Changement d'heure c'est la fin en Europe
Cen'est qu'un au revoir -Andre Rieu-Concert-Auld Lang Syne
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La Belgique et le Luxembourg veulent mettre un terme a l'heure d’été du 3 Reich
La crise du pétrole de 1973 avait invité les dirigeants du monde à s’interroger sur les méthodes à employer pour réduire la consommation de pétrole, dont les cours avaient flambé. En 1974, l’Espagne et l’Albanie ont commencé à introduire une heure d’été. La Grèce et Chypre, puis d’autres pays du monde leur ont rapidement emboîté le pas dès 1975 (la France en 1976, les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg, le Portugal et la Pologne en 1977, puis la République fédérale d’Allemagne ainsi que l’Autriche, le Danemark, la Hongrie, la Norvège et la Suède en 1980, l’Union soviétique, la Suisse, la Finlande et le Liechtenstein en 1981, la Yougoslavie en 1983, et enfin Andorre s’est jointe en 1985).
L'heure d’été fut introduite la première fois en 1940 par l'invasion de la France par le 3 Reich
En 1942 le gouvernement de Vichy a la demande de la SNCF va introduire cette mesure pendant 5 ans
Le Gouvernement provisoire de la libération suite a la décision du C.N.R va interdire cette mesure
L'ordonnance du 14 août 1945 va introduire 2 ordonnances qui rendent l'heure d’été illégale
L'heure d’été n'a jamais permis d’économiser la moindre quantité d’énergie même en 1940 le régime de vichy va prendre 2 mesures pour économiser la production électrique
JORF du 22 décembre 1940 page 6214
Loi du 18 décembre 1940 RELATIVE A LA REDUCTION DE LA CONSOMMATION DE L'ELECTRICITE
Arrêté du 11 février 1942 PRIS EN APPLICATION DE L'ART. 1 (2E)DE LA LOI DU 18 décembre 1940 SUR LA REDUCTION DE LA CONSOMMATION D'ELECTRICITE Pendant la guerre la consommation électrique était 65% moins importante qu'aujourd'hui Nous pouvons ainsi découvrir les manipulations des amis du Maréchal Pétain de l'ADEME
La création de deux “heure d’été” et d’une “heure d’hiver” a été instituée en Belgique en 1977. Elle fait suite à la crise du pétrole de 1973. Mais le Parlement européen envisage de voter son abolition en décembre.
La crise du pétrole de 1973 avait invité les dirigeants du monde à s’interroger sur les méthodes à employer pour réduire la consommation de pétrole, dont les cours avaient flambé. En 1974, l’Espagne et l’Albanie ont commencé à introduire une heure d’été. La Grèce et Chypre, puis d’autres pays du monde leur ont rapidement emboîté le pas dès 1975 (la France en 1976, les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg, le Portugal et la Pologne en 1977, puis la République fédérale d’Allemagne ainsi que l’Autriche, le Danemark, la Hongrie, la Norvège et la Suède en 1980, l’Union soviétique, la Suisse, la Finlande et le Liechtenstein en 1981, la Yougoslavie en 1983, et enfin Andorre s’est jointe en 1985).
Le passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver semble difficile pour certaines personnes. Surtout pour les enfants et les gens âgés. L’adaptation dure parfois une semaine entière. Et le fait de laisser la lumière allumée plus longtemps le soir peut entraver l’endormissement et donc réduire la productivité au travail.
En 2007, les scientifiques de l’Université de Groningue en collaboration avec l’Université Louis-et-Maximilien de Munich ont découvert que l’heure d’été avait un impact long et significatif sur l’horloge biologique des gens. De plus, l’économie d’énergie espérée avec le changement d’heure n’est pas du tout celle qui était attendue.
Plusieurs membres du Parlement européen estiment que le changement d’heure est donc devenu inutile. Ils aimeraient organiser un vote pour y mettre fin au moins de décembre. Si la majorité des pays est d’accord, cette idée devra être étudiée par la Commission européenne et approuvée par chaque état. Si tel est le cas, nous n’aurons plus d’heure d’été. Seulement l’heure d’hiver, qui est en fait l’heure normale. Mais tout ça ne devrait se mettre en place que dans un ou deux au plus tôt.
En direct de l'Europe. Le changement d'heure fait toujours débat au Parlement européen
Toute l'Union européenne est passée à l'heure d'hiver la nuit dernière. Si la pratique n'est pas obligatoire, les dates de changement sont harmonisées depuis 1998 par une directive, afin de faciliter les communications et les transports. Changer d'heure deux fois par an, ce n'est bon ni pour la santé, ni pour l'agriculture, estiment certains eurodéputés.
