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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
15 juillet 2020

la Réduction de la vitesse a 50KM/H ou 110KM/H sur autoroute ne sert strictement a rien

 

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Pollution : le Conseil d’Etat enjoint au gouvernement d’agir vite, Hulot promet des mesures

« Une astreinte est prononcée à l’encontre de l’Etat, s’il ne justifie pas avoir (…) exécuté la décision du 12 juillet 2017, pour les ZAS [zones administratives de surveillance de la qualité de l’air] Grenoble, Lyon, Strasbourg, Reims, Marseille-Aix, Toulouse et Paris, s’agissant des taux de concentrations en dioxyde d’azote, et pour les ZAS Paris et Fort-de-France, s’agissant des taux de concentrations en PM10 », indique le rapporteur dans ses conclusions.

 

 

 La Convention citoyenne manipulée par l ADEME qui glorifie l Heure d été des vaincus de 1945 
En 2014, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a publié une étude sur le sujet. Selon elle, la réduction de la vitesse sur "les voies rapides de type route ou autoroute" a un "effet positif", avec une "baisse des émissions" pouvant "atteindre 20% pour les oxydes d’azote et les PM10", et jusqu’à 8% pour "les concentrations de polluants dans l’air ambiant". Autre avantage relevé par l’Ademe : "La limitation de vitesse permet d’agir sur le trafic en le fluidifiant et en réduisant la congestion".
Le confinement n'a été que partiellement bénéfique à l'environnement
Depuis SAMEDI  28 MARS, la concentration moyenne dans l'air des particules PM10 atteint ainsi les 50 µg/m3, ce qui correspond au "niveau d’information et de recommandation". L'indice de qualité de l'air est de 8 ("mauvais") sur une échelle de 10 dans les principales agglomérations de la région (Lille, Valenciennes, Douai-Lens, Dunkerque, Maubeuge, Calais, Boulogne-sur-mer, Saint-Omer, Arras, Béthune, Amiens, Saint-Quentin et Creil) .

De nouvelles données, sans doute plus précises, sont attendues prochainement. Mercredi, la ministre de la Transition écologique, Élisabeth Borne, a annoncé que l’Ademe va faire "un bilan global" pour mesurer les effets d’une éventuelle limitation à 110 km/h de la vitesse maximale sur autoroute.

Pollution à l'ozone : La « circulation différenciée » mise en place ce jeudi dans l'agglomération parisienne

 

C est une infraction a l article 30 du Traite de Lisbonne en matire d'environnement sur la libre circulation des biens et des personnes 

 

La recomandation 1432 devient une obligation et un moyen efficace de reduire la pollution

 

TRANSPORTS « Seuls les véhicules munis d’une vignette Crit’Air de classe 0, 1 et 2 seront autorisés à circuler », indique la préfecture de police 

 

C’est le grand retour de la pollution. La préfecture de police de Paris va mettre en place la circulation différenciée à Paris et en proche banlieue ce jeudi en raison des prévisions de pollution à l’ozone causée par les fortes chaleurs attendues sur l’Ile-de-France.

 

Vignette Crit’Air de classe 0, 1 et 2

 

« Seuls les véhicules munis d’une vignette Crit’Air de classe 0, 1 et 2 seront autorisés à circuler » à l’intérieur d’un périmètre délimité par l’autoroute A86 qui ceinture Paris et une grande partie des départements de la petite couronne, a annoncé la préfecture de police mercredi dans un communiqué.

C’est à Paris, justement, que le CREA observe le plus fort rebond du niveau de NO2 (+118 %), par rapport à la moyenne des trente jours de confinement, durant lesquelles les concentrations en NO2 étaient les plus basses. Loin derrière, on trouve Bruxelles (+ 88 %) et Milan (+ 73 %). Et encore plus loin Madrid (+ 49 %), Londres et Munich (+ 34 %) ou encore Berlin, où le rebond est quasi nul. Plus 4 % seulement.

