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3 décembre 2021

Vaccin OGM les compromissions de l Etat Français sous l Heure d'ete des vaincus de 1945

 

 

 

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Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence européenne du médicament

 

Initialement, l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) appartenait à chaque État membre. Un règlement de 1993, remplacé par un règlement de 2004 régulièrement modifié, a institué une agence d’évaluation : l’Agence européenne des médicaments (EMA).

L’EMA se compose d’un conseil d’administration de 36 membres, dont la plupart représentent les États membres (le plus souvent le directeur ou président de leur agence nationale). Le conseil d’administration nomme un directeur exécutif entouré de sept comités d’experts.

L’agence fait partie de la vaste catégorie des organismes plus ou moins décentralisés, aux dénominations elles-mêmes variables (agence, office, observatoire, etc.) créées pour conseiller la Commission européenne sur des sujets techniques.

La Commission, en sa qualité d’institution politique, reste libre de suivre ou non ces conseils, et c'est elle qui octroie l’AMM. Mais, l’EMA disposant de la compétence d’expert, surtout dans le domaine médical, joue un rôle préparatoire crucial.

Cela semble invraisemblable, mais le budget de fonctionnement de cette agence (346 millions d'euros) provient à 85,70 % de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et à seulement 14,30 % de financements publics de l’Union européenne…

En tant qu’agence de la Commission européenne, les obligations de l’EMA en matière de transparence et d’accès aux documents découlent de directives stipulant que tout document détenu par l’EMA dans le cadre de ses activités est de fait un document public.

Dans les faits, la revue Prescrire a montré que l’EMA refuse de communiquer de nombreux documents, et que ceux qui sont transmis sont largement caviardés.

Son manque de transparence a été dénoncé lors de son refus d’indiquer aux députés les bases sur lesquelles les laboratoires à l’origine des vaccins ont été choisis et le montant des prix payés pour ces vaccins.

La “prévisibilité” de l’EMA est si grande que l’industrie américaine nous l’envie, notamment le "think tank" néoconservateur Pacific Research Institute, financé par l’industrie des bio technologies, qui milite pour toujours moins d’intervention des pouvoirs publics. Et pour cause ! Dès le lendemain de son départ de l’EMA en 2011, le directeur exécutif Thomas Lönngren, rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant "qu'influenceur de premier plan".

Le pantouflage ou « revolving doors » est un fléau. Dans un secteur de la santé à la fois très lucratif et très réglementé, les firmes ont un grand intérêt à placer leurs hommes dans les agences publiques et à mettre en place cette stratégie d’entrisme.

L’italien Guido Rasi a ensuite été nommé directeur de l’EMA en 2011, puis forcé a démissionné par la Justice européenne pour conflit d’intérêt non déclaré, avant d’être renommé à nouveau directeur de l’EMA en 2015.

L’actuelle directrice, Emer Cooke, a passé sept ans au sein de l'EFPIA, le principal lobby de l’industrie pharmaceutique en Union européenne qui organise des rencontres au Parlement européen avec des représentants de GSK, Roche, Novartis, Pfizer...

Un audit européen de la Cour des comptes de 2012 confirme de graves problèmes de conflits d'intérêt au sein de l’EMA (et de 3 autres agences : l’EASA (sécurité aérienne) l’EFSA (sécurité alimentaire) et l’ECHA (sécurité vis-à-vis des produits chimiques).

Le rapport pointe de graves irrégularités, la direction de l’EMA favorisant la présence, dans les comités scientifiques, d’experts en conflit d’intérêts avec les compagnies pharmaceutiques dont ils évaluent les produits.

