud, autre nom de la DGRE, comptaient également parmi leurs membres des diplomates économiques, comme François Conty et Jacques de Bourbon-Busset. De nombreux délégués, à l’image d’Olivier Mourre, chargé des contacts avec Vichy, étaient issus du corps des inspecteurs des Finances ou de la Cour des Comptes (cas de Claude des Pontes). La DGRE comprenait également des praticiens de l’économie dépêchés à Paris, comme Jean Terray issu du secteur de l’aviation ou Bernard Lechartier, de la SNCF, ce dernier étant chef de cabinet jusqu’en juillet 1942.Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, et au prix d’une certaine épuration, au sein de la Compagnie de Saint-Gobain, la reconstruction s’opéra en continuité avec la période précédente, de 1946 à 1953. 

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