Le CREA invite toutefois à ne pas surinterpréter ces écarts. Si à Paris, le rebond est important a cause de l Heure d'ete . Contre – 33 % pour Londres. Avec Bucarest, Lisbonne ou Milan, Paris faisait ainsi partie des villes où le niveau de NO2 a le plus baissé, indique le CREA dans son étude.

Malgré ces 118 % de rebond, Paris est , aujourd’hui, la ville la plus polluée au NO2 d’Europe.La condamnation de la France par la Cour de Justice Européenne confirme une nouvelle fois cette pollution a outrance en FRANCE

 

La reduction de la vitesse de 50KM/H  ou 110 KM/H ne reduit pas la pollution atmospherique 

Lors du confinement le seul polluant qui a diminue naturellement est le NO2 par l'activité de l'Acide Nitreux et du P.A.N ..l agit un peu comme l'ozone en oxydant la matière et en produisant des radicaux libres, mais semble-t-il parfois de manière complémentaire. (En zone polluée, et exposées aux UV solaires (ou d'origine artificielle) son taux augmente souvent quand celui de l'ozone diminue). C'est l'un des composants des smogs urbains estivaux et il joue un rôle dans leur apparition ou durée. C’est un gaz mutagène et probablement cancérogène, ainsi qu'un « gaz à effet de serre potentiel » Il agit à faible dose sur les muqueuses (chez l'homme et l'animal) et il attaque aussi les végétaux en tuant les cellules des cuticules foliaires, avec des impacts économiques qui peuvent être importants dans les zones agricoles. En revanche, depuis la mise en place du confinement, nous avons relevé une dégradation de la qualité de l’air par une augmentation de la présence des particules fines (une dégradation importante a été constatée dans trois départements bretons vendredi,. Nous avons particulièrement observé un pic, le 20 mars, avec des valeurs de 30 voire plus de 40 microgrammes par m3 d’air en moyenne horaire de PM 2.5 (les particules les plus fines), dépassant largement le seuil fixé par l’OMS (Organisation mondiale de la Santé).Les scientifiques découvrent une nouvelle source de pollution atmosphérique à l'acide nitreux

La montagne, ça vous gagne." Un slogan publicitaire efficace pour inciter à se ressourcer au grand air. Lorsqu’on arrive à la gare de Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet, au cœur de la vallée de l’Arve (Haute-Savoie), l’image est fidèle à la carte postale. Le ciel est d’un bleu franc, les sommets sont enneigés et les chalets coquets. Tout y est. Enfin presque. Il y a aussi cette légère brume que l’on distingue à peine. Un signe de l’hiver ? Pas vraiment, plutôt un nuage de pollution. "C’est la vallée la plus polluée de France", se désole Simon Métral, président de l’Association pour le respect du site du Mont-Blanc (ARSMB). Un constat encore vérifié mardi 20 et mercredi 21 janvier puisqu'un nouvel épisode de pollution est en cours

Si vous aviez prévu de venir en haute montagne pour respirer un bon bol d’air, c’est raté. Particulièrement dans les environs de Chamonix et des Pays du Mont Blanc, qui pointent aujourd’hui parmi les vallées les plus polluées de France ! Au Pays du Mont Blanc, l’air est tellement mauvais que l’Union Européenne menace désormais la France de rudes amendes.

Des pollutions périodiques aux particules fines et au dioxyde d’azote dans l'Allier

Les particules fines (PM10 et PM2,5), le dioxyde d’azote (NO2), le monoxyde de carbone (CO) et l’ozone (O3) provoquent des maladies respiratoires chroniques asthme, cancers, etc. (Organisation Mondiale de la Sante).
De plus, il existe un phénomène d’inversion des températures, l’air ne se renouvelle pas, ce qui augmente le taux de particules en suspension, d’où une pollution de l’air plus élevée en hiver qu’en été. Pour lutter contre ces phénomènes,

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La qualité de l’air n’est pas mauvaise dans l’Allier. Le département est néanmoins confronté à des pollutions périodiques aux particules fines et au dioxyde d’azote.