Le Canard Enchaîné a révélé que certains experts de l’EMA sont salariés ou possèdent des actions dans les entreprises pharmaceutiques dont ils sont censés évaluer les produits lucratifs. Des lanceurs d’alerte ont dénoncé ce problème : « Depuis des mois, notre entreprise rémunère discrètement un expert pour qu’il fasse le lobbying de notre produit. La rémunération est exorbitante, mais le plus grave est qu’il officie comme expert à l’EMA. » Dans l’affaire du Mediator, l’Inspection générale des affaires sociales a mis en cause plusieurs experts français, qui siégeaient à l'Agence européenne du médicament, dans l'interdiction tardive du Mediator et le drame sanitaire consécutifL’EMA propose elle-même, en toute opacité, aux firmes pharmaceutiques, des « conseils scientifiques » facturés pour les aider à faire passer leur dossier de demande d’AMM, notamment conditionnelles, comme celles des vaccins anti-covid (AMMc). Or, les médicaments mis sur le marché de manière accélérée le sont souvent au détriment de la qualité de l'évaluation clinique. Pire, cette évaluation n'est pas suffisamment complétée non plus après commercialisation.

Un rapport de 2017 note « une acceptation générale de la corruption » au sein de l’EMA et :

- une acceptation générale de la corruption
- des structures de gestion inefficaces
- des mécanismes de financement inappropriés
- une répartition inégale des ressources

« L’industrie pharmaceutique tient fermement les rênes d’une vaste machine de lobbying, richement dotée, qui dispose d’un accès presque systématique aux décideurs de la Commission [...] et des institutions bruxelloises, y compris l’EMA ».En juin 2020, l’EMA prend la décision d’autoriser le remdesivir de Gilead. La revue Prescrire commente : “Une fois de plus, l’EMA a manqué de rigueur dans sa relation avec les firmes, aux dépens des patients et soignants, laissés dans l’incertitude.” Au mois d’octobre, suite à cette décision a priori insensée, la Commission signe un contrat mirobolant avec Gilead, alors que l’industriel vient de prendre connaissance de la dernière étude de l’OMS qui invalide l’efficacité de son traitementLa santé des Français mérite mieux qu’une dictature sanitaire, elle mérite un pôle public des médicaments, une expertise publique transparente et indépendante, un processus décisionnel démocratique, et des politiques de santé intelligentes, bienveillantes et non coercitives.

