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28 janvier 2020

les arrêtes anti pesticides sont une escrologie mediatique

hymne européen

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ozone france

 

Agriculture 1940 

À partir des années 1940, l'agriculture, devenue spécialisée et intensive, en est venue à dépendre du phosphore minéral.

Par la suite, des lois de protections des végétaux dans le cadre des exploitations céréalières, viticole et du bétail dans le cadre des élevages ont été mises en place. C'est le cas de la loi de mars 1941 qui prévoit la limitation des traitements chimiques des cultures et celui de la loi d'avril 1941 qui oblige tous les éleveurs à lutter contre les maladies animales. De même, et répondant à un idéal d’augmentation des rendements, une série de lois entre 1940 et 1941 sur la production viticole apparaît comme l'obligation pour les viticulteurs d'effectuer des cultures autres que la vigne sur leurs terres. Dans la même logique, il existe une série de lois sur les cultures céréalières. Par ailleurs, la loi de mai 1941 prévoit une standardisation des produits agricoles. Dans un souci de modernisation du secteur primaire, resté dans une dynamique très traditionnelle, il est à noter la valorisation, par la loi de janvier 1941, des coopératives de culture mécanique ainsi que par la loi d'avril 1941, qui prévoit un service consacré au machinisme agricole. Donc, une série de décrets économiques et agraires s'inscrivant dans cette même logique de réforme du monde agricole a également été mise en place l’État se trouve donc dans la nécessité de développer l'agriculture et donc de réformer la législation de manière à optimiser l'augmentation de la production et par des mesures purement agraires, mais aussi par des mesures sociales visant à augmenter la main d’œuvre touchée par la guerre et pour apaiser certaines revendications agricoles syndicales. « La terre, elle, ne ment pas », avait déclaré le maréchal Pétain. Pour Vichy, la Révolution nationale passe par le monde paysan. Son gouvernement incite au « retour à la terre » et vise à refaire de l’agriculture le premier secteur de l’économie française.

La Corporation paysanne, créée par la loi du 2 décembre 1940, fédère tous les organismes agricoles, mutualité, coopération, crédit agricole et fait cohabiter les propriétaires et les chefs d’exploitation avec les salariés agricoles, les artisans ruraux, les employés des organisations de la profession. Les paysans ne peuvent guère échapper à l’adhésion à la Corporation paysanne et au versement de leur cotisation, car c’est la condition indispensable pour utiliser les services des organismes professionnels. À chaque niveau, le syndic de la Corporation paysanne devient un notable influent : par exemple, dans les communes, il signe avec le maire les
justifications d’emploi agricole exemptant du STO (Service du travail obligatoire)

3. Principaux engrais azotés

L’ammoniac peut être utilisé comme engrais, sous la forme de gaz liquéfié sous pression injecté directement dans le sol. Si cette pratique est relativement fréquente aux Etats-Unis, elle n’est pas employée en France, où deux engrais azotés sont très couramment utilisés : le nitrate d’ammonium et l’urée. Ils sont tous deux synthétisés à partir d’ammoniac. Le choix de l’un ou l’autre (ou d’un mélange des deux) dépend de la nature de l’espèce végétale cultivée et de la composition du sol.

3.1 Nitrate d'ammonium

Le nitrate d’ammonium est un composé ionique de formule NH4NO3, formé du cation ammonium NH4+ et de l’anion nitrate NO3-. C’est un oxydant puissant. S’il se révèle utile pour fabriquer certains explosifs, son usage est surtout reconnu en tant qu’engrais : en effet, le développement de son utilisation a permis dès le début en 1941 une augmentation significative des rendements de culture.