Alors que de grandes agglomérations comme Paris, Lyon ou Grenoble ont connu de pics de pollution importants, la qualité de l'air n'a pas été mauvaise dans l'Allier en 2016 vis a vis des euils français et non des recommandations de l'O.M.S





Des alertes à la pollution ignorées

Il a fallu cette intervention de la Cour de justice européenne pour que ce problème devienne enfin un enjeu pour le préfet et les élus locaux. En 2007, lorsque le Dauphiné Libéré a révélé les premiers dépassements, les maires de Passy et de ses environs sont tombés des nues, alors que les associations présentes autour du Mont Blanc, et notamment l’ARSMB (Association pour le respect du site du Mont Blanc) se battent contre le trafic international et ses pollutions depuis plus de 20 ans dans l’indifférence générale.



En ce qui concerne le dioxyde d'azote (tout comme le benzène d'ailleurs), la directive prévoit que les valeurs limites "ne peuvent pas être dépassées". Ce qui signifie que l'on a affaire à une obligation de résultat, juge la Cour.

Afin de pouvoir bénéficier du report de cinq ans, les Etats membres sont tenus d'en faire la demande à la Commission lorsque, en dépit de mesures adéquates de lutte contre la pollution, ces valeurs ne peuvent être respectées dans le délai indiqué. "La directive ne comporte aucune exception à cette obligation", précise la Cour.

Lorsque le dépassement des valeurs limites a lieu après l'échéance prévue et qu'aucune demande de report n'a été transmise, les Etats membre sont là aussi tenus d'établir un plan relatif à la qualité de l'air qui prévoit des mesures pour que la période de dépassement soit la plus courte possible. En cas d'inertie, la juridiction nationale compétente "éventuellement saisie" doit enjoindre le Gouvernement d'adopter le plan exigé par la directive

En ce qui concerne le dioxyde d'azote (tout comme le benzène d'ailleurs), la directive prévoit que les valeurs limites "ne peuvent pas être dépassées". Ce qui signifie que l'on a affaire à une obligation de résultat, juge la Cour.

 

Afin de pouvoir bénéficier du report de cinq ans, les Etats membres sont tenus d'en faire la demande à la Commission lorsque, en dépit de mesures adéquates de lutte contre la pollution, ces valeurs ne peuvent être respectées dans le délai indiqué. "La directive ne comporte aucune exception à cette obligation", précise la Cour.

 

Lorsque le dépassement des valeurs limites a lieu après l'échéance prévue et qu'aucune demande de report n'a été transmise, les Etats membre sont là aussi tenus d'établir un plan relatif à la qualité de l'air qui prévoit des mesures pour que la période de dépassement soit la plus courte possible. En cas d'inertie, la juridiction nationale compétente "éventuellement saisie" doit enjoindre le Gouvernement d'adopter le plan exigé par la directiven cent ans, la pollution en altitude s'est multipliée par cinq. À ce rythme-là, il est légitime d'avoir quelques doutes au moment de s'exiler en montagne pour prendre un "bon bol d'air pur". La question mérite d'être posée : est-ce que ça vaut toujours le coup ?

 

On ne va pas faire durer le suspense : oui. Amateurs de sommets, vos bronches peuvent vous remercier. L'air reste meilleur en altitude, dans les alpages de nos belles montagnes qu'en ville nez à nez avec les pots d'échappement.

Pas de polluants primaires 
en altitude

En altitude, ce qu'on entend par "pollution" ne concerne en fait qu'un seul polluant : l'ozone. Tous les autres polluants (dit "primaires"), l'oxyde d'azote, l'oxyde de soufre, et les poussières y sont en quantité négligeables en Ete mais le contraire en hiver . En effet, là-haut, un observateur perspicace l'aura remarqué, il n'y a pas d'autoroutes ou d'industrie lourde, enfin rien de toutes ces petites choses que notre quotidien exige et que nos poumons exècrent. Comme il n'y a pas d'émissions dans les zones d'altitude, l'air y est naturellement plus pur.