 
Loi du 24 novembre 1940 INSTITUANT L'OBLIGATION DE LA VACCINATION ANTITETANIQUE ASSOCIEE A LA VACCINATION ANTIDIPHTERIQUE
LOI instituant l’obligation de la vaccination antiténanique associée à la vaccination antidiphtérique.
Nous, Maréchal de France, chef de l’Etat
français, Sur le rapport du ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, du ministre secrétaire
d’Etat aux finances, du garde des sceaux, ministre secrétaire d’Etat à la justice, et
du secrétaire d’Etat à l’instruction publique, Vu la loi du 15 février 1902, complétée
par la loi du 7 septomlve 1939;
Vu la loi du 16 juillet 1912 (art. 11);
Vu la loi du 11 août 1936;
Vu la loi du 25 juin 1938;
Le conseil des ministres entendu,
Décrétons:
Art. 1er. — Il est ajouté à la loi du
15 février 1902, relative à la protection de
la santé publique, un article 6 ter, ainsi
rédigé :
« La vaccination antitétanique par l’anatoxine est désormais obligatoire. Elle est
pratiquée en même temps et dans les mêmes conditions que la vaccination antidiphtérique prévue à l’article 6 bis ajouté
à la loi du 15 février 1902, par la loi du 25 juin 1938 ».
Art. 2. — Le paragraphe 4 de l’article unique de la loi du 25 juin 1938 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Un décret simple, pris sur la proposition du ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, déterminera les conditions dans lesquelles seront pratiquées la vaccination
antidiphtérique, instituée par la loi du 25 juin 1938, et la vaccination antitétani-
| que, instituée par la présente loi ». | Art. 3. — Le présent décret sera publié
au Journal officiel et exécuté comme loi de l’Etat.
Fait à Vichy, le 21 novembre 1910.
PH. PÉTAIN.
Par le Maréchal de France, chef de l’État français:
Lp ministre secrétaire d’Etat à à l’intérieur,
MARCEL PEYROUTON.
LOI instituant l’obligation de la vaccination antityphoparatyphoïdique pour certaines catégories de personnes.
Nous, Maréchal de France, chef de l’Etat
français, Sur le rapport du ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur, du garde des sceaux,
ministre secrétaire d’Etat à la justice, du ministre secrétaire d’Etat aux finances et
du ministre secrétaire d’Etat à l’instruction publique,
Vu la loi du 15 février 1902 (art. 6), complétée par la loi du 7 septembre 1915, ensemble le règlement d’administration publique du 27 juillet 1903;
Vu la loi du 16 juillet 1912, article 11, ensemble le règlement d’administration publique du 2 mai 1913 Vu la loi du 18 décembre 1931
Vu la loi du 14 août 1936;
Vu la loi du 25 juin 1938 instituant l’obligation de la vaccination antidiphtérique ;
Vu la loi du 24 novembre 1940 instituant l’obligation de la vaccination antitétanique;
Le conseil des ministres entendu,
Décrétons :
Art. 1er — La vaccination antityphoïdique est obligatoire pour tout adolescent
entrant dans un camp de la jeunesse.
Art. 2. — Sur la proposition du secrétaire général à la famille et à la santé,
le ministre secrétaire d’Etat à l’intérieur peut instituer par arrêté l’obligation de
la vaccination antityjdioparatyphoïdique, pour tous les sujets de dix à trente ans,
résidant dans des zones du territoire menacées par une épidémie de fièvres typhoparatyphoïdes.
Art. 3. — En même temps que la vaccination antityphoparatyphoïdique la vaccination antidiphtérique et antitétanique est pratiquée, au moyen d’un vaccin associé,
chez tous les sujets visés aux articles Ie* et 2 de la présente loi, qui ne peuvent établir par la production de leur carnet de vaccination, qu’ils ont déjà bénéficié d’une
ou de l’autre de ces vaccinations.
Art. 4. — Les vaccinations prescrites par la présente loi seront pratiquées dans
des conditions qui seront déterminées par décret.
Ait. 5. — Le présent décret sera publié au Journal officiel et exécuté comme loi
de l’Etat.
Fait à Vichy, le 25 novembre 1940.
PH. PÉTAIN.
Par le Maréchal de France, chef de l’Etat
français:
Le ministre secrétaire d’Etat à l'intérieur,
MARCEL PEYROUTON.
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 Santé
 Coronavirus - Covid 19
Covid-19 : que contient vraiment le vaccin Pfizer-BioNTech ? Découvrez sa composition
La vaccination contre le Covid-19 a débuté en Angleterre et aux Etats-Unis.
 - Covid 19, Vaccins contre le Covid-19, Santé
Publié le 18/12/2020 à 16:12 , mis à jour le 11/08/2021 à 07:47
l'essentiel Les premières vaccinations contre le Covid-19 vont débuter le 27 décembre avec le vaccin des laboratoires Pfizer et BioNTech. Que trouve-t-on exactement à l'intérieur ? 
Espéré, attendu ou rejeté, le vaccin contre le Covid-19 des laboratoires Pfizer et BioNTech sera officiellement autorisé lundi prochain en Europe lors de la réunion de l'agence européenne du médicament. Les vaccinations débuteront le 27 décembre en même temps dans tous les pays européens. En France, les pensionnaires volontaires des Ehpad recevront les premières injections. Que contient le vaccin dans le détail ? Sa composition a été mise en ligne par la Food and drug administration (FDA) aux Etats-Unis et repérée par Futura sciences.
L'ARNm, le principe actif Le principe actif est nouveau pour un vaccin : c'est l'ARN messager. L'ARN messager une copie temporaire d'un fragment d'ADN de la protéine de pointe S du virus. Les cellules vont lire l'ARNm et synthétiser la protéine. C'est ce qui va avoir un impact sur la réponse immunitaire de notre corps. Cet ARN messager n'est pas "intégré" à notre ADN, il est rapidement éliminé une fois lu.
Un organisme génétiquement modifié (OGM) est un organisme (animal, végétal, champignon, micro-organisme) dont on a modifié le matériel génétique d'une manière qui ne s'effectue pas naturellement, pour lui conférer une ou plusieurs caractéristiques recherchées.
A TRANSGENESE

