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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
15 juin 2022

Heure d été pollution + Coronavirus et faire du velo danger

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Certains experts de la santé n’hésitent pas à établir une corrélation entre qualité de l’air et nombre de décès du Covid 19. 

L’association américaine de pneumologie cite par exemple une étude selon laquelle 27% des décès du covid en Chine seraient liés à la pollution de l’air. 

Aux Etats-Unis, ce chiffre serait de 18% tandis qu’en Nouvelle-Zélande il serait de 1%. (
En moyenne, dans le monde, la pollution de l’air aurait été responsable de 15% des décès liés au Covid 19. 

Les pneumologues américains ne citent pas directement l’Europe.  

Néanmoins, sans être aussi précis, des chercheurs français confirment cette observation. 

Ainsi, l’observatoire régional d’Ile-de-France considère que la pollution de l’air est un des co-facteurs de mortalité pour le Covid 19. 

Et en effet, la pollution de l’air aurait un effet direct sur l’immunité du corps humain et donc sa capacité à se défendre des virus. 

Mais les scientifiques n’ont pas eu besoin d’attendre l’arrivée du coronavirus dans nos vies et nos médias pour se rendre compte que la qualité de l’air était un élément essentiel de la santé humaine. 

En France, bien avant le Covid 19, on estimait que les particules fines étaient responsables d’un peu plus de 40 000 morts par an. 

Le problème de la pollution de l’air est lié aux particules fines. 

Ce sont des poussières d’hydrocarbures, de carbone, de gaz ou de métaux qui ne sont pas faites pour être respirées. 
 

Les particules fines, un danger connu depuis longtemps 

Les scientifiques ont établi principalement deux grandes catégories: les PM2,5 et les PM10. 

PM renvoie au terme anglais particulate matter.

Les PM2,5 ont un diamètre inférieur à 2,5 microns et les PM10, un diamètre inférieur à 10 microns. Or un micron est égal à 0,001 millimètre.(4)

Ces particules ont des effets délétères sur :

  • le cerveau : exposé aux particules fines et notamment au dioxyde de soufre (SO2) et au dioxyde d’azote (NO2), il risque de perdre ses capacités cognitives.  La pollution de l’air cause un risque plus élevé de démences et notamment d’Alzheimer. 

 

  • le système nerveux :  il existe un risque de dégradation qui peut mener à la maladie de Parkinson ;

 

  • le système cardiovasculaire : 26% des arrêts cardiaques dans le monde seraient liés à la mauvaise qualité de l’air respiré ;

 

  • les poumons et le système respiratoire : sans surprise les capacités respiratoires sont directement affectées par la pollution de l’air. 40% des décès liés aux maladies chroniques respiratoires sont liés à la qualité de l’air. 20% des cancers des poumons seraient quant à eux provoqués par la qualité de l’air, le reste étant essentiellement provoqué par le tabac ;

 

  • les hormones et le système endocrinien : les particules fines sont également un perturbateur endocrinien qui joue par exemple sur le risque d’obésité. 

 

  • les reins : ces derniers doivent travailler davantage pour évacuer les particules fines respirées. Les maladies chroniques rénales surviendraient davantage dans les zones urbaines polluées qu’ailleurs ;

 

  • le système reproductif : la pollution de l’air réduirait la fertilité et augmenterait le risque de faire des fausses couches. 

Cap sur 2022

Et parce qu’on n’est jamais trop prudents, a fortiori avec cette épidémie, Antoine Flahault conseille de mieux gérer la qualité de l’air en France : « Il faut investir davantage en France sur la ventilation – capteur de CO2, purificateurs d’air –, car la transmission de ce coronavirus est quasi exclusivement par voie aérosol en milieu clos, bondé et mal ventilé où l’on passe plusieurs heures : salles de classe, cantines, locaux open spaces et restaurants d’entreprise, transports publics… »

L’épidémiologiste Antoine Flahault confirme le diagnostic : « Il reste des poches de non-vaccinés trop importantes chez des segments à risque de la population. Il faudrait se rapprocher rapidement des taux de vaccination des personnes âgées du Portugal ou de l’Espagne. »

Pourquoi ce Monsieur ne demande pas à l Etat de respecter les seuils a la protection de la sante vis avis des recomandations de l OMS sur la pollution photochimique a l ozone,NO2 PM10 et PM2.5 ?