Les Européens ne vivent pas tous à la même heure
Mais ils règlent tous leurs montres à la même date. L'Allemagne et le Royaume Uni ont été les premiers à introduire le changement d'heure estival dès 1940, afin de réduire la consommation d'énergie et de mieux profiter de l'ensoleillement. Dans les années 1980, la pratique s'est étendue à l'ensemble des pays, puis a été harmonisée par des directives européennes à partir de 1998, afin de faciliter les communications et les transports.
Les États membres ne sont pas obligés de changer d'heure. En revanche ils doivent tous le faire au même moment : la reculer d'une heure lors du dernier dimanche du mois d'octobre et l'avancer le dernier dimanche du mois de mars. S'ils souhaitent y renoncer, ils ont l'obligation d'informer leurs partenaires au moins trois ans à l'avance.
a pratique continue néanmoins de faire débat chez les députés européens
Ils ont interpellé la Commission sur la question et en ont débattu cette semaine à la fin de leur session mensuelle à Strasbourg. Sur la quinzaine d'élus de la commission des pétitions présents dans l'hémicycle ce jeudi après-midi, tous se sont prononcés contre le changement d'heure, à l'exception de l'eurodéputé socialiste belge - wallon - Marc Tarabella.
Ils ne sont pas contre l'harmonisation, estiment même qu'il s'agit d'une bonne chose. Mais ils dénoncent les changements deux fois par an et mettent en avant les conséquences sur la santé, la fatigue, l'irritabilité, la dépression, les accidents de la route, ainsi que les doutes quant aux économies d'énergies effectivement réalisées. Et ils s'appuient sur l'opinion publique européenne : plus de la moitié des Français seraient favorables à la suppression de ce changement d'heure ; jusqu'à 73% des Allemands.
La Commission européenne souligne qu'elle n'a été saisie par aucun des 28 Etats membres. Elle promet néanmoins d'examiner les arguments des eurodéputés (qui figurent déjà en partie dans une étude publiée par Bruxelles en 2015), et de rendre son analyse dans le courant de l'année 2017.
Le débat sur l'utilité de changer d'heure deux fois par an n'est pas neuf. Le ministre luxembourgeois de l'Agriculture l'a relancé ce week-end avec un message sur Facebook, se positionnant contre cette règle, au moment où tout le monde a reculé ses horloges et montres d'une heure. «L'horaire d'été a davantage d'inconvénients que d'avantages», selon lui.
Les animaux subiraient notamment trop de désagréments, avec un dérèglement de leur horloge biologique. «Évidemment, cela vaut aussi pour les enfants et les personnes malades et âgées», écrit le ministre. Selon lui, cela entraînerait même des accidents avec des animaux sauvages. Il conclut en demandant l'abandon de l'horaire d'été, qui reviendra fin mars.
Fernand Etgen n'est pas le seul à demander une telle réforme. La Commission européenne elle-même demande la même chose et la question est actuellement étudiée. Les effets du changement d'heures, censé permettre d'économiser de l'énergie en vivant davantage en fonction de la luminosité naturelle, restent contestés.
La Belgique passera à l’heure d’hiver durant la nuit de samedi à dimanche. Concrètement, cela signifie que le dimanche 29 octobre à 3h du matin, nous reculerons d’une heure, il sera donc 2h. L’heure d’hiver sera effective jusqu’au week-end du 24 mars 2018. Pour le MR, il est temps de vraiment s’interroger sur l’opportunité du changement d’heure, deux fois par an, indique la DH.
Les députés fédéraux Gautier Calomne et David Clarinval, chef du groupe MR à la Chambre, ont déposé vendredi une proposition de résolution qui a pour objectif de demander au gouvernement de porter le débat au niveau de l’Union européenne. Si, après étude, le changement d’heure s’avérait superflu ou contre-productif, le gouvernement devrait « plaider aurpès des instances européennes l’abrogation de cette mesure ». Pour Calomne, il ne fait aucun doute : « quand on voit les études sur le sujet, on peut tout de suite mettre fin au système ».
Cher Monsieur Labrousse,
Je vous remercie pour votre message, qui a retenu ma meilleure attention, ainsi que pour l'envoi de ces différents documents.
Ceux-ci ne manqueront pas d'alimenter ma réflexion et mon action à ce sujet.
Bien cordialement,
Gautier Calomne
Gautier CALOMNE
Député fédéral
Chef de groupe MR au
Conseil communal d'Ixelles