Le nitrate d’ammonium est synthétisé à partir de l’ammoniac et de l’acide nitrique par une réaction acido-basique entre l’ammoniac gazeux et une solution concentrée d’acide nitrique :

 

Parlement européen

 

2014 - 2019

 

Commission des pétitions

 

15.4.2019

 

COMMUNICATION AUX MEMBRES

 

Objet: Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe» sur les seuils visés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe, ainsi que la protection insuffisante de la santé publique et de l’environnement à cet égard

 

1. Résumé de la pétition

 

Le pétitionnaire exprime son mécontentement quant aux valeurs cibles et aux objectifs à long terme fixés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe. Il critique aussi vertement la manière dont la France applique les dispositions en vigueur dans ce domaine. Il invite dès lors la Commission à prendre des mesures à l’encontre de la France et à appliquer des seuils plus sévères.

 

2. Recevabilité

 

Déclarée recevable le 13 juin 2012. La Commission a été invitée à fournir des informations (article 216, paragraphe 6, du règlement).

 

10. Réponse de la Commission (REV VII), reçue le 15 avril 2019

 

La Commission a engagé un bilan de qualité pour les deux directives européennes concernant la qualité de l’air ambiant. Ces directives fixent un certain nombre de normes et d’exigences en matière de qualité de l’air afin de garantir que les États membres surveillent et/ou analysent de façon harmonisée et comparable la qualité de l’air sur leur territoire. Le bilan de qualité examine également la décision d’exécution 2011/850/UE correspondante, et la directive (UE) 2015/1480 de la Commission.

 

Pour ce qui est de la procédure d’infraction concernant le dépassement des limites de dioxyde d’azote (NO2), en mai 2018, la Commission a renvoyé la France devant la Cour de justice de l’Union européenne pour n’avoir pas respecté les valeurs limites convenues en matière de qualité de l’air et n’avoir pas pris de mesures appropriées pour limiter au maximum la durée des périodes de dépassement (affaire C-636/18).

 

La Commission examine actuellement les résultats du dernier rapport annuel sur la qualité de l’air transmis par la France en février 2019, conjointement avec les dernières données fournies par les autorités françaises dans leurs réponses dans le cadre de la procédure d’infraction en cours concernant les particules (PM10). En fonction de l’issue de cet examen, la Commission décidera des mesures les plus appropriées au cas d’espèce.

 

Conclusions

 

La Commission compte conclure le bilan de qualité des directives concernant la qualité de l’air ambiant à l’automne 2019. Les résultats de ce bilan de qualité serviront de base pour l’établissement de conclusions politiques concernant l'avenir du cadre réglementaire pertinent. En parallèle, la Commission poursuit son action en justice tant que celle-ci est nécessaire.

La France condamnée par la justice européenne pour la qualité de son air

La justice européenne a estimé que la France a dépassé "de manière systématique et persistante" depuis 2010 le seuil limite dans l'air de dioxyde d'azote, gaz polluant principalement issu des moteurs diesel, dans une décision rendue jeudi.

La Commission européenne avait saisi la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) en mai 2018 après près d'une décennie de mises en garde. La France compte parmi les Etats membres, avec aussi l'Allemagne et le Royaume-Uni, contre lesquels Bruxelles avait décidé d'agir face à un problème persistant dans l'Union.

 À ce jour, un certain nombre de consultations ont permis de recueillir les avis de plusieurs parties prenantes. Il s’agit notamment d’enquêtes ciblées, d’entretiens et de groupes de réflexion avec des parties prenantes sélectionnées, ainsi que d’une consultation publique en ligne de nature générale. Les résultats provisoires de l’étude d’appui du bilan de qualité ont été présentés lors du deuxième atelier des parties prenantes sur le bilan de qualité qui s’est tenu le 15 janvier 2