 

Déjà, il y a une grande confusion entre météorologie, climat, variabilité climatique et changement climatique. Le gros problème aujourd’hui est la prolifération des microbes et des espèces invasives du fait de l’activité humaine. L’accroissement de la population, pour laquelle il faut trouver des nouvelles terres, expose aussi des individus à de nombreux germes microbiens qui sont présents dans les forêts tropicales, et que l’on coupe. On réveille des choses que l’on ne connaît pas, dont des millions de microbes potentiellement dangereux pour l’humain L’homme est-il capable de s’adapter au changement d heure ?
L’être humain est très plastique et capable de s’adapter. Seulement, on s’aperçoit, même en France lors des épisodes de canicule et de pollution photochimique , qu’il peut mourir lors de fortes chaleurs sous l Ozone,PM10,PM2.5. Chez les personnes âgées et fragiles, trois à quatre nuits sans dormir à cause d’une chaleur avoisinant les 30 degrés peuvent entraîner la mort s’il n’y a pas eu récupération en phase nocturne.

 dont des millions de microbes potentiellement dangereux pour l’humainL’homme est-il capable de s’adapter au changement d heure ?

L’être humain est très plastique et capable de s’adapter. Seulement, on s’aperçoit, même en France lors des épisodes de canicule et de pollution photochimique , qu’il peut mourir lors de fortes chaleurs sous l Ozone,PM10,PM2.5. Chez les personnes âgées et fragiles, trois à quatre nuits sans dormir à cause d’une chaleur avoisinant les 30 degrés peuvent entraîner la mort s’il n’y a pas eu récupération en phase nocturne.

 Les boniments du Ministere de l Education sur la pollution photochimique et la covid 19

A ce jour aucune etusde scientifique n a pravouvé  que le CO2 est bien responsable sauf pour les escrocs de la Santé Le ministère de l’Éducation nationale encourage depuis le mois d’avril les collectivités locales à utiliser ces capteurs de CO2 dans les écoles, et les purificateurs d’air pour les salles qui seraient difficiles à aérer. Mais ils ne sont pas « centraux dans notre stratégie », a pourtant expliqué Jean-Michel Blanquer lors de sa conférence de presse de rentrée. « Les capteurs de C02 agissent comme des « thermomètres », le plus important, c’est surtout d’ouvrir les fenêtres le plus souvent possible (…) Quant aux purificateurs d’air, ils ne sont pas utiles dans toutes les circonstances », a-t-il ajouté. Ces appareils, censés prévenir et limiter la propagation du virus auprès des élèves, qui ne sont pas soumis à l’obligation vaccinale​, sont-ils vraiment utiles ?

« Je ne sais pas si c’est vraiment efficace, mais ça rassure beaucoup les parents »

Même si l’Education nationale incite les collectivités à se doter de ces appareils, aucune directive claire ni aide financière pour l’équipement n’a pour l’instant été annoncée. Ce qui n’a pas empêché plusieurs grandes villes et collectivités de prendre les devants afin d’en équiper leurs salles de classe avant la rentrée scolaire, prévue ce jeudi 2 septembre.  À Cannes (Alpes-Maritimes), les 230 classes des 32 écoles « seront toutes équipées » de purificateurs d’air, a ainsi fait savoir Dominique Aude-Lasset, directrice générale adjointe (LR) à la mairie. De nombreuses écoles d’Ile-de-France, de Rhône-Alpes et d’ Occitanie se sont également dotées à leurs frais de ces appareils pour contrôler et améliorer la qualité de l’air dans les classes.

