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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
26 mars 2023

Pollution le mensonge sur l Agriculture de l Etat Français et ses mécréants payes pour diffamer

 

 

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Bretagne : Plus de 99 % des eaux bretonnes sont contaminées par les pesticides

COCKTAIL Les produits phytosanitaires utilisés par les agriculteurs se retrouvent dans tous les cours d’eau, les nappes et les étangs 

Epandage des boues
De quoi s’agit-il?

L’épuration des eaux usées, comme toute activité humaine, génère des sous-produits, les boues. La quantité de boues produite est directement liée à la qualité de l’épuration des eaux.

Les boues sont constituées principalement d’eau, ainsi que de particules solides, de matières organiques non dégradées, de matières minérales et des micro-organismes qui ont participé à la bio-dégradation. Elles se présentent sous forme d’une bouillie plus ou moins épaisse, qui va subir différents traitements, visant en particulier à réduire leur teneur en eau.

L’épandage agricole constitue la voie préférentielle d’élimination de ces sous-produits d’assainissement. Il s’agit d’une solution qui présente un double intérêt environnemental et économique.

L’utilisation en agriculture des boues de stations d’épuration doit être faite de telle sorte qu’elle ne porte pas atteinte, directement ou indirectement, à la santé de l’homme et des animaux, à l’état phytosanitaire des cultures, à la qualité des sols et des milieux aquatiques. De plus, les boues constituent un engrais (azote, phosphore…) et un amendement (matières organiques, chaux…) à prendre en compte dans le raisonnement de la fertilisation des cultures.

Un cadre réglementaire a été mis en place par le décret du 8 décembre 1997 et l’arrêté du 8 janvier 1998 afin de permettre de garantir la sécurité sanitaire des épandages de boues de stations d’épuration urbaines.

Tout épandage est soumis à autorisation ou à déclaration au titre de la rubrique 2.1.3.0 de la nomenclature loi sur l’eau en fonction du tonnage de boues épandues chaque année. Une étude préalable est nécessaire, détaillant notamment les caractéristiques du produit, du sol, le contexte environnemental, les modalités d’épandage, la cartographie des zones d’épandage et la liste des parcelles concernées.

Le producteur de boues (la commune ou l’exploitant de la station d’épuration) doit présenter annuellement un bilan agronomique et un récapitulatif des opérations d’épandage, ainsi qu’un programme prévisionnel des épandages de l’année suivante.


Pour en savoir plus : http://assainissement.developpement-durable.gouv.fr/recueil.php#_6

 

Le rôle de la mission d’expertise et de suivi des épandages (MESE)
Parallèlement à l’action de l’Etat, la chambre d’agriculture de la Loire assure depuis 2007 une mission d’expertise et de suivi des épandages.

Ses missions sont de 2 ordres :

Mission d’expertise : la MESE rend un avis d’expert sur les conditions d’épandage agricole des boues issues du traitement des eaux usées.
Mission d’accompagnement : il s’agit d’une mission d’assistance technique des maîtres d’ouvrage de station d’épuration et des agriculteurs.
Dans le cadre de sa mission d’assistance, la MESE a élaboré des fiches de synthèse relatives au chaulage, à la réglementation, aux procédures, et à la zone vulnérable nitrates.

Plus d’informations sur le site de la chambre d’agriculture de la Loire.

 

Mensonges et boniments des journaleux finances par les pollueurs...

Les mensonges et boniments des journaleux et la falsification des informations La preuve ils ne parlesnt pas des pluies acides HNO3 et c'est le résultat des polluants photochimique sous l'Heure d'été des vaincus de 1945 L'épandage des boues des stations d 'épuration sont cachées par cet organisme dirigé par des escrocs de l'Environnement

