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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
4 décembre 2017

les matériaux se détériorent sous l'effet de la neige en montagne

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TPE - Les pluies acides, une menace invisible

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Les conséquences des pluies acides sur la flore et Matériaux

 

L'enrichissement de l'atmosphère en ozone est estimé à 1 % par an, il est très dépendant de l'ensoleillement et sujet à de fortes variations interannuelles. l'heure d'ete est un facteur aggravant. L'ozone, à certains seuils de concentration, pourrait avoir un effet dépressif sur la physiologie de la croissance des espèces forestières ( le Picea y étant peu sensible) en provoquant une sénescence précoce des tissus pour la plupart des espèces, mais les concentrations sont mal connues et les effets sont variables selon les régions.

   NO2 + H2O  à HNO3

 Les pierres sont attaquées par la pluie et le vent, mais la présence d'acide dans les pluies accroît considérablement leur effet corrosif. De plus des polluants riches en  soufre   peuvent se déposer puis se combiner à la pierre calcaire ou au grès et donner une substance friable facilement emportée par l'eau de pluie. Des monuments aussi célèbres que le Parthénon d'Athènes ou la statue de la Liberté à New York sont abîmés par les pluies acides. Même les rails des trains sont attaqués en Tchécoslovaquie. Les pluies acides accélèrent l'érosion naturelle. Les pluies acides dissolvent et emportent immédiatement la pierre.

Dans les nuages, les oxydes d’azote se combinent avec l'oxygène pour former l'acide nitrique (HNO3). Les réactions créant HNO3 sont beaucoup plus rapides dans un air pollué par du fer, de l'ammoniac, du manganèse ou du péroxyde d'hydrogène. De plus, ces gaz retombent sous deux formes : des dépôts secs (l'acide se mélange plus tard à l'eau) et des précipitations acides proprement dites. Il s'agit d'acide nitrique, d'aldéhydes et surtout d'ozone. Les oxydants photochimiques se forment à partir de rejets d'oxydes d'azote et d'hydrocarbures sous l'action du rayonnement solaire.

 

 

Les pluies acides dissolvent les éléments nutritifs qui composent le sol, ceux-ci seront ensuite emportés par les pluies. Elles tuent aussi les micro-organismes laissant les sols sales, et ainsi éliminant toutes chance de regénération des éléments nutritifs.

Il y aura aussi décolorations des feuilles des plantes ce qui les empêchera de pratiquer la photosynthèse et les arbres perderont leurs épines. Il est aussi possible de des substances libérées du sol empoisonnent les arbres, et l’acide s’attaquera aux racines. Ceci mène à des conditions climatiques difficiles causé par une diminution de flore dans le monde et à une augmentation de mortalité par rapport aux épidémies.

Les pluies acides. Définition :

 Le phénomène des pluies acides est une forme de pollution responsable d’importants dommages sur l’environnement résultant de l’association des oxydes de soufre (SOx) et d’azote (NOx) avec l’humidité de l’air qui libère de l’acide sulfurique (H2SO4) et de l’acide nitrique (HNO3) qui sont ensuite transportées très loin de leur source d’émission avant d’être précités sous formes humides (pluies, brouillard, neige…) caractérisées par un Ph inférieur à 5.6(acide).Les pluies acides résultent de la dispersion dans l’atmosphère de polluant comme dioxyde de soufre le SO2 et oxyde d’azote le NO2. Ces derniers proviennent de la combustion de la matière fossile (charbon) et des centrales nucléaires qui sont produits par des éruptions volcaniques… Une fois introduit dans l’atmosphère les plus lourd vont retomber à proximité et les plus léger voyage par les courants aériens sur plusieurs Km et vont donc réagir avec l’eau de l’atmosphère dans les courants aériens.

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.

 

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain. C'est a dire en tenant compte de l'heure d’été et de l'avancement artificiel des activités humaines sous l’intensité des UV

 

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

 

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Commentaires
E
merci a vous
Répondre
E
Merci a vous
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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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