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28 août 2021

les Boniments sur les vaccins OGM et sur la pollution photochimique par le Ministère de la Sante de Grasset Veran

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Covid-19 et pollution atmosphérique photochimique

Covid-19 et pollution atmosphérique seraient-elles liées ? Des chercheurs se sont penchés sur cette question en ayant observé des différences de diffusion du virus SARS-CoV-2 entre plusieurs zones géographiques. Par ailleurs, les études antérieures avaient permis de montrer que les émissions de particules fines dans l’atmosphère peuvent favoriser certaines pathologies, comme :

  • Les infections respiratoires ;
  • Les maladies pulmonaires obstructives chroniques (dont la BPCO) ;
  • Certains cancers.

Depuis le début de l’épidémie de la Covid-19, plusieurs études ont suggéré un lien potentiel entre la pollution atmosphérique et la mortalité liée à la maladie. Pour aller plus loin, des chercheurs français ont évalué l’effet des concentrations de deux types de particules fines dans l’atmosphère sur la diffusion du SARS-CoV-2 :

  • Les particules fines inférieures à 2.5 μm (PM2.5) ;
  • Les particules fines inférieures à 10 μm (PM10).

Des seuils de particules fines associés à une mortalité plus forte

Les chercheurs ont utilisé dans leur étude des mesures multiples de PM10 et PM2.5, effectuées entre le 18 et le 27 mars 2020 dans trois grandes villes de France, Paris, Lyon et Marseille. Ils ont ensuite utilisé l’intelligence artificielle pour déterminer des seuils de PM2.5 et de PM10 à partir desquels la mortalité liée à la Covid-19 était significativement augmentée.

Les résultats de leurs analyses ont révélé des seuils variables selon les villes étudiées :

  • A Paris, l’augmentation de la mortalité liée à la Covid-19 était observée pour des seuils de 17,4 μg/m3 pour les PM2,5 et de 29,6 μg/m3 pour les PM10 ;
  • A Lyon, ces seuils étaient respectivement de 15,6 μg/m3 et de 20,6 μg/m3 ;
  • Enfin à Marseille, ils étaient de 14,3 μg/m3 et de 22,04 μg/m3.

Moins de pollution, moins de mortalité liée à la Covid-19 ?!

Il faut noter que ces seuils de particules fines sont tous supérieurs aux plafonds imposés par la norme européenne sur la pollution atmosphérique. Ces résultats révèlent que la pollution atmosphérique par les particules fines, principalement issues du trafic routier, peut augmenter la sensibilité à l’infection par le SARS-CoV-2.

La présence des particules fines en quantités importantes dans l’air peut entraîner une inflammation des voies respiratoires et des tissus pulmonaires, favorisant l’invasion du virus et donc une forme plus grave de Covid-19. Les chercheurs considèrent ainsi qu’une révision des normes européennes pourraient permettre de mieux lutter contre la pollution atmosphérique, et indirectement de lutter contre certaines formes sévères de Covid-19.

Le boniment et l’escroquerie du Ministère de la Santé et de l’Éducation pour se remplir les poches 

Le lien est à présent établi : le taux de CO2 dans une pièce indique la quantité d'air exhalé par les personnes... et potentiellement, la quantité d'aérosols en suspension contenant le Covid-19. Au regard de ce constat, les détecteurs de CO2 deviennent ainsi le nouveau fer de lance dans la lutte contre la propagation du virus. Le gouvernement incite les entreprises à s'équiper dans sa dernière version du protocole sanitaire.

Cette hypothèse laisse toutefois sceptiques certains de leurs confrères. Dans une interview accordée au journal du CNRS, Jean-François Doussin enseignant-chercheur en chimie de la pollution atmosphérique et physique de l'environnement souligne – parmi d'autres arguments - la probabilité quasi négligeable de rencontre entre une particule de pollution et de virus.

Aucun contrôle sur les PM10 PM2.5 No2 et Ozone dans les ecoles ....

 

 

Vaccin Covid 19 

 

La sécu continue à verser des centaines de millions d’euros chaque année aux labos, malgré les déremboursements et la fin de plusieurs brevets historiques.

La couverture de la sécurité sociale et des systèmes d’assurance maladie

Dernière forme de soutien public aux laboratoires pharmaceutiques : le remboursement des dépenses de santé par les systèmes d’assurance maladie. Dans les pays européens, l’immense majorité des dépenses de médicaments sont couvertes par une forme ou une autre de solidarité collective, dont les premiers bénéficiaires sont les patients, mais aussi les entreprises qui commercialisent les traitements. Celles-ci bénéficient ainsi de « clients » solvables auxquels elles peuvent se permettre de demander des prix élevés. La couverture quasi totale du prix des médicaments par les systèmes de sécurité sociale a pour effet de cacher aux consommateurs finaux – les patients - le véritable prix de leurs traitements, ce qui diminue les risques de contestation de leurs politiques tarifaires.