Pour modifier génétiquement un organisme, il faut avoir accès à son ADN. Car c’est dans son ADN que l’on va trouver les gènes qui contiennent les informations sur les caractères des organismes vivants (la couleur des yeux, des cheveux, la production de racines, la production de molécules pour réaliser la photosynthèse, etc..).

La technique employée pour obtenir des OGM se nomme la transgénèse. Cela consiste à introduire un gène étranger (que l’on nomme transgène) dans le génome d’un organisme.

Il faut cependant faire attention à ne pas confondre cette technique avec celle de la mutagénèse, qui consiste à générer des mutations au sein d’un génome. Elle modifie l’information génétique mais sans rajouter de gène(s), contrairement à la transgénèse.

Dans un rapport que vient de publier l'Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH), l'administration relève que les “patients Covid” ont représenté “2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus”.

Ce rapport de l'ATIH, qui comprend de nombreuses autres informations, tableaux et graphiques est consultable ici :

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Toute proportion gardée, cette information pourrait aider à relativiser les hypothèses parfois catastrophistes du pouvoir exécutif.

 

Les prises en charge hospitalières de la COVID-19 en 2020 En 2020, la crise sanitaire induite par la pandémie de COVID-19 a fortement impacté l’activité des établissements de santé. Les prises en charge hospitalières pour COVID-19 ont concerné les quatre champs hospitaliers : - les prises en charge de pathologies aigües et de courts séjours, dites MCO (médecine, chirurgie, obstétrique et odontologie), - les hospitalisations à domicile (HAD), - les soins de suite et de réadaptation (SSR), - les soins de psychiatrie. Cette synthèse a pour objet l’analyse des prises en charge hospitalières de la COVID-19, au sein des quatre champs hospitaliers, au cours de l’année 2020118.000 euros de MSD, 116.000 euros de Roche : faut-il s’inquiéter des liens entre labos et conseils scientifiques

les experts-médecins des conseils scientifiques chargés d'éclairer Emmanuel Macron pendant la crise du coronavirus ont touché 450.000 euros des firmes pharmaceutiques ces cinq dernières années. Faut-il s'inquiéter pour leur indépendance ? Eléments de réponse.

Souvenez-vous de Jean-Jacques Mourad. Pendant la campagne présidentielle de 2017, ce cardiologue était l’un des conseillers santé d’Emmanuel Macron. Il avait démissionné après avoir été accusé de conflit d’intérêts, pour avoir touché quelque 80.000 euros d’avantages du laboratoire Servier, en trois ans et demi. Et ce, alors que son candidat plaidait pour le remboursement des médicaments contre la tension artérielle, spécialité du groupe pharmaceutique.

Trois ans plus tard, rien n’a changé dans le microcosme médical. Parmi les experts des conseils scientifiques chargés de conseiller le chef de l’Etat sur la crise du coronavirus, plusieurs ont des liens d’intérêts importants avec les laboratoires. L’un d’entre eux s’est vu verser ... 251.327 euros d’avantages de la part des firmes, entre 2014 et 2019, selon les chiffres de la base publique Transparence santé. Ces relations d’argent n’empêchent pas l’indépendance d’esprit, mais interrogent dans la mesure où une étude universitaire publiée en novembre 2019 a montré que les médecins liés aux industriels du secteur prescrivent plus de médicaments que les autres. Car la réponse au coronavirus passera aussi par des choix qui impliquent les multinationales du secteur.