Pluies acides HNO3 Formées à parties oxydes d'azote liés aux activités humaines et rejetées dans l'atmosphère, les pluies acides ont des conséquences visibles sur le sol, la flore et la faune, attaquent des métaux et engendrent des problèmes de santé.
Pollution photochimique La pollution photochimique désigne un mélange complexe de polluants formés chimiquement dans l'air, sous l'effet du rayonnement solaire, à partir de composés précurseurs émis par des sources naturelles et les activités humaines (oxydes d'azote (NOx), composés organiques volatils (COV), monoxyde de carbone (CO)) PM10,NO2,OZONE et NO2 sous l'Heure d'été double
Nouvelle Source de pollution a l'acide nitreux Des chercheurs français, suisses et allemands ont mis en évidence une nouvelle source de production d'acide nitreux (HNO2). Ce gaz, précurseurs de l'ozone troposphérique, serait produit en présence de matière organique et d'oxyde d'azote sous l'heure d'été double
Recommandation 1432 du Conseil de l'Europe
7. Cependant, elle constate que dans les pays qui appliquent l’heure d’été tout en maintenant l’avancement permanent de l’heure légale, notamment la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas, le décalage entre cette dernière et l’heure de méridien peut dépasser deux heures en été, créant ainsi la situation d’heure d’été double.
8. D’après certaines recherches et observations scientifiques récentes, ce décalage important et le déplacement des rythmes journaliers par rapport à l’heure de méridien qui en résulte sont à l’origine, dans ces pays, de certains effets qui affectent l’environnement, la santé et la condition physiologique et psychologique humaines.
9. Ils contribuent par exemple à une plus forte concentration dans l’air des oxydants photochimiques (dont l’ozone et le nitrate de péroxyacétyle), ce qui a des conséquences graves pour la santé des personnes vulnérables aux substances toxiques, mais aussi pour le patrimoine naturel et culturel.
10. Les observations menées dans ces pays montrent que le décalage important du rythme de vie par rapport au cycle solaire qui résulte de l’heure d’été double provoque chez de nombreux individus, en particulier chez les enfants et les personnes âgées, des troubles du sommeil et l’insuffisance du repos nocturne qui, à leur tour, ont des effets sur la condition générale, l’équilibre physique et les performances intellectuelles.

Épandage des boues des stations d'épuration en Bretagne hors service. Douarnenez Communauté recherche des agriculteurs souhaitant mettre à disposition leurs parcelles pour épandre les boues issues de ces stations.
Depuis quelques mois, les effluents de Poullan-sur-Mer sont traités à la station d’épuration de Poulic an Aod, située sur la commune de Douarnenez. Conséquence directe : les stations d’épuration de Leslan et Keraël, qui ne suffisaient plus à répondre aux besoins, sont aujourd’hui hors service. Dans un communiqué, Douarnenez Communauté indique être à la recherche « d’agriculteurs susceptibles de mettre à disposition leurs parcelles afin de permettre l’épandage des boues des stations d’épuration de Leslan et de Keraël. Les parcelles concernées doivent être situées dans un rayon de 7 km autour des stations d’épuration ».Une réunion publique le 20 juin
Les travaux d’épandage sont programmés pour avril 2023. « Pour réaliser le travail, la collectivité assure la réalisation du plan d’épandage et du dossier de déclaration, les analyses de terre, le chaulage systématique des terres après épandage. L’épandage et le chaulage seront assurés par une entreprise de travaux agricoles. À la fin de la prestation, la collectivité remettra un bilan des boues et de flux NPK (substances organiques) épandus sur chaque parcelle », assure la communauté de communes. Une réunion publique aura lieu à la mairie de Poullan-Sur-Mer, le lundi 20 juin à 14 h.Est-ce que les boues issues du traitement des eaux usées sont utilisées comme engrais agricoles en France ?
Riches en calcium, phosphore, azote et en matière organique, les boues issues du traitement des eaux usées ont été identifiées comme des substituts possibles aux engrais de synthèse, utilisés dans l'agriculture. Reste à les traiter et leur trouver des débouchés locauxQuel polluant n'est pas traité dans une station d'épuration classique ?
Les traitements classiques des stations d'épuration ne permettent pas de détruire la plupart des micropolluants (résidus de pesticides, de détergents, de médicaments, d'hormones, etc.) présents dans les eaux usées. Or, ces molécules, même à de très faibles doses, sont toxiques pour la vie aquatique.
Une nouvelle fois les boniments des journaleux sont une honte pour la démocratie et les empoisonneurs sont payé pour propager les fausses informations


Les boues d'épuration traitées sont majoritairement utilisées, en France, en épandage agricole : en tant qu'engrais ou compost, elles aident les sols à se développer et être plus fertiles. Néanmoins, elle peut trouver aussi d'autres destinations en fonction des contextes locaux.