Mais tout est un peu plus compliqué que ça.

Même s'il n'y a pas (ou très peu) d'émissions, pensez-vous à juste titre, les polluants d'ici bas doivent bien s'échapper jusque là-haut.

Oui, mais pas de frayeur, car même si toute la pollution s'échappe en altitude, c'est une goutte d'eau dans l'océan. Comme aime à l'expliquer Didier Chapuis, directeur de l'Air de l'Ain et des Pays de Savoie : « La pollution c'est comme 5 cl de sirop de grenadine : dans un grand verre il va tout teinter de rouge mais dans une piscine, ce sera imperceptible ».

Par ailleurs, avec la communication des masses d'air, aux alentours de 2000-3000 mètres, tout se vaut. Qu'on soit en montgolfière au-dessus de Paris ou en pleine ascension de l'aiguille de la Grande Sassière (3 747 m en Vanoise), la qualité de l'air sera la même.

Par contre, l'ozone trouve en montagne un terrain de jeu fort à son goût. C'est le polluant de l'altitude ; d'ailleurs quand on dit que la pollution s'est multipliée par cinq, c'est l'ozone qui est mesuré. Quand c'est en couche entre 20 et 50 km au-dessus de nos têtes, il est plutôt bon pour notre santé, il nous protège des rayons ultraviolets du soleil. Nous l'aimons là-haut, dans la stratosphère, mais nous le craignons ici-bas, dans nos narines et alvéoles pulmonaires. Mais pourquoi le trouve-t-on en profusion en altitude ? La réponse réside dans la nature même de ce toxique : il est le produit d'une réaction photochimique. Il se forme lorsque des polluants primaires comme le dioxyde d'azote sont soumis aux rayons du soleil et à sa chaleur. Mais il est aussi détruit par ces mêmes polluants primaires ! Paradoxalement, c'est donc aux abords des grands axes routiers qu'on en fait les plus petites mesures. En altitude, ces polluants primaires ne sont pas là pour détruire l'ozone, il stagne donc. En été, le phénomène est le même, plus accentué.

Par ailleurs, à 3 000 m, il est possible d'avoir des pics de 250 microgrammes par mètre cube (le seuil préfectoral d'information et de recommandations est à 180 microgrammes par mètre cube) par ce qu'on appelle des "intrusions stratosphériques". Vous l'avez deviné : ce phénomène rare, que l'on observe une ou deux fois par an, a lieu lorsque la couche d'ozone s'invite dans nos montagnes.

Le dernier pic était en juin avec 180 microgrammes mesurés par mètre cube.

La recommandation de l'OMS est de 100 µg/m3 d'air sur 8h



En hiver, la pollution est 
piégée en fond de vallée

Alors, la montagne : l'été ou l'hiver ? Au niveau de ce que vous inspirez de là-haut, c'est kif-kif. Mais si on compare au fond de vallée, quand on monte à la montagne l'hiver, on échappe aux pics causés par les polluants primaires (principalement à cause du chauffage et du trafic routier). Surtout par ces journées froides de grand beau temps car, alors, le soleil chauffe plus rapidement l'air en altitude que la terre ne chauffe le fond de vallée. La nappe de pollution se retrouve piégée en bas.

En effet, comme l'air monte pour se refroidir, si l'air en altitude est plus chaud que celui de fond de vallée, il l'empêche de se disperser. C'est ce qu'on appelle un phénomène "d'inversion de température".

En hiver, du haut de votre perchoir, il fait étonnamment bon, presque plus chaud qu'en bas.

Regardant la vallée, vous apercevez une épaisse brume, parfois couleur brunâtre. Et là, ozone ou pas, vous n'avez qu'une envie : profiter du bon air de la montagne et inspirer un grand bol d'air !

L'acide nitreux

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.

 

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain en heure d’Été

 

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

 






 

 

 

 

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