En cinq ans, entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449.389 euros d'avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. Ce qui recouvre des situations très différentes, dont certaines témoignent d’un compagnonnage suivi entre les médecins et les fabricants de médicaments. Largement en tête des firmes les plus généreuses, on retrouve l’Américain Merck Sharp and Dohme (MSD) et le Suisse Roche, deux laboratoires en pointe dans la recherche contre le coronavirus. MSD, qui a accordé 118.883 euros aux experts, fait partie des dix groupes qui ont annoncé mettre en commun leurs molécules afin de trouver un traitement. Quant au laboratoire Roche, donateur de quelques 116. 286 euros d’avantages en cinq ans, il vient de faire savoir qu'il a mis en place un nouveau test rapide de dépistage du Covid-19. Soit précisément les tests sur lesquels comptent le gouvernement pour augmenter les capacités de dépistage du pays.

Nous vous invitons par conséquent à écrire un mot ce soir ou demain matin à vos députés.
Attirez leur attention sur la gravité du projet de loi "vigilance sanitaire" qui sera discuté ce mercredi 3 novembre 2021, avec vos propres mots.
Commencez votre email simplement par : "Madame la Députée," (ou "Monsieur le Député,") et ajoutez quelques mots simples pour l'inciter à s'opposer de toutes ses forces à la reconduction du pass sanitaire, au blanc-seing donné au Gouvernement. Mettez en avant quelques discriminations que vous subissez au quotidien en raison du pass.
Il vaut mieux un email court que vous pouvez envoyer tout de suite.Alors que le projet de loi « portant diverses dispositions de vigilance sanitaire » est débattu aujourd’hui à l’Assemblée nationale, la Défenseure des droits maintient ses points d’alerte sur le risque que des mesures d’exception s’inscrivent dans la durée et rappelle que toute mesure portant atteinte aux libertés doit être adaptée, nécessaire et proportionnée à l’objectif poursuivi. La Défenseure des droits s’inquiète tout d’abord que soit envisagée la prorogation du régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022, proposée par le projet de loi en débat, sans qu’aucun nouveau vote du Parlement ne soit prévu pendant une période aussi longue, ni que soient fixés par le législateur des critères objectifs encadrant la possibilité pour le pouvoir réglementaire de mettre en œuvre des mesures d’exception. Tout en reconnaissant l’importance de la vaccination dans la lutte contre la pandémie, la Défenseure des droits s’inquiète particulièrement du choix de l’exécutif d’instaurer par arrêté le déremboursement des tests de dépistage de la Covid-19, réduisant dans les faits la possibilité de présenter un passe sanitaire soit à un schéma vaccinal complet, soit à un certificat médical de contre-indication à la vaccination, soit à un certificat médical de rétablissement, alors que la loi prévoyait la possibilité de présenter le résultat d’un test de dépistage négatif qui était remboursé par la sécurité sociale à la date où le législateur s’est prononcé. Cette décision modifie profondément l’équilibre sur lequel reposait le dispositif prévu par la loi et pourrait s’apparenter à une obligation vaccinale déguisée. Premièrement, compte-tenu de son impact sur l’exercice de droits et libertés, il semble que le déremboursement de certains de ces tests est susceptible de relever du niveau législatif et non d’un simple texte règlementaire. Deuxièmement, cette disposition, qui touchera en particulier les personnes les plus vulnérables, présente un risque discriminatoire. Dans son avis du 20 juillet 2021, la Défenseure des droits rappelait déjà que le déremboursement de ces tests implique que « le dépistage des personnes éloignées du système de santé, des populations précaires et/ou isolées, en sera d’autant plus difficile. Les inégalités sociales, déjà mises en exergue lors de la campagne de vaccination, notamment en raison de la fracture numérique, seront accentuées. » Or, les chiffres récents de l’Assurance maladie montrent que, pour toutes les tranches d’âge, le taux de vaccination dans les communes les plus défavorisées reste significativement inférieur à celui qu’on observe dans les communes les plus favorisées Enfin, la nécessité d’une prescription médicale permettant de bénéficier d’une prise en charge financière du test de dépistage, de nature à accentuer la pression sur le système de santé, constitue un frein supplémentaire pour l’accès à des biens et services, comme des actes médicaux programmés à l’hôpital, une visite à un proche en EHPAD ou se rendre dans un établissement recevant du public. La Défenseure des droits recommande par ailleurs que soit rappelée l’interdiction de demander la production d’une pièce d’identité en complément de la présentation d’un passe sanitaire, les pratiques apparaissant variables malgré la décision explicite du Conseil constitutionnel.