Cette technique, si elle n'est pas aboutie et suffisamment maîtrisée, induit des risques de pollution et des impacts importants sur l'environnement. La méthanisation industrielle n'est pas compatible avec une agriculture respectueuse des sols et de l'environnement.

La méthanisation est un procédé très utilisé pour traiter les boues de station d’épuration et les stabiliser avant leur épandage. La méthanisation des boues de station d’épuration est un traitement efficace qui est nécessaire face à un épandage des boues pas bien accepté par la population. La principale difficulté tient à l'ambiguïté du statut des boues d'épuration : d'une part, les pouvoirs publics français encouragent l'épandage des boues (pour limiter l'utilisation des engrais chimiques), et d'autre part, les consommateurs acceptent mal que les produits se trouvant sur le marché agro-alimentaire soient obtenus à partir de plantes cultivées dans des champs ayant reçu des boues d’épuration en épandage.
Selon que les boues sont plus ou moins chargées en matières organiques biodégradables, elles seront plus ou moins aptes à la méthanisation. Les boues primaires et mixtes présentent une meilleure configuration pour la digestion anaérobie. La méthanisation se pratique surtout sur les boues mixtes.

Simplification de la sortie du statut de déchet pour les matières fertilisantes, à l’exception des boues d’épuration (art. 95 Loi Egalim du 30 octobre 2018 –Art. L 255-12 code rural et de la pêche maritime),
Généralisation du tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs d’ici 2025 (art. 70 Loi TECV du 17 Août 2015 – art. L 541-1 du code de l’environnement)
Renforcement du tri et du recyclage à la source des biodéchets, soit collectés séparément et non mélangés avec d’autres types de déchets au plus tard le 31 décembre 2023 (art. 22 Révision de la directive Cadre Déchet du 30 mai 2018 –art. D 543-226-1 du code de l’environnement),
Favoriser le retour au sol par épandage en raison d’un intérêt agronomique, autorisation du mélange de boues entres elles et également le mélange entre digestat des boues et autres déchets (projet de révision de la Nomenclature IOTA en cours et faisant l’objet de réticences de la filière agricole).

Article L541-2 code de l’environnement “Toute personne qui produit ou détient des déchets dans des conditions de nature à produire des effets nocifs sur le sol, la flore et la faune, à dégrader les sites ou les paysages, à polluer l'air ou les eaux, à engendrer des bruits et des odeurs et, d'une façon générale, à porter atteinte à la santé de l'homme et à l'environnement, est tenue d'en assurer ou d'en faire assurer l'élimination conformément aux dispositions du présent chapitre, dans des conditions propres à éviter lesdits effets. L'élimination des déchets comporte les opérations de collecte, transport, stockage, tri et traitement nécessaires à la récupération des éléments et matériaux réutilisables ou de l'énergie, ainsi qu'au dépôt ou au rejet dans le milieu naturel de tous autres produits dans des conditions propres à éviter les nuisances mentionnées à l'alinéa précédent”.

L'OBSERVATOIRE DE L'ENVIRONNEMENT EN BRETAGNE

L’Observatoire de l’environnement en Bretagne (OEB) est un groupement d’intérêt public, né de la volonté conjointe de l’État et de la Région Bretagne en 2007. Il a pour mission d’accompagner la mise en œuvre des politiques publiques de l’environnement en Bretagne dans deux domaines d’actions : l’accès à la connaissance environnementale et l’observation.
Par ses nombreuses productions, l’OEB aide au suivi de l’évolution des territoires et des politiques publiques. Il fiabilise la décision publique, facilite le dialogue et contribue à la transparence sur les données.

