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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
9 décembre 2022

Ozone le Gouvernement Français applique l inaction climatique

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« Pas pour ma pomme » : Macron balaie les condamnations pour inaction climatique
Un excès de plus de 10 000 morts durant l’été 2022 en France en raison des canicules et du Covid-19 sous la pollution a l OZONE grace a l heure d'ete double 

Recommandation 1432 du Conseil de l Europe 

Un excès de mortalité estimé à plus de 10 000 décès. C’est le bilan de l’été en France, avec deux grands coupables : une épidémie persistante de Covid et, surtout, des canicules à répétition qui témoignent des effets meurtriers du réchauffement climatique. Lors du deuxième été le plus chaud depuis 1900, il y a eu 10 420 décès en excès entre le 1er juin et le 15 septembre, selon une estimation donnée lundi soir par l’agence Santé publique France (SpF) dans un bilan « Canicule et santé ». Une partie des décès excédentaires se concentre sur les trois épisodes de canicule : 2 816 enregistrés sur ces seules périodes. Que signifie un excès de mortalité ? C’est le nombre de décès observé par rapport à celui attendu, établi en le comparant aux cinq étés/périodes précédentes, et ajusté en fonction du vieillissement démographique.

Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, le chef de l’État a répondu à des questions sur l’écologie, tout en se dédouanant des accusations d’inaction.

« Nous nous sommes fait condamner pour inaction climatique sur la période 2015-2018 » quand « la France n'a pas été au rendez-vous des objectifs », lui répond le président Macron, assurant avoir commencé à mettre les « bouchées doubles » dès son élection en 2017. « Vous êtes très sympathique Melvak d'essayer de m'en coller une sur Twitter, mais la condamnation pour inaction climatique c'est plutôt pour la période d'avant, pas pour ma pomme », répond-il ensuite, sur le ton offensif et direct qui caractérise toute la vidéo. « Évitons de dire des bêtises et de nous accuser mutuellement. »

PETI Secretariat
Pièces jointes
10:15 (il y a 8 heures)
À moi

Cher Monsieur Labrousse, Erick

 Veuillez trouver, ci-joint, la Communication aux Membres reprenant la réponse de la Commission européenne concernant votre pétition N°01../2022.

 En vous en souhaitant bonne réception, veuillez agréer, Monsieur Labrousse, l'expression de nos meilleures salutations.

 Secrétariat des Pétitions

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Committee on Petitions / Secretariat

European Parliament

Directorate-General for Internal Policies of the Union

Directorate for Citizens' Rights and Constitutional Affairs

 

Pétition nº 0773/2022, présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, sur la pollution atmosphérique 
Données de la pétition 

0773/2022

Titre du résumé: Pétition nº 0773/2022, présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, sur la pollution atmosphérique

Numéro: 0773/2022

Thème(s): Environnement – pollution,  Transport

Pays: France

Données du pétitionnaire 

Nom: Erick Labrousse

Résumé de la pétition 

La pétition aborde différentes questions relatives à la pollution atmosphérique. Il fait référence aux traités et au principe de libre circulation des marchandises, à la directive 2008/50/CE sur la qualité de l’air, à la pollution atmosphérique en France pendant le confinement du printemps 2020 et en novembre 2020. La pétition explique l’incidence de l’heure d’été sur les pollueurs photochimiques, y compris l’acide nitreux. La pétition déroule une présentation sur l’acide nitreux, qui y est considéré comme une source de composés azotés réactifs pour l’atmosphère. Elle soutient que les États membres peuvent être tenus responsables des dommages pour la santé dus à une pollution atmosphérique trop élevée, ainsi que les institutions de l’UE, car en maintenant une mesure telle que l’heure d’été, ils favorisent la pollution photochimique.