La Société italienne de médecine environnementale (SIMA) indique dans une note publiée le 16 mars 2020 que les effets sanitaires déjà connus de la pollution de l’air dans les zone urbaines (hypertension, diabète, maladies respiratoires) pourraient aggraver la situation épidémique. La note indique également que la pollution atmosphérique par les particules fines  contribuent  à la propagation de la COVID-19 car les aérosols pourraient constituer un milieu favorable à la survie du virus et à son transport dans l’air sur des longues distances, augmentant ainsi le taux de contamination dans les zones polluées.
L ADEME et ses magouilles sous l Heure d'ete des vaincus de 1945
Les conflits d sont avérés et les particuliers payent pour l’industrielle qui est le pollueur payeur
La proximité de l’Agence avec l’administration centrale explique, pour partie, que l’ADEME se soit vu confier, par exemple, la gestion de certains « fonds Grenelle ». C’est le cas notamment de la communication sur le Grenelle (près de 80 M€ sur trois ans). C’est également le cas du plan « bruit », bien que ses contributions repartent principalement vers l’Etat, via des fonds de concours. Les parlementaires se trouvent ainsi privés de contrôle sur des dépenses qui auraient trouvé leur place dans le budget général, d’autant plus que le financement par l’Etat des activités de l’ADEME prend de plus en plus la forme d’affectatio de recettes fiscales. Parce que la mission de l’Agence n’apparaît pas toujours clairement, le partage des tâches dans certains secteurs reste flou. Par exemple, les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air sont subventionnées par l’ADEME pour leurs investissements, mais par les nouvelles directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement DREAL) pour leur fonctionnement. De même, l’Agence peut avoir la tentation de se positionner sur des sujets émergents en rapport avec son champ d’intervention, mais dans lesquels son rôle resterait à définir. C’est particulièrement le cas de la précarité énergétique où l’ADEME peut certes alimenter les réflexions grâce à son expertise sur les économies d’énergie, mais où les leviers de l’action préventive relèvent de l’ANAH, et ceux de l’action curative des fonds de solidarité pour le logement (FSL) financés par les départements Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) recommande, dans un nouvel avis transmis à la direction générale de la santé
le 18 janvier dernier, de privilégier désormais le port de masques de catégorie 1, dont le pouvoir filtrant est supérieur à 90 %, qu’ils soient en tissu ou chirurgicaux, et de mettre de côté les masques fabriqués artisanalement. La DGPR nous a indiqué que le ministère de la Transition écologique ADEME encourageait bien le port de masques en tissu pour les citoyennes et citoyens réutilisables homologués de niveau 1. C’est également le cas du ministère du travail qui indique dans son protocole de lutte contre la covid-19 à destination des entreprises, actualisé le 6 janvier dernier, que les masques doivent être « de préférence réutilisables ». Borne a été la Sinistre de la pollution de l’Air avec l ADEME Bref ces gens la n ont que faire de votre santé...
Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a publié le 17 mars 2020 un avis relatif à la réduction du risque de transmission du SARS-CoV-2 par la ventilation et à la gestion des effluents des patients COVID-19 dans lequel il indique que "certaines publications mentionnent que, comme tout micro-organisme, le SARS-CoV-2 pourrait être diffusé par des aérosols formés lors de procédures médicales ou d’aérosols expérimentaux. Le SARS-CoV-2 a été détecté par RT-PCR en divers endroits d’une chambre accueillant un patient infecté, suggérant une émission dans l’air de la chambre. Toutefois la présence d’un virus dans l’air ne signifie pas qu’il est infectieux ni qu’il y a une transmission respiratoire de type « air ». Il n’existe pas d’études prouvant une transmission interhumaine du virus par des aérosols sur de longues distances. Néanmoins, s’il existe, ce mode de transmission n’est pas le mode de transmission majoritaire". Cela demontre le non respect en France des seuils a la protection de la Sante  des polluants photochimiques vis a vis des recommandations de l O.M.S 
La signature avec l’Etat d’un premier contrat de plan en 1995, puis du contrat de plan suivant (2000-2006) a représenté un effort pour préciser les missions de l’Agence et les objectifs que lui assigne l’Etat. Pour autant, les missions demeuraient relativement floues, et fluctuantes au gré des évolutions législatives, dans un contexte marqué par l’apparition de nouveaux opérateurs, comme dans le domaine santé-environnement avec l’Agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE) créée en 2002, ou bien encore l’Agence nationale de la recherche (ANR) créée en 2005. Lors du précédent contrôle de la Cour, l’ADEME indiquait vouloir conforter sa place d’interlocuteur naturel et de partenaire de référence du grand public, des entreprises, des collectivités territoriales et de l’Etat sur les politiques environnementales. L’article L. 131-3 du code de l’environnement dispose, dans sa rédaction issue de l’ordonnance n° 2004-637 du 1er juillet 2004, que l’ADEME « exerce des actions, notamment d’orientation et d’animation de la recherche, de prestations de services, d’information et d’incitation dans chacun des domaines suivants : la prévention et la lutte contre la pollution de l’air ; la limitation de la production de déchets, leur élimination, leur récupération et leur valorisation, la protection des sols et la remise en état des sites pollués ; le réaménagement et la surveillance d’une installation de stockage de déchets ultimes autorisée après le 14 juillet 1992, lorsque ces opérations sont rendues nécessaires du fait d’une défaillance ou d’une insuffisance des garanties de l’exploitant ; la réalisation d'économies d'énergie et de matières premières et le développement des énergies renouvelables, notamment d'origine végétale ; le développement des technologies propres et économes ; la lutte contre les nuisances sonores »DÉPASSEMENT DES VALEURS LIMITES DE CONCENTRATION DE NO2 : LA FRANCE CONDAMNÉE PAR L’UE