Le Covid-19, rampe de lancement pour les vaccins OGM

 partir de la mi-décembre, trois vaccins devraient être testés sur 2 200 volontaires en France, a annoncé le 2 décembre 2020  l’Inserm. Il s’agit des vaccins des géants pharmaceutiques américain Janssen (filiale de J&J), anglo-suédois AstraZeneca et de la biotech américaine Moderna. Or ces deux premiers vaccins sont des vaccins génétiques. Expérimentée contre Ebola, l’utilisation de la technologie OGM dans la vaccination humaine à l’échelle mondiale serait une première

Vaccin ARN messager est bien le vaccin OGM des blouses blanches du ministère de la santé de VICHY avec pour compagnon le Pass Nazitaire qui permet la vaccination obligatoire de Vichy a l OGM

La directive 2001/18/CE dispose dans son article 4 que chaque Etat membre doit veiller à ce que soit effectuée une évaluation précise des effets néfastes potentiels sur la santé humaine et l'environnement qui peuvent découler directement ou indirectement de l'utilisation d'OGM. C'est notamment à cette fin qu'a été créé le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) en 2008. Celui-ci est composé d'un comité scientifique (CS) et d'un comité économique, éthique et social (CEES). Ses missions, précisées à l'article L. 531-3 du code de l'environnement, comprennent l'éclairage du Gouvernement sur des questions générales liées aux biotechnologies, mais aussi l'élaboration d'avis concernant des demandes d'utilisation confinée ou disséminée d'OGM, ainsi que la participation à la surveillance biologique du territoire.

Cependant, au cours de ses différents mandats, le HCB a montré des dysfonctionnements, qui ont mené à la mise en place d'une mission d'inspection, conduite par les inspections générales des ministères chargés de l'environnement, de la consommation, de l'agriculture, de la recherche, avec l'appui de la santé. La mission a conclu qu'une réorganisation de l'évaluation des biotechnologies était nécessaire.

Ainsi, cette ordonnance permet, d'autre part, de réorganiser les modalités d'évaluation des biotechnologies. Les missions actuelles du HCB seront exercées par différentes instances déjà existantes, robustes et reconnues, et en capacité d'intégrer ces nouvelles missions dans leur fonctionnement. L'expertise scientifique actuellement menée par le CS est transférée à l'Agence nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), en ce qui concerne les utilisations

Le Parlement européen donne la priorité à la sécurité en matière d'OGM

Les membres du Parlement européen ont approuvé hier une directive de la Commission européenne visant à mettre à jour la législation relative aux tout derniers développements scientifiques et techniques dans le domaine de la biotechnologie concernant l'utilisation des organisme...