 

La sécu continue à verser des centaines de millions d’euros chaque année aux labos, malgré les déremboursements et la fin de plusieurs brevets historiques.

Pourquoi discuter de la promotion du vaccin OGM   pharmaceutique pour la covid 19  ?

Les étudiants en médecine et pharmacie sont souvent en contact avec des

représentants de l'industrie pharmaceutique dès les premières années de leur

formation. Par exemple, une enquête menée en Finlande a montré que près de la

moitié des étudiants en médecine assistaient au moins deux fois par mois à des

présentations faites par des délégués médicaux4

 (Vainomaki et al., 2004). Aux ÉtatsUnis d'Amérique (USA), les étudiants en médecine de troisième année recevaient en

moyenne chaque semaine un cadeau ou assistaient à une activité financée par une

entreprise pharmaceutique, et plus de 90 % d'entre eux avaient été invités par des

membres de la faculté à participer à des déjeuners financés par une entreprise

pharmaceutique (Sierles et al., 2005). Dans ces deux enquêtes, la plupart des étudiants

croyaient qu'il était peu probable que leur propre prescription soit modifiée par la

promotion pharmaceutique et de nombreux étudiants ont accepté des cadeaux bien

que sur le principe ils les désapprouvaient.

En Inde, les étudiants en médecine et pharmacie de dernière année n'avaient pas

connaissance des mesures incitatives proposées aux pharmacies par les fabricants de

produits pharmaceutiques pour stimuler les ventes de médicaments. Toutefois, la

plupart avaient vu délivrer sans ordonnance des médicaments à prescription

obligatoire (Kumar et al., 2006).

Les liens entre les fabricants de produits pharmaceutiques et la médecine et la

pharmacie sont omniprésents, mais les étudiants reçoivent souvent une formation

minimale sur les effets de ces interactions ou la façon de les gérer (Mintzes, 2005).

Ceci peut créer un « programme d’étude caché » où les étudiants apprennent inconsciemment que l'information promotionnelle, la formation financée par

l'industrie pharmaceutique et l'acceptation de cadeaux et d'échantillons gratuits sont des normes acceptables de pratique professionnelle (Sierles, 2005).

Ce manuel vise à dévoiler ce « programme d’étude caché », à vous donner

l'opportunité de réfléchir à l'avance à la façon de gérer les interactions avec les

délégués médicaux et de développer des compétences que vous pourrez utiliser tout

L'industrie pharmaceutique internationale joue un rôle important dans le

développement, la fabrication et la distribution desvaccins . Dans de nombreux

pays, elle est également devenue la principale source de financement de la formation

médicale continue (FMC) et de la recherche. Toutefois, il y a souvent une

contradiction entre les pressions pour accroître les ventes de produits dans un marché

concurrentiel et l’intérêt des patients. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a

fait état d'« un conflit d'intérêts inhérent entre les objectifs commerciaux légitimes des

fabricants et les besoins sociaux, médicaux et économiques des fournisseurs de soins

et du public de sélectionner et d'utiliser les médicaments de la façon la plus

rationnelle. » (OMS Europe, 1993).

Considérations générales relatives à l’évaluation des risques liés à ces vaccins

 

" Le recours à des vaccins délivrant du matériel génétique viral (ADN ou ARN) est nouveau ou récent. L’utilisation de virus génétiquement modifiés comme vecteurs, notamment à des fins de thérapie génique ou d’immunothérapie a montré à quel point les effets indésirables sont variés, non maitrisés et peuvent être graves. Si les tentatives de l’immunothérapie sont relativement récentes, les échecs de la thérapie génique depuis près de 35 ans sont là pour nous le rappeler. Ces échecs s’expliquent en grande partie par la recherche du scoop au détriment de l’efficacité et/ou la biosécurité. Une telle démarche ne permettra jamais de répondre à l’attente et aux besoins en termes de soin.