Informations complémentaires 

feux de forets_20220828 08:03:041661709784589.pdf

recommandation 1432_20220828 08:03:051661709785168.pdf

mise en demeure 2020-2-1_20220828 08:03:051661709785263.pdf

Zone à faible emission _20220828 08:03:041661709784444.pdf

 

Parlement européen
2019-2024

Commission des pétitions

16.9.2022


COMMUNICATION AUX MEMBRES

Objet: Pétition nº 013.../2022, présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, sur les niveaux d’ozone dans l’air en France

1. Résumé de la pétition


Le pétitionnaire informe qu’en août, pendant 16 jours consécutifs, le niveau d’ozone de
240 µg/m3 en moyenne horaire, ce qui constitue le nouveau seuil d’alerte de la
directive 2002/3/CE, a été dépassé. Il relate que cette même directive impose le
déclenchement de plans d’action à court terme lorsque le seuil 240 µg/m3 est franchi pendant 3 heures. Apparemment, ces conditions ont été rencontrées durant 13 jours cet été, dont 2 en juillet et 11 au mois d’août, en régions PACA, Ile-de-France, Centre, Lorraine, Rhône-Alpes, Alsace, Bretagne et Languedoc-Roussillon.

2. Recevabilité


Déclarée recevable le 17 mai 2022. La Commission a été invitée à fournir des informations (article 227, paragraphe 6, du règlement intérieur).
3. Réponse de la Commission, reçue le 16 septembre 2022
La Commission observe qu’en 2020, dernière année pour laquelle les États membres ont
communiqué des données validées, le seuil d’alerte pour l’ozone a été dépassé en France dans 31 des 78 zones de qualité de l’air, à savoir Paris (FR11ZAG01), Île de France (FR11ZRE01), Belfort-Montbéliard (FR27ZAR01), Dijon (FR27ZAR02), Besançon (FR27ZAR03), Bourgogne-Franche-Comté (FR27ZRE01), BLDV (FR32ZAG01), Arras (FR32ZAR04), Hauts-de-France (FR32ZRE01), Strasbourg (FR44ZAG01), Metz (FR44ZAG02), Nancy (FR44ZAG03), Reims (FR44ZAR01), Grand Est (FR44ZRE01), Montpellier (FR76ZAG02), Nîmes (FR76ZAR02), Occitanie (FR76ZRE01), Lyon (FR84ZAG01), Grenoble (FR84ZAG02), Saint-Étienne (FR84ZAG03), Pays de Savoie (FR84ZAR01), Vallée du Rhône (FR84ZAR02), Vallée de la Tarentaise (FR84ZAR04), Moulins (FR84ZAR05), Auvergne-Rhône-Alpes (FR84ZRE01), Marseille-Aix-en-Provence (FR93ZAG01), Nice (FR93ZAG02), Toulon (FR93ZAG03), Avignon (FR93ZAG04), Fréjus-Draguignan (FR93ZAR01) et Provence-Alpes-Côte d'Azur (FR93ZRE01).L’ancienne directive sur l’ozone dans l’air ambiant citée par le pétitionnaire 1 a été abrogée en 2008 par la directive actuelle sur la qualité de l’air ambiant 2 . L’article 24 et l’annexe XII de la directive sur la qualité de l’air ambiant précisent que, lorsque, dans une zone ou agglomération donnée de qualité de l’air, il existe un risque de dépassement 3 des seuils d’alerte pour l’ozone spécifiés dans les directives, les États membres n’élaborent des plans d’action à court terme que lorsqu’ils estiment que, compte tenu des conditions géographiques, météorologiques et économiques nationales, il existe un potentiel significatif de réduction du risque, de la durée ou de la gravité d’un tel dépassement. Il appartient aux États membres d’analyser ce potentiel. Si, par conséquent, les États membres élaborent un plan d’action à court terme, ils doivent mettre à la disposition du public les résultats de leurs enquêtes sur la faisabilité et le contenu des plans d’action spécifiques à court terme, ainsi que des informations sur la mise en œuvre de ces plans.

Conclusion
Les autorités françaises n’ont pas notifié à la Commission de plans d’action à court terme sur mesure dans le contexte décrit ci-dessus 4 . La Commission invite le pétitionnaire à s’adresser directement aux autorités françaises compétentes.

 

  PETI Secretariat
15:39 (il y a 52 minutes)
À moi, PETI

Monsieur,Labrousse Erick

 Nous accusons réception de votre email du 28 novembre ainsi que des informations complémentaires qu'il contient. Ces informations seront analysées et ajoutées à votre dossier. Si nécessaire, elles seront transmises au service compétent de la Commission européenne qui nous épaule dans notre enquête.

 Vous serez bien entendu tenu informé en temps utile de la suite donnée à votre pétition.