Les membres du Parlement européen ont approuvé hier une directive de la Commission européenne visant à mettre à jour la législation relative aux tout derniers développements scientifiques et techniques dans le domaine de la biotechnologie concernant l'utilisation des organismes génétiquement modifiés (OGM) Pour ce faire ils ont adopté un certain nombre d'amendements, y compris celui qui stipule que les personnes juridiquement responsables de la production d'organismes génétiquement modifiés (OGM) doivent assumer la responsabilité civile totale de tout dommage causé à la santé humaine ou à l'environnement. Les parlementaires ont également retenu l'obligation de l'étiquetage, par les autorités compétentes, de tous les OGM dont la dissémination est autorisée ainsi que de la description du contenu du nouveau produit. Un autre amendement couvre l'aspect sanitaire en stipulant que les OGM ne peuvent contenir aucun gène résistant aux antibiotiques ni aucun élément toxique ou pathogène. D'autres amendements visent à appliquer un contrôle rigoureux des OGM à leur sortie sur le marché. Le Parlement a également porté à 12 ans la durée d'autorisation des nouveaux OGM au lieu des 7 ans proposés par la Commission.

 

Le Secrétariat général du Conseil de l'Union européenne, qui assiste le Conseil européen et le Conseil de l'UE, accuse réception de votre message.

 

Cordialement,

 

 

Le litige n’est pas clos

La décision de la CEDH, prise par une formation comptant sept juges (fait rarissime !), ne présage toutefois « pas de ses décisions ultérieures sur la recevabilité ou sur le fond des affaires en question », précise la cour.

Dans un communiqué annonçant son intention de saisir la Cour, qualifiée de « principal gendarme de l’Europe », le syndicat Sud SDIS des sapeurs pompiers insistait début août sur le fait qu’il n’était « pas contre le vaccin » mais contre l’obligation vaccinale « très mal accueillie, y compris par des agent.es déjà vacciné.es ».

 

 

Communication d’une requête portant sur l’obligation vaccinale de certaines professions, prévue par la loi sur la gestion de la crise sanitaire en France Aujourd’hui, la Cour européenne des droits de l’homme a décidé de communiquer1 l’affaire Thevenon c. France (requête n o 46061/21) au gouvernement français et lui a demandé de soumettre ses observations sur la recevabilité et le bien-fondé de celle-ci. L’affaire concerne l’obligation vaccinale de certaines professions, en l’espèce des sapeurs-pompiers, sur le fondement de la loi du 5 août 2021 relative à gestion de la crise sanitaire. La Cour a également rendu aujourd’hui une décision dans l’affaire Zambrano c. France (requête n o 41994/21) portant sur le passe sanitaire. Un communiqué de presse séparé a été publié dans cette affaire :Les actions mises en place par SANTE Publique France 

 

Le Conseil d' Etat condamne le Gouvernement sous l'Heure d’été des vaincus de 1945 



Le Conseil d’État juge que le gouvernement n'avait “aucune raison” de supprimer les autotests

Depuis le 14 octobre 2021, le Premier ministre avait supprimé la possibilité d'effectuer un "autotest réalisé sous la supervision d'un professionnel de santé". Jean Castex revendiquait vouloir ainsi "inciter à se faire vacciner" 

Mais dans une ordonnance rendue le 29 octobre 2021, le Conseil d'État a retenu, sur l’argumentaire de l'association “VIA - la voie du peuple”, que le Gouvernement ne disposait en réalité d'“aucune raison de nature à justifier cette suppression”.

Dans sa décision contre le Gouvernement, le Conseil d'État reconnait - c'est assez rare en ce moment pour devoir le souligner - une "atteinte grave et immédiate à la situation des requérants et aux intérêts qu'ils entendent défendre”.

Par conséquent, l'autotest peu onéreux réalisé sous la supervision d'un professionnel de santé est de retour.



 

D'un autre côté, notons que dans la même décision, le Conseil d'État a rejeté d'autres arguments contre le déremboursement des tests, en se contredisant avec ses propres décisions précédentes.

 

Cette avancée consistant simplement à avoir accès à des tests beaucoup moins onéreux n'est donc qu'un brin de lumière. On l'aperçoit après un long chemin dans l'obscurité.