Les végétaux sont en première ligne face aux pollutions atmosphériques car ils vivent fixés et constituent la base du fonctionnement des écosystèmes terrestres et aquatiques. La nature et l’importance de l’impact des polluants atmosphériques sur les végétaux va dépendre des caractéristiques physiologiques et biochimiques du végétal touché, et des propriétés du ou des polluants rencontrés. Les perturbations physiologiques des plantes sont variées et sont observables, selon la nature du polluant, sur des zones plus ou moins étendues qui vont de l’échelle locale jusqu’à l’ensemble de la planète. Ces réponses vont immédiatement se répercuter sur le fonctionnement des écosystèmes et en particulier sur les relations plantes-insectes. Elles peuvent aussi avoir des effets sur la santé humaine, les végétaux étant à l’origine de nombreuses chaînes alimentaires.es polluants gazeux pénètrent dans la plante comme les autres gaz atmosphériques (CO2, Oxygène,…), principalement par l’intermédiaire des stomates présents sur les surfaces foliaires. Par contre, une large partie des polluants organiques va surtout être absorbée par la structure lipidique que constitue la cuticule (Figure 2). Seule une faible partie va pénétrer dans la feuille, puis diffuser et réagir entre et dans les différents compartiments internes que constituent l’apoplaste et le symplaste Les polluants particulaires (organiques ou inorganiques) sont d’abord captés par les surfaces foliaires (grâce au micro-relief crée par la présence des cires épicuticulaires, des trichomes, etc…), dans une gamme de tailles qui est généralement comprise entre 1 et 10 µm. En forêt, ce dépôt particulaire peut osciller entre 280 et 1000 kg par hectare. Par la suite, les conditions météorologiques comme le vent, le soleil et surtout la pluie (lessivage des feuilles, dissolution des particules inorganiques) influencent les caractéristiques de ce dépôt  a plante réagit à la pollution atmosphérique en produisant des dérivés réactifs de l’oxygène. Après pénétration dans les feuilles, et comme pour la majorité des stress biotiques et abiotiques (Lire La vie fixée des plantes et ses contraintes ; Comment les plantes supportent les stress alpins ?), les polluants vont tout d’abord entraîner chez la plante un stress oxydatif avec production de radicaux libres (radicaux hydroxyles) et de dérivés réactifs de l’oxygène (DRO) susceptibles de provoquer des dégâts à différents niveaux (Figure 5) [7]. En particulier ces DRO vont avoir trois cibles principales au niveau des cellules : les lipides (au niveau des membranes), les protéines (au niveau des acides aminés) et les acides nucléiques (formation d’adduits).Parallèlement le polluant va entraîner un stress spécifique lié à ses caractéristiques physico-chimiques propres :

 

Ainsi, dans le cas d’une pollution par l’acide fluorhydrique (HF), on observera une perturbation du métabolisme cellulaire du calcium (précipitation du calcium sous forme de CaF2).

Dans le cas d’une pollution aux oxydes de soufre (SO2…), les propriétés réductrices de ce gaz vont perturber le fonctionnement de l’appareil photosynthétique (dégradation de la chlorophylle)

De leur côté, les pluies acides sont à l’origine de carences minérales entrainant le jaunissement des feuilles suite au pluvio-lessivage des éléments minéraux Ca, K et Mg.

Face à ces stress, la stratégie classique de défense de la plante vise à limiter l’absorption du polluant et augmenter sa tolérance à celui-ci. Elle consiste à mettre en œuvre : des processus physiques : fermeture des stomates, chute de feuilles… ;

des processus chimiques et biochimiques. Ces facteurs chimiques et biochimiques correspondent à : la fabrication de précipités insolubles (formation de CaF2 dans le cas d’une pollution par le fluor) ;la détoxification par l’émission de forme réduite du polluant (H2S dans le cas d’une pollution par SO2, NH3 dans le cas d’une pollution par les NO2) ;

des dégradations enzymatiques par les cytochromes P450 et par un certain nombre d’enzymes antioxydantes . Des composés antioxydants non enzymatiques comme le glutathion, les vitamines E et C et les caroténoïdes peuvent aussi intervenir.Lors de l’installation d’un ‘stress pollution’, la plante va donc mettre en place (plus ou moins rapidement) des processus qui viendront s’ajouter au pool de processus de défense déjà présent dans la plante. Suite à l’agression, la résistance de la plante au polluant résultera de la combinaison de ces divers processus. C’est pour cette raison qu’il existe une échelle spécifique de sensibilité des plantes pour chaque polluant et pour chaque plante.

