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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
16 juin 2021

le nucléaire et sa vapeur d'eau un danger



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 La vapeur d'eau, contenue dans les nuages ou les fumées des tours des centrales nucléaires est un puissant gaz à effet de serre (GES).

C’est sans doute ce que retiendront les partisans du nucléaire dans le plan de relance de l’économie publié le 3 septembre 2020. Le gouvernement inclut en effet l’énergie nucléaire dans ce plan au titre des énergies et technologies vertes qui ont un « potentiel de réduction massive des émissions à long terme ».

Il s’agit là d’une inflexion importante de la politique énergétique de notre pays qui reconnait (enfin) les atouts du nucléaire, marquant au passage sa différence avec la Commission Européenne qui n’en est pas encore à ce point majeur.

Au moment où il est confirmé que deux français sur trois croient que cette énergie émet des gaz à effet de serre, cette nouvelle est d’importance.


Publication de l’acte délégué de la taxonomie européenne : la Commission veut se prémunir d'un rejet par le Parlement

La Commission européenne a publié l’acte délégué pour l’application de la taxonomie sur les activités vertes. Plusieurs mois de travail ont été nécessaires pour élaborer le texte, pendant lesquels la pression n’a cessé de s’intensifier de la part des industriels et des États. Au final, le document n’intègre ni le gaz naturel ni le nucléaire dans la taxonomie, remettant la décision à plus tard, et adopte des critères peu contraignants pour la gestion des forêts.

Nucléaire : à Bruxelles, l’Europe  veut la peau de l’atome avec les pétitionnaires contre le NO2

L’Allemagne s’oppose à ce que le nucléaire, pourtant décarboné par les amis de Pétain de l ADEME , soit considéré comme une énergie durable dans la “taxonomie verte”, une classification européenne permettant d’obtenir des aides de l’État et de l’UE. Nos voisins, qui ont tourné le dos à l’atome, produisent encore 40 % de leur électricité grâce à des énergies fossiles émettrices de CO2.

Les amis de Pétain de l ADEME et le nucléaire ont perdu a Bruxelles Victoire contre la vapeur d'eau industrielle radioactive un fleau et une calamite pour la santé,le climat,la biodiversité Ça y est ! Après des mois de débat, la Commission européenne a enfin publié l’acte délégué de la taxonomie européenne sur les activités vertes pour l'atténuation du changement climatique et l'adaptation.
Tiraillée entre l’influence de lobbys industriels et le poids de certains états européens, la Commission a dû faire des arbitrages. Ainsi, comme attendu, la question du nucléaire est reportée. Quant au gaz, s'il avait été intégré sous conditions dans une première version, son cas sera aussi réexaminé. Les commissaires ont aussi fait des compromis sur l’agroforesterie, en réduisant les exigences pour ce secteur. Pour les Commissaires, ces compromis étaient indispensables pour que la Taxonomie ne soit pas rejetée par le Parlement européen. Mais Mairead MacGuiness, Commissaire européenne aux Services financiers, prévient : "la taxonomie est vivante" et va évoluer selon les données techniques et scientifiques.
La pollution atmosphérique est clairement définie par la loi (article 2 de la loi no 96-1236 du 30 décembre 1996) : «Constitue une pollution atmosphérique l’introduction par l’homme, directement ou indirectement, dans l’atmosphère et les espaces clos, de substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives »
La vapeur d eau industrielle du nucleaire et des incinérateurs , l’autre gaz à effet de serre

 

La réglementation européenne évolue à grande vitesse ces derniers jours. Pour s’y retrouver dans le labyrinthe des dispositifs européens et en comprendre la cohérence, l’Essentiel de la Finance Durable propose des Briefs complets et à jour sur chaque sujet, qui permettent de maîtriser rapidement ces dispositifs-clés de la finance durable. On y trouve tout ce qu’il faut savoir de la nouvelle Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD), qui remplace l’ancienne NFRD, mais aussi la Taxonomie européenne, dont l’acte délégué vient d’être publié, ou encore la réglementation Disclosure (Sustainable Finance Disclosure Regulation, SFDR). Des points de repères fort utiles en ce moment alors que le plan d’action sur la finance durable de la Commission européenne, présentée en 2018, commence à entrer en application. La proposition de directive CSRD remplace ainsi l’ancienne directive sur le reporting non financier (NFRD) des entreprises, en lui donnant plus d'ambition. Elle fournira des données précieuses aux investisseurs tant pour leurs décisions d’investissement que pour leur propre reporting ESG.

Si l’Europe a pris de l’avance dans la réglementation de la finance durable, les États-Unis de Joe Biden semblent bien décidés à rattraper leur retard. Le "Earth Day" organisé par le Président américain a ainsi donné l’occasion aux grandes banques de renforcer leurs engagements sur les financements climatiques et sociaux, comme si elles se préparaient à un renforcement de la réglementation. Des annonces applaudies dans un post LinkedIn par le directeur des recherches de l’institut australien d’analyse de l’énergie, sur lequel de nombreux commentaires ont déploré le retard grandissant de l’Australie sur le climat.