Le 24 octobre 2019, la France a été condamnée par la Cour de Justice de l’UE (CJUE) pour non-respect de la directive 2008/50/CE relative à la qualité de l’air ambiant, et plus spécifiquement pour “dépassement de manière systématique et persistent” des valeurs limites de concentration (VLC) pour le dioxyde d’azote (NO2). 

Qu’est-ce que la procédure d’infraction de l’UE ?
En tant que “gardienne” des Traités de l’UE, la Commission est chargée de veiller, avec la Cour de Justice de l’UE (CJUE), à ce que le droit européen soit appliqué correctement dans les EM.

En vertu du Traité sur le fonctionnement de l’UE (TFUE, article 258), la Commission peut poursuivre en justice un EM qui manque aux obligations qui lui incombent au titre de la législation de l’UE. Elle engage ainsi une procédure juridique dite procédure d’infraction qui se déroule en quatre étapes :

la Commission envoie une lettre de mise en demeure [demande d’informations] à l’EM,
si elle n’est pas satisfaite des informations reçues et conclut que l’EM ne s’acquitte pas de ses obligations juridiques, elle peut ensuite lui envoyer un avis motivé [demande formelle de s’y conformer],
si l’EM ne s’y conforme toujours pas, la Commission peut alors décider de l’assigner devant la CJUE qui, si elle juge que l’EM a manqué à ses obligations qui lui incombent au titre de la législation de l’UE, rend un arrêt contraignant, l’obligeant à prendre des mesures nécessaires pour s’y conformer. En moyenne, la CJUE rend son jugement sur les contentieux au bout de deux ans,
si malgré ce 1er arrêt, l’EM ne remédie toujours pas au problème, la Commission peut saisir une 2e fois la CJUE (article 260 du TFUE), en lui demandant d’imposer des sanctions financières sur la base du montant qu’elle propose. Ces sanctions financières peuvent prendre la forme, via un 2e arrêt de la CJUE, d’une somme forfaitaire (fondée sur le temps écoulée depuis le premier arrêt) et/ou une indemnité journalière (astreinte), à dater du 2e arrêt de la CJUE jusqu’à ce qu’il soit mis un terme à l’infraction.
Ces sanctions financières sont calculées en tenant compte :

de l’importance des règles violées et de l’incidence de l’infraction sur les intérêts généraux et particuliers,
de la période pendant laquelle le droit de l’UE n’a pas été appliqué,
de la capacité de paiement de l’Etat membre, garantissant l’effet dissuasif de l’amende.
Dans son 2e arrêt, la CJUE peut modifier le montant proposé par la Commission.

Pollution de l’air : l’Etat est condamné à verser son astreinte (10 M €)…. en grande partie à lui-même. Revenons en détails sur l’état du droit en ce domaine et sur les apports importants de cette décision
Après une première décision en juillet 2017, le Conseil d’État a, il y a un peu plus d’un an, constaté que le Gouvernement n’avait toujours pas pris les mesures demandées pour réduire la pollution de l’air dans 8 zones en France. Pour l’y contraindre, le Conseil d’État a alors, en juillet 2020, prononcé une astreinte de 10 millions d’euros par semestre de retard, soit le montant le plus élevé qui ait jamais été imposé pour contraindre l’Etat à exécuter une décision prise par le juge administratif.