 

Dégâts visibles et invisibles. Lors de faibles pollutions et/ou lorsque les systèmes de défense de la plante sont suffisants pour limiter l’impact physiologique d’un polluant, cette résistance a tout de même un coût physiologique, qui se caractérise par des diminutions de taille, des baisses de rendement… On parle alors de « dégâts invisibles ».

 

Lors de fortes pollutions et/ou lorsque les systèmes de défense de la plante ne sont pas suffisants, des dommages irréversibles apparaissent comme des morts cellulaires (les nécroses foliaires entre autres). On parle alors de « dégâts visibles » liés à la pollution atmosphérique

 

La plante réagit en fonction des conditions environnementales. La plante, comme tous les systèmes biologiques, est sensible en même temps aux facteurs abiotiques (température, humidité, lumière…) et aux facteurs biotiques (âge, maladies, génotypes…) de son environnement. Si les maladies ont un impact négatif, d’autres facteurs peuvent avoir des répercussions positives sur la réponse de la plante à la pollution atmosphérique. Ainsi, la sécheresse conduit à la fermeture des stomates, ce qui protège la plante, tandis que l’augmentation du CO2 favorise la photosynthèse. L’évolution journalière de la pollution atmosphérique va aussi se répercuter sur la réponse des plantes. C’est ce que montrent les observations de terrains : Durant les périodes de canicule, les fortes chaleurs entrainent de très fortes concentrations en ozone dans l’air mais parallèlement une fermeture des stomates. Le résultat est alors un très faible impact de ce polluant sur la végétation durant ces périodes. C’est ce qui a été constaté au niveau des forêts durant la canicule de 2003.

L’AIRAQ supprime un site sur la protection des végétaux   Le fait que le gouvernement retire Iraty en Région Nouvelle Aquitaine sur la surveillance de la pollution à  la protection des végétaux est un aveu d irresponsabilité vis a vis de la santé

Le fait de nous faire croire que La Nouaille 23 est a la même altitude qu Iraty c’est nous dire quand 5 ans notre dame sera reconstruite avec une nouvelle forêts ..en pin..

Bonjour, Monsieur Labrousse erick En réponse à votre sollicitation,

 Je vous confirme que tout arrêt de station en France doit faire l'objet d'une confirmation auprès des instances nationales qui elles mêmes font le relai auprès de la communauté européenne. De nombreuses stations permettent la validation des réglementations au niveau communautaire. La station d'Iraty était une station dite rurale nationale qui permet d'avoir une information en dehors de toute activité humaine. Elle a été fermée pour des questions techniques compte tenu notamment de la présence d'une station sur le Limousin qui elle fonctionne 365 jours / an (contre uniquement l'été pour Iraty). Cette station sur la commune de La Nouaille (23)Altitude Min. 576 m Max. 846 m mesure notamment l'ozone et le dioxyde d’azote No2 . Les niveaux sont globalement comparables puisque le positionnement répond aux mêmes critères. C'est faux Iraty  est en montagne 64 Altitude 1350 m Altitude maximum 1500 m Altitude minimum

L'ozone est effectivement un polluant qui impacte l'indice de la qualité de l'air mais les niveaux généralement obtenus sont en augmentation en Europe . Les polluants regardés très fortement aujourd'hui en France sont notamment pour les polluants dits "classiques" les particules, et les NOx en situation de proximité automobile notamment. Les particules sont de l ozone ...

 En espérant avoir répondu à vos attentes

Bien cordialement

Rémi FEUILLADE

Directeur d'exploitation Airaq

Mais l'oubli de ce monsieur sur le NO2 est grave et démontre les manipulations sur cette surveillance de l air ..La chimie atmosphérique fait de la résistance L'ozone est consommé par le biais de réactions chimiques dans l'atmosphère pour former du dioxyde d'azote. Or, comme les niveaux moyens d'ozone sont relativement stables, la formation de dioxyde d'azote reste favorisée par l acide nitreux ..

Les arrêtés anti pesticides sont une véritable escroquerie écologique sous l'heure d'été de pétain 1942 C’est une méprise de salubrité publique républicaine

Les Stentors - Le chant des partisans (Clip officiel)

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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