 

LE CONSEIL D'ADMINISTRATION

Les administrateurs titulaires du 1er collège (État) sont :

Mme Aurélie Mestres : directrice adjointe de la Dreal Bretagne (présidente de l'OEB)

M. Thomas Zamansky : chef du service Connaissance, prospective et évaluation de la Dreal Bretagne

Mme Isabelle Grytten : cheffe du service Patrimoine naturel de la Dreal Bretagne

 Les administrateurs titulaires du 2ème collège (Région) sont :

Mme Delphine Alexandre : conseillère régionale vice-présidente Santé, eau et biodiversité

Mme Carole Le Béchec : conseillère régionale commission Climat, transitions et biodiversité

M. Patrick Le Diffon : conseiller régional Ccommission Climat, transitions et biodiversité

 Les représentants titulaires du 3è collège (Collectivités) sont :

M. Jérémy ALLAIN : Conseiller délégué à la biodiversité à Lamballe terre & mer communauté

M. Michel Penhouet : Vice-président à l'environnement de Côtes d’Émeraude communauté

 Commissaire de gouvernement

M. Yves Louis : SGAR Bretagne, Chargé de mission développement durable, énergie, agriculture, et économie verte

 Contrôleur d'État

M. Luc Neuville : contrôleur budgétaire à la Direction régionale des finances publiques de Bretagne

Référent : M. Kévin Marchand (Mission contrôle budgétaire)

 
Agent comptable de l'État

Mme Corinne Bourdonnais (Direction régionale des finances publiques de Bretagne)

 LES MEMBRES

 

LA CONVENTION CONSTITUTIVE

 

Afin de permettre la poursuite des activités du groupement d’intérêt public Observatoire de l'environnement en Bretagne et de les faire évoluer vers une meilleure réponse aux besoins régionaux et infrarégionaux, l'Etat et la Région l'ont prorogé pour 6 ans (2020-2025) tout en modifiant ses statuts pour permettre l’adhésion de nouveaux membres.

2 exceptions : (R 211-27 du code de l’environnement). Boues de STEP : statut juridique 7 • La première, lorsque les matières fertilisantes et supports de cultures sont composés en tout ou en partie de boues d’épuration qui bénéficient d’une homologation, d’une autorisation provisoire de vente ou d’importation ou sont conformes à une norme rendue d’application obligatoire (ex. : la norme NFU 44 095). (voir INFRA compost contenant des MIATE/boues d’épuration) • La deuxième, lorsque l’épandage de boues d’épuration fait l’objet de réglementation spécifique au titre de la réglementation relative aux installations classées (boues industrielles).

Le Pollueur payeur est un accusateur sans la moindre emotion et ils devront etre assignées devant la justice pour manipulation de k information et la pollution photochimqiue au PM10;PM2.5 et Ozone 

 

  • Un rapport copieux de l’Observatoire de l’environnement en Bretagne souligne le piètre état des cours d’eau dans la région.
  • De très nombreux résidus de pesticides sont détectés dans les rivières de la région, notamment en raison de l’agriculture intensive.
  • Les nitrates, à l’origine du phénomène des algues vertes, sont en baisse mais restent à des niveaux élevés.

Le chiffre fait peur mais illustre une réalité. En Bretagne, plus de 99 % des analyses menées dans les cours d’eau, étangs ou nappes phréatiques montrent la présence de pesticides. L’omniprésence, devrait-on dire, car dans les 220 stations de toute la région où les prélèvements ont été menés, quasiment toutes affichaient des traces d’au moins un herbicide ou d’un métabolite (produits issus de la dégradation des pesticides dans le milieu naturel). « On a même un cours d’eau dans lequel on a détecté 83 pesticides différents », assure Aurélie Mestres.

Ces données dévoilées par la présidente de l’Observatoire de l’environnement en Bretagne sont issues des Chiffres clés de l’eau en Bretagne que sa structure vient de dévoiler. Mis en place par la région et l’État, l’OEB dresse dans ce document un portrait de l’eau dans une région où elle est depuis longtemps malmenée. Parmi les substances les plus fréquentes, on retrouve en tête du classement le glyphosate, premier herbicide vendu en Bretagne, que l’on détecte dans 35 % des stations de prélèvement. Plus inquiétant : son métabolite, c’est-à-dire le produit issu de la dégradation du glyphosate dans l’eau, a été détecté dans 65 % des stations. Un constat qui peut interroger quand on sait que certains métabolites sont encore plus résistants que leur cellule mère.