Cela montre qu'il ne faut rien lâcher et qu'il faut continuer à se battre.

Nous espérons pouvoir compter sur vous. En tout état de cause, vous pourrez compter sur nous.

 

Le ministre de la Santé « n’invoque aucun motif tenant à l’efficacité » de l’auto-test et il « se borne à indiquer que ce test n’avait été prévu qu’afin de prévenir des difficultés d’accès aux tests RT-PCR ou antigéniques lors de la mise en place du passe sanitaire, difficultés qui n’ont pas eu lieu et qui ne risquent plus de se produire », souligne notamment le Conseil d Etat

Le Conseil d' Etat organe du pouvoir de Vichy en 1940 sous l'Heure d’été des vaincus de 1945

Ce contraste s'explique dans la mesure où le Conseil d'Etat a présenté sous Vichy des facettes bien différentes, en ce qui concerne aussi bien les comportements individuels de ses membres  que son activité collective en tant que grand corps de l'Etat ; et ses rapports avec le pouvoir en place sont passés par une série de phases distinctes, qui rendent difficile une évaluation globale. L'étude des textes ne fournit à cet égard aucun élément probant d'analyse : le statut du Conseil d'Etat a été en effet pour l'essentiel maintenu, la loi du 18 décembre 1940 se bornant, dans le prolongement de celles du 15 juilllet 1940, qui conférait de plein droit la qualité de conseiller d'Etat en service extraordinaire aux secrétaires généraux des ministères, et de celle du 20 août 194O, qui rétablissait la section de législation, à étendre le rôle consultatif du Conseil dans le domaine législatif et à modifier quelques régles statutaires ; la possibilité donnée aux secrétaires généraux de sièger à l'Assemblée générale, qui aurait pu modifier l'équilibre du Conseil, n'aura ellemême que très peu de conséquence pratique . Les discours révèlent pour leur part une évolution sensible de la nature des relations entre le Conseil d'Etat prononcés par les Gardes des sceaux aux Assemblées générales et des réponses du vice-président Porché, trois périodes : la « période Alibert » (A.G. du 24 août 1940), qui correspond au « temps des illusions », le Conseil d'Etat se mettant explicitement « à la disposition du Gouvernement » pour contribuer à l'oeuvre de reconstruction nationale ; la « période Barthélémy » (A.G. du 30 juin 1941), caractérisée par une « normalisation » des rapports avec le pouvoir ; le « période Gabolde » (A.G. du 21 octobre 1943), qui est le « temps des désillusions », le vice-président Porché dressant un bilan assez sombre de la place et de l'action du Conseil. On ne saurait tirer de la manifestation de la prestation de serment au Chef de l'Etat, qui s'effectue à Royat, dans les salons de l'hôtel Majestic, en présence du maréchal Pétain le 19 août 1941, de véritable conclusion quant à l'engagement du Conseil d'Etat aux côtés du pouvoir, les observateurs s'accordant pour reconnaître le caractère très formel de la procédure aux yeux des membres du Conseil. Enfin, l'analyse des avis et arrêts rendus par le Conseil pendant cette période donne des résultats ambigüs : la collaboration du Conseil à l'oeuvre législative a été en fin de compte limitée, les textes pris en 1940 ne lui ayant pas été soumis et un avis ayant été formulé, après la loi du 18 décembre 1940, sur le dixième seulement des lois promulguées — le même constat pouvant être fait en ce qui concerne les projets de textes réglementaires ; quant à la jurisprudence, son contenu est ambivalent, l'application des législations d'exception (statut des juifs, épuration des fonctionnaires), qui a contribué à leur légitimation, étant contrebalancée par des avancées jurisprudentielles, notamment en matière de contrôle des organismes professionnels et de contrôle des motifs. 

La collaboration sera très active afin de conforter les ministres par leurs actions devant le droit et les mesures de l'État contre la population dans l'intérêt de la nation loin de l esprit de la République 

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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