Par une décision rendue ce jour, le Conseil d’Etat vient de mettre en oeuvre cette sanction en dépit de timides avancées sur ce dossier depuis un an. En décidant du versement de cette astreinte, pour l’essentiel… à des structures de l’Etat.

ON peut rire de cette amende en circuit fermé, comme si ma poche droite était condamnée à verser un billet à ma poche gauche (ou réciproquement).

Mais la réalité est plus subtile car l’Etat se trouve obligé de verser plus que prévu à ces structures là… enfin… sauf si les dotations pour ces structures diminuent d’autant lors de la prochaine loi de finances, ce qui sera à suivre avec attention…

La décision de ce jour est aussi importante sur le rôle du juge au stade de l’astreinte. Donc au delà des aspects financiers qui relèvent de la farce, la décision de ce jour est déterminante : sur le plan symbolique, d’une part, sur le rôle du juge au stade des astreintes, d’autre part. Ce sont ces deux éléments, sans doute, qui justifient que cette décision est appelée à entrer au Panthéon du Recueil Lebon en intégral.

 

PETI Secretariat
lun. 30 nov. 17:05 

 

Cher Monsieur Labrousse,Erick

 




Veuillez trouver, ci-jointe, la version française de la communication aux membres avec la réponse de la Commission européenne sur les différents aspects du problème, sur la base des informations que vous avez fournies.

 

Le Secretariat de la commission de pétitions vous tiendra bien entendu informé, en temps utile de la suite donnée à votre pétition.

 

Veuillez agréer nos meilleures salutations.

 

 Parlement européen

2019-2024

Commission des pétitions

26.10.2020

COMMUNICATION AUX MEMBRES

Objet: Pétition nº 0193/2012, présentée par Erick Labrousse, de nationalité

française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»,

sur les seuils visés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du

Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe,

ainsi que la protection insuffisante de la santé publique et de l’environnement

à cet égard

1. Résumé de la pétition

Le pétitionnaire exprime son mécontentement quant aux valeurs cibles et aux objectifs à long terme fixés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe. Il critique aussi vertement la manière dont la France applique les dispositions en vigueur dans ce domaine. Il invite dès lors la Commission à prendre des mesures à l’encontre de la France et à appliquer des seuils plus sévères.

2. Recevabilité

Déclarée recevable le 13 juin 2012. La Commission a été invitée à fournir des informations (article 227, paragraphe 6, du règlement intérieur) (ancien article 216, paragraphe 6, du règlement intérieur).

3. Réponse de la Commission, reçue le 28 septembre 2012

La directive 2008/50/CE concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe 1 prévoit une valeur limite horaire pour le dioxyde d’azote (NO 2 ) de 200 µg/m3, à ne pas dépasser plus de 18 fois par année civile, et une valeur limite annuelle de 40 µg/m 3 . Ces valeurs limites pour le NO 2 sont applicables depuis le 1 er  janvier 2010. En vertu de ladite  directive, les États membres ont toutefois la possibilité de notifier à la Commission un report du délai fixé pour l’application des valeurs limites de NO 2 jusqu’au 1 er  janvier 2015, au plus tard. Pour pouvoir bénéficier de ce report de délai, les États membres doivent remplicertaines conditions, et notamment élaborer un plan relatif à la qualité de l’air précisant comment ils entendent atteindre les valeurs limites d’ici l’expiration du délai prolongé.

Dans le cadre de la procédure d’infraction en cours concernant les particules grossières

(PM 10 ), la Commission évalue les dernières données et informations fournies par les autorités françaises dans leurs réponses. En fonction de l’issue de cet examen, la Commission décidera des mesures les plus appropriées en l’espèce.

Conclusions

À la suite du renvoi de la France devant la Cour de justice de l’Union européenne par la Commission en raison des dépassements des valeurs limites de NO 2 fixées par la directive 2008/50/CE, la Cour de justice de l’Union européenne a rendu un arrêt confirmant la condamnation de la France pour manquement aux obligations issues de cette directive. Dans le même sens, le bilan de qualité des directives concernant la qualité de l’air ambiant, achevé en novembre 2019, a conclu que la directive avait donné lieu à des règles applicables et qu’il était important d’adopter des mesures d’exécution pour réduire la pollution atmosphérique.