 

Mais l’utilisation de ces mêmes vecteurs à des fins de vaccination revêt encore une autre dimension. En effet, la thérapie génique ou l’immunothérapie concernent non seulement un nombre limité de personnes mais des personnes gravement malades. Par conséquent, non seulement les éventuels effets secondaires concernent un nombre restreint d’individus mais la gravité de leur état de santé et la situation d’urgence sanitaire dans laquelle ils se trouvent permet sans doute d’accepter une certaine prise de risques. Dans le cas de vaccins, nous sommes dans une démarche de prévention. Cela concerne donc un nombre considérable de personnes dont la grande majorité est en bonne santé (en tout cas vis-à-vis de la pathologie de laquelle le vaccin est censé nous protéger). Des effets secondaires non maitrisés auraient donc des retombées considérables, surtout dans une campagne de vaccination de masse telle que celle destinée à lutter contre la Covid-19. Ces retombées pourraient être désastreuses sur le plan sanitaire bien sûr mais également sur le plan environnemental (dans le cas par exemple de la propagation de nouveaux virus recombinants : voir section IV. 3.1.) Et le fait qu’il s’agisse d’une démarche de prévention n’autorise aucune prise de risque. Par conséquent, ces candidats vaccins nécessitent une évaluation sanitaire et environnementale approfondie incompatible avec l’urgence, qu’il s’agisse de celle résultant de la pression des autorités décisionnelles et sanitaires ou celle des profits des industries pharmaceutiques embarquées dans cette course au vaccin. Dans sa note de cadrage du 23 juillet 2020 sur la stratégie vaccinale contre la Covid-19, la Haute Autorité de Santé (HAS) déclare : «Dans le cadre de la pandémie de Covid-19, l’enjeu est donc de concevoir un vaccin le plus efficace et le plus sûr possible en un temps record». Cette allégation est un non-sens et une aberration de la part d’une autorité telle que la HAS. Les dangers liés aux caractéristiques des vecteurs viraux génétiquement modifiés ou à leur éventuelle dispersion ou dissémination doivent être traités dans le cadre d’une évaluation des risques environnementaux extrêmement contraignante. Au contraire, les articles 2 et 3 du tout récent règlement européen 2020/1043 selon lesquels tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 échappe aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement ouvre la porte au plus grand laxisme en termes d’évaluation et va totalement à l’encontre du principe de précaution. De plus, ce règlement, remet en cause, de fait, la législation de confinement qui s’applique aux micro-organismes et aux virus génétiquement modifiés. Cette règlementation définit 4 niveaux de confinement (identifiés de 1 à 4, le confinement étant d’autant plus contraignant que le chiffre est plus élevé). La manipulation de virus pathogènes exige un confinement minimal de 2, très souvent de 3, voire 4. Les dispositions du règlement 2020/1043 ouvrent la porte à un confinement zéro avant même d’avoir apporté la preuve de la sécurité sanitaire et environnementale des virus génétiquement modifiés en question."

Intégrité du corps humain - Code de Santé Publique et Code de Déontologie - Droits de l'homme et Biomédecine

Code civil, article 16-3

" Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui. Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle il n'est pas à même de consentir."

Code de la Santé Publique

 

article L1111-4

 

" Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé. Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement." (...) Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment."

" Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé."

 

Décret n° 2012-855 du 5 juillet 2012 portant publication de la convention pour la protection des droits de l'homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l'homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997.

Extraits:

" Les Parties à la présente Convention protègent l'être humain dans sa dignité et son identité et garantissent à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l'égard des applications de la biologie et de la médecine. "

" L'intérêt et le bien de l'être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. "

" Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu'après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l'intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consenteVaccin contre la COVID-19: le Conseil adopte des mesures pour favoriser une mise au point rapide

Le Conseil a adopté ce jour un règlement visant à accélérer la mise au point et la diffusion d'un vaccin contre la COVID-19 dans l'UE. Cet acte prévoit d'accorder, pour les essais cliniques de vaccins contre la COVID-19, une dérogation temporaire à l'évaluation préalable des risques environnementaux requise par la législation de l'UE relative à la dissémination volontaire dans l'environnement et à l'utilisation confinée d'organismes génétiquement modifiés (OGM). En outre, le règlement précise que cette dérogation temporaire s'applique également lorsque les États membres autorisent l'utilisation de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la COVID-19 dans certaines situations exceptionnelles et urgentes définies dans la législation relative aux produits pharmaceutiques. L'impact environnemental des médicaments (y compris des vaccins) contenant des OGM ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la COVID-19 continuera à faire partie de la procédure d'autorisation de mise sur le marché, dans le respect des exigences de sécurité pour l'environnement énoncées dans la législation sur les OGM.ment. "

 

Le règlement ne s'appliquera qu'aussi longtemps que la COVID-19 est considérée comme une pandémie par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ou aussi longtemps qu'un acte d'exécution dans lequel la Commission reconnaît une situation d'urgence en matière de santé publique due à la COVID-19 s'applique.

Nous avons besoin d'urgence d'un vaccin contre la COVID-19. Ce règlement permettra de s'assurer que les essais cliniques dans l'UE puissent commencer sans délai et qu'un temps précieux ne soit pas perdu. L'acte adopté ce jour montre que l'UE est prête à jouer un rôle moteur dans le cadre de l'effort mondial visant à garantir la mise au point d'un vaccin sûr et efficace.