 Cordialement,

Secrétariat de la Commission des Pétitions

 

From: Erick Labrousse <labrousse.erick@gmail.com>
Sent: 28 November 2022 18:03
To: PETI Secretariat <peti-secretariat@europarl.europa.eu>
Subject: Réponse Pétition nº 0100/2022

 

 

Votre message a bien été transmis au Premier Ministre

Pied de page



Pétition Nº 0193/2012 Parlement Européen   NO2         

               N° 1431/2015 Parlement Européen Heure d’été 

               N°  1082/2020 Parlement Européen "chasse heure d'ouverture vis-à-vis du soleil et non avec le changement d'heure".



 Maisons-Alfort le 20/12/2021


Monsieur le Premier Ministre 

Jean Castex 

 

Je vous écris pour l'unième fois et toujours pas de réponse de votre part sur un sujet qui met l'Europe en émoi sur un symbole du fascisme Européen l'Heure d’été des vaincus de 1945 pour le Benelux, l'Espagne et la FRANCE 

Votre passé sulfureux familiale de 1940 vous empêche d'avoir des visions et des réflexions qui entravent  votre discernement républicain suite aux 2 votes du Parlement Européen sur la fin du Changement d'heure au niveau de l'Europe 

Votre Gouvernement fait des pieds et des mains pour maintenir un symbole du fascisme Européen 

Vos amis ont voulu imposer l'Heure d’été a la Nouvelle-Calédonie contrairement au droit Européen qui démontre tout l'attachement de votre idéologie En marche a la révolution Nationale de Pétain 

Cette mesure Heure d'été de 1942 pour la zone libre à la demande de la SNCF  est contraire à la recommandation 1432 du Conseil de l'Europe sur la pollution photochimique et a l'article 1f du Traite de Maastricht et article 6 du Traite de Lisbonne 

Les mises en demeure et la condamnation de la France sur le NO2,PM10,PM2.5 et ozone par la Cour Européenne des justices ne vous préoccupent guère pour la santé des Françaises et français

Cette mesure n'a jamais fait la moindre économie d‘énergie déjà en 1940 pour la zone occupée et libre avec les deux textes de lois

 Loi du 18 décembre 1940 RELATIVE A LA RÉDUCTION DE LA CONSOMMATION DE L'ÉLECTRICITÉ

JORF du 22 décembre 1940

Arrêté du 11 février 1942 PRIS EN APPLICATION DE L'ART. 1 (2E)DE LA LOI DU 18 décembre 1940 SUR LA RÉDUCTION DE LA CONSOMMATION D'ÉLECTRICITÉ

JORF du 22 février 1942

 

Vous pouvez toujours falsifier l'histoire avec vos boniments, mais la justice vous rattrapera rapidement pour les avanies contre la République

En vertu des articles 40 et 223.6 du Code pénal et du Principe de précaution article 190 et 191 du Traité de Lisbonne 

Par l'application du principe de précaution administratif 

Le principe de précaution s’impose aux administrations. Il les oblige à développer en leur sein des procédures de prévision et d’évaluation afin de tenter de prévenir les risques majeurs pouvant conduire à l’engagement de leur responsabilité. Le principe de précaution a été introduit en droit français par la loi Barnier du 2 février 1995 sur le renforcement de la protection de l’environnement. Selon ce principe, "l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économique acceptable". Le Conseil d’État a fait application de ce principe. Dans son arrêt Association Greenpeace France du 25 septembre 1998, il a prononcé sur ce fondement un sursis à exécution d’un arrêté du ministère de l’Agriculture et de la Pêche qui autorisait la commercialisation de variétés de maïs génétiquement modifié. Ce principe a aujourd'hui valeur constitutionnelle. En effet, la révision constitutionnelle du 1er mars 2005 a annexé la Charte de l’environnement à la Constitution. Or, l’article 5 de la Charte dispose : "Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage"

Lors de l'incendie du Var 8000 hectares ont brulé et aucune alerte aux PM10,PM2.5,OZONE et NO2 malgré les recommandations de l OMS pour la protection a la santé sous la covid19

Actuellement de nombreuses alertes ont été annoncées pour les PM2.5 mais rien sur les PM10 et NO2