« Le souci, c’est que les niveaux moyens stagnent »

L’autre fait marquant de ce rapport sur l’eau porte sur les nitrates, présents en grande quantité dans les cours d’eau de Bretagne et qui sont à l’origine des marées d’algues vertes. Générés par l’épandage de lisier, les nitrates ont vu leur concentration baisser de 17 % de 1995 à 2020 dans les rivières et même de 27 % dans les eaux souterraines. « Le résultat des efforts de toute la profession », selon l’OEB. « Le souci, c’est que les niveaux moyens stagnent autour de 32 mg par litre, ce qui reste élevé », analyse Aurélie Mestres.

 La persistance de ces pesticides et des nitrates dans les eaux de la région a pour conséquence de dégrader le milieu naturel, en raison du phénomène d’eutrophisation. Conséquence : seulement 32 % des cours d’eau sont considérés comme « en bon état écologique ». Un chiffre qui cache par ailleurs de grandes disparités puisqu’il est de 61 % dans le Finistère, mais de seulement 2 % en Ille-et-Vilaine ! La faible pluviométrie, la chenalisation des cours d’eau et l’intensification de l’agriculture au sud de Rennes expliquent en grande partie ce chiffre alarmant.

Notons qu’en ce qui concerne l’eau potable, le seuil sanitaire de non-conformité n’a jamais été dépassé en 2021 dans la région. Le seuil de qualité a quant à lui été maintes fois débordé par des concentrations trop élevées. « 40 % de la population bretonne a reçu une eau non conforme au seuil de qualité concernant les pesticides », détaille l’OEB.

Des épisode de pollution printanière s’enchaînent, en grande partie liés aux épandages agricoles des boues  et qui sont susceptibles d’aggraver l’épidémie de Covid-19. Des associations appellent donc à « encadrer les épandages pour limiter la propagation du coronavirus ».

Dimanche 29 mars, Atmo Grand Est, l’organisme chargé de la surveillance de la pollution de l’air dans la région, alertait sur un épisode de pollution aux particules fines de diamètre inférieur à dix microns (PM10), samedi 28 et dimanche 29 mars. « Cet épisode de pollution de type mixte, en plus d’être lié aux particules d’origine carbonée, se caractérise également par une part importante de particules secondaires formées à partir d’ammoniac et d’oxydes d’azote, a précisé le communiquéL’ammoniac étant issu majoritairement des épandages de fertilisants, ces épisodes interviennent essentiellement entre février et mai. Les niveaux de particules ont monté progressivement à la faveur du temps sec et doux des derniers jours. Le seuil d’information-recommandations a été dépassé ce samedi sur les départements des Ardennes, de la Marne, de l’Aube, de la Meurthe-et-Moselle, de la Moselle, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. »

Vendredi 27 mars, ce même type de pollution avait été détecté sur le nord de la Bretagne et en particulier les départements des Côtes d’Armor, du Finistère et de l’Ille-et-Vilaine, d’après l’observatoire de la qualité de l’air Air Breizh« Cet épisode de pollution particulaire printanier résulte d’une conjonction de différents facteurs et notamment des conditions météorologiques propices à l’accumulation des polluants (temps ensoleillé, conditions atmosphériques stables, vents faibles), des émissions locales de particules fines PM10, dont principalement les activités agricoles (épandage des boues et émissions d’ammoniac générant des particules secondaires) et le chauffage (dont chauffage au bois) et de transferts de masses d’air chargées en particules en provenance du Nord-Est », a annoncé l’observatoire, prévenant que cet épisode de pollution allait perdurer le samedi 28 mars sous l heure d'ete 

 « Les épandages agricoles sont en partie responsables de la mauvaise qualité de l’air actuellement. Cet épisode de pollution amplifie la détresse respiratoire des malades atteints du coronavirus. Nous demandons donc des mesures exceptionnelles de restriction d’épandage. En plus de fragiliser notre système immunitaire et de nous rendre plus sensibles aux infections notamment virales, la pollution de l’air amplifie la diffusion et la transmission des agents pathogènes tels que le coronavirus. Ces épisodes de pollution amplifient la détresse respiratoire des malades atteints du coronavirus et compliquent les soins qui leur sont apportés. »

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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