Jens Spahn, ministre fédéral allemand de la santé

Le règlement prévoit une dérogation à certaines dispositions de la directive 2001/18/CE relative à la dissémination volontaire d'organismes génétiquement modifiés dans l'environnement et de la directive 2009/41/CE relative à l'utilisation confinée de micro-organismes génétiquement modifiés. Cette dérogation prévoit que la plupart des opérations liées à la conduite d'essais cliniques ne nécessitent pas d'évaluation des risques environnementaux ou d'autorisation préalables. Ces opérations comprennent l'emballage et l'étiquetage, le stockage, le transport, la destruction, l'élimination, la distribution, la fourniture, l'administration ou l'utilisation de médicaments expérimentaux à usage humain contenant des OGM ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la COVID-19. La fabrication de ces produits restera toutefois soumise à toutes les dispositions de ces directives.

Le règlement précise également que certaines dispositions des directives 2001/18/CE et 2009/41/CE ne sont pas applicables lorsque des États membres accordent l'accès à des médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes dans certaines situations exceptionnelles et urgentes. Ces cas sont définis dans la directive 2001/83/CE instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage humain et le règlement (CE) nº 726/2004 établissant des procédures de l'Union pour l'autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire.

La vaccination contre le SRAS-Cov-2, virus provoquant la maladie dite Covid-19, est présentée au grand public comme une solution à la pandémie, et elle se profile en France dans quelques semaines. Des vaccins inédits chez l’humain utilisant du matériel génétique du virus sont privilégiés pour leur rapidité de conception et de fabrication. Quels sont ces vaccins, comment sont-ils mis au point et existe-t-il des risques ?

Des vaccins basés sur l’ADN ou l’ARN ...

Jusqu’à peu, la vaccination contre les virus consistait à injecter une forme atténuée du virus entier ou une forme inactivée. Depuis les années 90, plutôt que d’injecter un virus atténué ou inactivé, des molécules antigéniques du pathogène produites en milieu confiné par des micro-organismes génétiquement modifiés  peuvent être utilisées, normalement purifiées et stabilisées. Pour lutter contre le virus SARS-CoV-2, ces trois stratégies sont d’actualité avec les différents vaccins proposés comme le vaccin CoronaVac chinois à virus inactivé .

Habituellement, les vaccins demandent une dizaine d’années pour être élaborés et correctement testés. Ils nécessitent l’adjonction de nombreux stabilisants, antibiotiques… ainsi que d’adjuvants (sels d’aluminium en particulier) pour amplifier la réaction immunitaire (par développement de la réaction inflammatoire). Les essais cliniques visent à déterminer leur efficacité et leur innocuité. Car il faut pouvoir estimer leur capacité à réduire la propagation du pathogène et, à prévenir la maladie ou sinon, ses symptômes graves. Mais il faut aussi observer les réactions indésirables à court terme et la durée de protection face à une nouvelle infection, le tout sur des échantillons représentatifs de la population. Les études à long terme chez l’homme sont rarement, voire jamais, menées

Ces vaccins à acides nucléiques sont GM

Pour les vaccins à ADN, en plus des séquences d’ADN viral codant la protéine antigénique est inséré dans les plasmides un puissant promoteur en contrôlant l’expression. Ainsi, l’ADN du vaccin est une construction génétique artificielle. De plus, les plasmides sont généralement contaminés par de l’ADN génomique de la bactérie d’origine.

Les vaccins à ARNm utilisent des molécules linéaires d’ARNm codant la protéine immunogène choisie. À leurs deux extrémités, sont ajoutées des séquences artificielles stabilisant la molécule et la protégeant de certaines enzymes cellulaires. Mais, que ce soit pour le vaccin de Pfizer ou celui de Moderna, la séquence d’intérêt codant la protéine immunogène (protéine Spike) a été intentionnellement modifiée, entre autres pour assurer un minimum la stabilité du vaccin . Selon les cas, des adjuvants boostant l’immunogénicité peuvent avoir été ajoutés. Pour avoir suffisamment de molécules d’ARNm dans le vaccin, ces molécules sont produites à partir de plasmides bactériens modifiés dans des cellules animales cultivées in vitro (des contaminations par l’ADN de ces cellules animales sont possibles). Certains laboratoires comme celui de Pfizer parlent d’ARNm synthétiques  Ces vaccins à ARNm sont donc aussi des constructions génétiques artificielles. Ainsi, l’élaboration des vaccins à acides nucléiques fait appel aux bio-nano-technologies, dont des techniques de modification génétique, et à la biologie de synthèse.

 

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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