Le seuil en France pour le NO2 est de 360 µg/M3  d  air sur 3H  Ce seuil  a été inventé par votre Gouvernement afin d'échapper aux alertes pour la santé malgré la condamnation de la France par la Cour Européenne des justices sur le NO2 

Les conséquences sanitaires sont graves et déplorables par votre inertie en trouvant comme réponse des vaccins OGM qui sont contraires a la décision de la Cour Européenne des Justices et de la directive OGM

La preuve aucun vaccin n'a fait aucune étude de la covid19 et l'aggravation de la pollution photochimique a l'OZONE,NO2,PM10 et PM2.5 

L'acide nitreux joue un rôle primordial dans la circulation et l aggravation de la covid19 même les Labos n'ont pas été attirés par ces faits et les conséquences dans un avenir proche avec les OGM dans le corps 

Vous avez laissé se développer la pollution photochimique malgré la dernière mise en demeure sur la vapeur d‘eau industrielle et nucléaire par la Commission Européenne 

Depuis 2012 je participe à faire appliquer le respect des seuils a la protection de la santé malgré le silence assourdissant du Ministère de la Santé pour garantir une protection élevée que confère  le droit européen a ce sujet 

Article 35   du Traite de Lisbonne - Protection de la santé

Toute personne a le droit d'accéder à la prévention en matière de santé et de bénéficier de soins médicaux dans les conditions établies par les législations et pratiques nationales. Un niveau élevé de protection de la santé humaine est assuré dans la définition et la mise en oeuvre de toutes les politiques et actions de l'Union.

 Vous allez imposer la vaccination obligatoire a l OGM comme en 1940 avec le carnet vaccinal digne de l'époque du Ministère de la Santé de Vichy qui faisait des recherches dans les camps d'internement en France 

C’est de l'idéologie du docteur Menguele et la victoire de votre passe familiale sulfureux a Vic-Fezensac  32

 Votre inertie sur la pollution photochimique qui ne repose que sur les transports démontre l'inertie pour rendre obligatoire des vaccins OGM  qui n'ont qu un effet placebo  et dont personne ne peut affirmer et confirmer dans un avenir proche qu'ils ne  vont pas dégrader la santé sur d autres maladies

Nous savons que déjà avec deux doses ils ne protègent pas de la covid 19 et ils propagent la contagion avec la pollution photochimique

L’ANSM a octroyé une autorisation temporaire au laboratoire Lilly pour un traitement contre le Covid-19. Dans ce labo travaille l’épouse d’un député LREM, qui se trouve également être la mère de deux conseillers à l’Elysée et à Matignon.Au siège du laboratoire Lilly, à Indianapolis, aux Etats-Unis, en mai. (David Morrison/AP) par Anaïs Condomines publié le 2 mars 2021 à 11h09

Dans la famille Cazeneuve, on demande la mère. Le 12 février, la branche française du laboratoire américain Eli Lilly a reçu, de la part de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), une autorisation d’utilisation pour le médicament Bamlanivimab, un anticorps monoclonal contre le Sars-CoV-2 en cours d’étude. Au sein du comité de direction, en charge de «l’accès national et régional et des nouveaux produits», comme l’indique le site du labo Lilly France, figure Béatrice Cazeneuve. Un nom qui attire l’attention de plusieurs observateurs, en raison des nombreux liens familiaux supposés au sein de la majorité et de l’exécutif. Car si Béatrice Cazeneuve ne partage aucune parenté avec l’ex-Premier ministre Bernard, elle n’est autre que l’épouse du député LREM du Gers Jean-René Cazeneuve. Et la mère de deux conseillers proches de l’Elysée et de Matignon. Le premier, Pierre Cazeneuve, est conseiller municipal à Saint-Cloud, cofondateur du parti Allons enfants et conseiller technique, depuis septembre, auprès du chef de cabinet de la présidence de la République.