Le plus grand contributeur à l’effet de serre n’est pas le CO2, mais la vapeur d’eau. Des scientifiques analysent sa répartition dans l’atmosphère afin de prédire plus précisément son impact sur le changement climatique. Les données récoltées leur ont réservé une surprise. 

Les scientifiques de l’Université de Berne ont été bien étonnés lorsqu’ils ont évalué leurs données en 2018. Pendant plus de dix ans, ils avaient mesuré la concentration de vapeur d’eau dans la couche moyenne de l’atmosphère au-dessus de leur ville. Elle y avait baissé de 12% en moyenne, contrairement aux couches inférieures où elle avait augmenté. «Les causes ne sont pas encore clairement établies», confie Martin Lainer, aujourd’hui à Météosuisse à Locarno.

La vapeur d’eau ne constitue que quelques pourcents des molécules de l’air, mais c’est le gaz qui a le plus d’impact sur le climat (voir «Les principaux gaz à effet de serre»). «L’eau atmosphérique constitue un paramètre central pour la météo et le climat», souligne Heini Wernli de l’Institut pour l’atmosphère et le climat de l’ETH Zurich. On en trouve partout et sa présence dans les couches inférieures contribue de manière décisive à l’effet de serre naturel. Sa répartition spatiale et temporelle est longtemps restée mal connue, mais on peut désormais mesurer plus précisément sa concentration dans diverses couches d’air grâce à de nouvelles méthodes et de nouveaux instruments au sol ou embarqués dans des satellites.

Golfech. Incident à la centrale nucléaire : de la vapeur d'eau radioactive s'échappe d'un robinet

Un incident de niveau 1 a été signalé mercredi 10 juin 2020 par la centrale de Golfech (Tarn-et-Garonne), où de la vapeur d'eau radioactive s'est échappée vendredi d'un robinet.

Nuit d'angoisse nucléaire à Civaux. Mardi soir, une fuite d'eau radioactive a mis en alerte la centrale.

Une brèche dans une canalisation du circuit de refroidissement de ce réacteur «nouvelle génération» a donné des sueurs froides à tous les responsables de la sûreté. Selon un document interne à EDF, dont Libération a eu connaissance, ils ont ­ entre 19 h 45 et 5 h 20 du matin ­ véritablement pataugé, incapables de localiser l'origine de la fuite, puis de la colmater. Eprouvant enfin de grandes difficultés à stabiliser l'ensemble de l'installation. «C'est un incident technique grave. Il révèle un défaut de fabrication sur une pièce de métallurgie stratégique et une défaillance des contrôles de qualité», juge le physicien Raymond Sené, membre du Conseil supérieur de sûreté et d'information nucléaire (CSSIN).

 

Découverte d’une nouvelle source d’acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

vendredi 10 mars 2006

Des chercheurs du Laboratoire d’application de la Chimie à l’Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l’Institut Paul Scherrer (Suisse), et l’Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l’existence d’une source de production d’acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d’azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l’ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques.

En présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère[1], et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux sont parus dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction.
En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

Premier bilan de la pollution photochimique observée en France au cours de l'été 2003

Les conditions climatiques et les températures exceptionnelles de l'été 2003 ont conduit à des niveaux de pollution photochimique particulièrement élevés en France. Une telle situation n'avait jamais été rencontrée depuis 1991, date de la généralisation des mesures de l'ozone sur l'ensemble du territoire.

Rappelons que la pollution photochimique désigne un cocktail complexe d'ozone et d'autres polluants formés chimiquement dans l'air, sous l'effet du rayonnement solaire ultraviolet, à partir de composés précurseurs émis par des sources naturelles ou anthropiques (oxydes d'azote, composés organiques volatils, monoxyde de carbone). Il est bien établi que ces polluants présentent des risques pour la santé et l'environnement, et les niveaux d'ozone dans l'air ambiant sont régis par la directive européenne 92/72/CEE adoptée en 1992 (une nouvelle directive sur l'ozone adoptée en 2002 est applicable à compter du 9 septembre 2003 au plus tard). La directive 92/72/CEE comporte un seuil d'information fixé à 180 µg/m3 en moyenne horaire qui correspond au niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé de populations particulièrement sensibles.

La surveillance de l'ozone en France, assurée par les 40 Associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (AASQA), a reposé en 2003 sur 426 sites fixes équipés d'analyseurs automatiques, répartis sur l'ensemble du territoire. Les données de l'ensemble de ces sites sont régulièrement transmises à l'ADEME, et archivées au sein de la Base nationale de données de la qualité de l'air (BDQA) dont l'exploitation a permis de dresser un premier bilan de la situation de l'été.

La répartition temporelle des dépassements du seuil d'information de la directive 92/72/CEE mesuré par les AASQA tout au long de l'année 2003 jusqu'au 16 septembre est illustrée par la figure 1. Certains dépassements sont apparus dès les mois d'avril et mai (périodes classiques d'apparition des premiers pics de pollution par l'ozone)

 

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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