Matignon, ARS et McKinsey

La seconde, Marguerite Cazeneuve, a occupé un poste stratégique pendant la réforme des retraites, entre l’Elysée et Matignon, en tant que conseillère technique en charge de la protection sociale et des comptes sociaux. Depuis le mois de juillet, elle est cheffe de pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre. En outre, Marguerite Cazeneuve est l’épouse d’Aurélien Rousseau, patron de l’agence régionale de santé (ARS) Ile-de-france. Enfin, elle est passée, en 2013, par le cabinet de conseil en stratégie McKinsey, auquel l’exécutif a fait appel au sujet de la campagne de vaccination, dans le contexte d’un accord-cadre signé en 2018. Autant de connexions qui en laissent plus d’un songeurs, certains s’interrogeant devant l’omniprésence de la famille Cazeneuve dans les sphères de pouvoir, d’autres n’hésitant pas à parler de «complet scandale». Pour eux, ce traitement aurait obtenu une validation précoce des autorités de santé et surtout bénéficié de commandes massives, alors même que les études cliniques ne sont pas terminées, en raison de conflits d’intérêts évidents. CheckNews a contacté le laboratoire Lilly France. Ce dernier nous assure que ni Béatrice Cazeneuve, d’une part, ni ses enfants et son mari, d’autre part, n’ont été impliqués dans le dossier Bamlanivimab : «L’octroi de l’autorisation ayant permis la mise à disposition du Bamlanivimab repose sur une procédure médico-réglementaire. De par ses responsabilités, Béatrice Cazeneuve n’a pas été impliquée dans les discussions relatives à cette autorisation, et plus largement sur le dossier Bamlanivimab. Elle est en charge de l’accès au marché des médicaments ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché, ce qui n’est pas le cas ici. S’agissant de son mari, la délivrance d’une autorisation ne fait pas partie de ses attributions de parlementaire et relève de l’ANSM, établissement public soumis à des règles déontologiques. S’agissant de ses enfants, ni l’un ni l’autre ne sont intervenus sur ce dossier.» Côté Matignon, où travaille Marguerite Cazeneuve, on indique à Libération : «Nous réfutons tout conflit d’intérêts, dans la mesure où Marguerite Cazeneuve a proactivement déclaré les activités de sa mère et un déport de tous les sujets ayant trait aux traitements pharmaceutiques a été acté.» Libération a en effet pu consulter une lettre de Marguerite Cazeneuve en date du 23 juillet dans laquelle elle informe son directeur de cabinet qu’elle «s’abstiendra de connaître tout dossier ayant trait au groupe pharmaceutique Lilly», ainsi qu’une saisine de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). La réponse de cette dernière lui donne un avis favorable : «Un déport sur l’ensemble du secteur des produits de santé apparaît excessif. En revanche, [Marguerite] Cazeneuve devra continuer à se déporter de toute décision ou discussion relative à une mission ou une prestation au profit de l’Etat pour laquelle une société du groupe Lilly serait candidate, directement ou indirectement, quel que soit le produit de santé concerné. […] Au regard des éléments communiqués, [Marguerite] Cazeneuve peut donc piloter la stratégie du cabinet du Premier ministre en rapport avec les vaccins et les tests Covid-19 tant que le groupe Lilly n’intervient pas, directement ou indirectement, dans ces deux domaines.» Ce qui n’est effectivement pas le cas puisque, rappelons-le, les laboratoires Lilly travaillent sur un anticorps et non un vaccin. Selon les documents que nous avons consultés, un premier déport avait été organisé dès 2017 et sa prise de fonction auprès d’Edouard Philippe. Enfin, concernant les anciennes activités de Marguerite Cazeneuve au sein du groupe McKinsey, Matignon détaille que ces liens ont été déclarés en 2017 auprès de la HATVP, qui n’a alors pas demandé de déport. En outre, les services du Premier ministre indiquent qu’il n’y a «aucun lien de quelque nature que ce soit entre Marguerite Cazeneuve et son ancien employeur et que Matignon n’a pas de contrat direct avec McKinsey».

Procédure classique

Concernant la procédure d’autorisation en elle-même, il apparaît que le Bamlanivimab a suivi un parcours relativement classique. En effet, l’ANSM n’a pas délivré à Lilly France une autorisation de mise sur le marché (AMM) mais une autorisation temporaire d’utilisation dite de cohorte (ATUc). Il s’agit d’une autorisation délivrée sous plusieurs conditions : lorsque ces spécialités pharmaceutiques «sont destinées à traiter, prévenir ou diagnostiquer des maladies graves ou rares», lorsqu’il «n’existe pas de traitement approprié disponible sur le marché» et, enfin, lorsque «leur efficacité et leur sécurité d’emploi sont présumées en l’état des connaissances scientifiques et [que] la mise en œuvre du traitement ne peut pas être différée », indique le site de l’ANSM. L’agence, à l’heure où nous publions cet article, n’a pas encore répondu à nos questions, mais plusieurs documents concernant le Bamlanivimab sont en accès libre. Ainsi, l’ANSM, dans le protocole d’utilisation thérapeutique et de recueil d’informations mis en place le 26 février, justifie la délivrance de l’ATUc par le fait qu’«à ce jour, aucun anticorps monoclonal tel que le Bamlanivimab ne dispose d’une autorisation de mise sur le marché pour le traitement de la maladie Covid-19. La maladie est le plus souvent bénigne dans la population générale, mais peut s’aggraver et entraîner une mise en en jeu du pronostic vital chez certains groupes de patients au regard de leur immunodépression, de leur âge avancé ou de leurs comorbidités». En clair, donc, une ATUc permet l’utilisation à titre exceptionnel d’une spécialité pharmaceutique ne bénéficiant pas d’une AMM, dans un contexte d’urgence. Ce qui semble correspondre au profil du Bamlanivimab.

Des bases scientifiques fragiles

Demeure la question des commandes. Lors d’un point presse jeudi, Olivier Véran a annoncé que «quelque 83 centres hospitaliers ont déjà reçu des milliers de doses de ce traitement, qui pourra commencer à être administré avec prudence, initialement dans un cadre hospitalier pour des patients âgés de 80 ans et plus ou qui ont des troubles de l’immunité ». Si les patients ciblés par l’administration de ce traitement correspondent aux profils recommandés par l’ANSM, la rapidité des commandes et le nombre de centres hospitaliers déjà desservis ont de quoi étonner. En effet, les bases scientifiques concernant l’efficacité du Bamlanivimab demeurent fragiles. Une étude clinique de phase 2, encadrée par l’octroi de l’ATUC, est bien en cours, mais rien n’indique, pour l’instant, que le médicament constituera une réussite thérapeutique. Ses résultats seront étroitement suivis par l’ANSM, au moyen de remontées de rapports de synthèse mensuels obligatoires transmis par le laboratoire. Mais là encore, il ne s’agit pas d’une garantie de réussite. La Société française de pharmacologie et de thérapeutique (SFPT) se montre, elle, franchement sceptique quant à l’issue des essais, après avoir observé les données d’évaluation clinique. Dans un communiqué publié lundi, elle explique : «Cette étude de phase 2 a été correctement conçue et réalisée, mais, comme toutes les études de phase 2, sa finalité est purement exploratoire et n’est pas de démontrer l’intérêt clinique du traitement évalué. […] Au total, […] cette étude expose à un risque non contrôlé de recommander à tort un traitement.» La SFPT ajoute même que «la gravité de cette pandémie et l’urgence à traiter les patients ne justifient en rien l’utilisation à but compassionnel de traitement dont le bénéfice n’est pas connu ». Le Monde indique que cette annonce de commandes sur ce médicament « est le fruit de réunions sur les traitements présidées depuis quelques semaines par le président de la République, Emmanuel Macron». «La France a décidé de se positionner sur les traitements innovants pour redonner un élan à la réponse à la crise sanitaire», leur ont ainsi indiqué les services de la présidence. Dans ce cadre, Pierre Cazeneuze, travaillant au cabinet du président de la République, a-t-il pu jouer un rôle ? L’Elysée, ce mardi matin, a répondu sur ce point : «Pierre Cazeneuve est adjoint au chef du cabinet. Il est en charge de l’agenda et des déplacements du Président, son périmètre s’arrête là. il n’est évidemment pas intervenu dans la décision de commandes du Bamlanivimab.» Sur les commandes à proprement parler, l’Élysée nous renvoie vers le ministère de la Santé, qui n’a pas encore répondu à nos sollicitations sur ce point…..

 

Dans l'attente de votre annonce pour supprimer un fléau et une calamite pour la santé,le climat ,la biodiversité et la pollution photochimique par un symbole de l'Europe Nouvelle de la Révolution nationale l'Heure d’été des vaincus de 1945

 

Daigniez agréer, Monsieur le Premier Ministre, L hommage de mon profond respect et de mon sincère dévouement Républicain 







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