Application de la recommandation 1432 pour diminuer la pollution de l air en france

7 Cependant, elle constate que dans les pays qui appliquent l’heure d’été tout en maintenant l’avancement permanent de l’heure légale, notamment la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas, le décalage entre cette dernière et l’heure de méridien peut dépasser deux heures en été, créant ainsi la situation d’heure d’été double.

8 D’après certaines recherches et observations scientifiques récentes, ce décalage important et le déplacement des rythmes journaliers par rapport à l’heure de méridien qui en résulte sont à l’origine, dans ces pays, de certains effets qui affectent l’environnement, la santé et la condition physiologique et psychologique humaines.

 Ils contribuent par exemple à une plus forte concentration dans l’air des oxydants photochimiques (dont l’ozone et le nitrate de péroxyacétyle), ce qui a des conséquences graves pour la santé des personnes vulnérables aux substances toxiques, mais aussi pour le patrimoine naturel et culturel.

La Pratique de l’écobuage ou feu courant pastoral avec  la pollution aux particules PM10, PM2.5,Ozone et NO2

L’incinération des végétaux sur pied (écobuage) et le brûlage à l’air libre des sous-produits agricoles est une technique d’entretien des espaces pastoraux par le feu, réservé aux agriculteurs et éleveurs, et qui a pour objectif principal le maintien d’une ressource fourragère de la meilleure qualité possible par l’élimination des ligneux et des refus de pâturage. Depuis les années 90, une politique de maîtrise des écobuages est menée dans les Pyrénées notamment par la mise en place de Commissions Locales d’Écobuages (CLE) qui étudient les demandes et peuvent apporter des recommandations.

 

l’Airaq a supprimé le site d’Iraty 64  pour les seuils a la protection des végétaux sur l’ozone et le NO2 sans l’aval de la Commission Européenne 

 Le Secrétariat général du Conseil de l'Union européenne, qui assiste le Conseil européen et le Conseil de l'UE, accuse réception de votre message.


Cordialement,

Le service Information au public
https://www.consilium.europa.eu/fr/infopublic/

Clause de non-responsabilité : Les informations communiquées ont été élaborées par le Service Information au public du Secrétariat général du Conseil de l'UE et ne peuvent être considérées comme une position officielle du Conseil.

Décisions en matière d'infractions 14 mai 2020 Bruxelles
Procédures d'infraction du mois de mai: principales décisions
Qualité de l'air: la Commission demande instamment à la FRANCE, à CHYPRE et à la LITUANIE d'améliorer leurs règles en matière de lutte contre la pollution atmosphérique

 Pollution de l'air : Bruxelles met en demeure la France de transposer intégralement la directive NEC

DIRECTIVE (EU) 2016/2284 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
du 14 décembre 2016
concernant la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques, modifiant la directive 2003/35/CE et abrogeant la directive 2001/81/CE
(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE)

Ce vendredi 15 mai, la Commission européenne a délivré une mise en demeure à la France pour le retard pris dans la transposition de la réglementation européenne sur les émissions polluantes. « La Commission demande à la France (…) de transposer correctement dans sa législation nationale toutes les exigences de la directive relative à la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques (directive NEC) 

Qualité de l'air : la Commission invite instamment la FRANCE, CHYPRE et la LITUANIE à améliorer leurs règles contre la pollution de l'air

La Commission demande à la France, à Chypre et à la Lituanie de

transposer correctement dans la législation nationale toutes les exigences

de la directive (UE) 2016/2284 sur la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques (directive NEC).

La directive NEC contribue à atteindre des niveaux de qualité de l'air qui n'entraînent pas d'impacts négatifs importants ni de risques pour la santé humaine et l'environnement. En particulier, la directive fixe des engagements nationaux de réduction des émissions pour les États Membres pour cinq polluants atmosphériques importants : les oxydes d'azote (NOx), les composés organiques volatils non méthaniques

(COVNM), le dioxyde de soufre (SO2), l'ammoniac (NH3) et les particules fines (PM2,5). Ces polluants atmosphériques entraînent tous des impacts négatifs importants sur la santé humaine, tels que des problèmes respiratoires, des maladies cardiovasculaires et le cancer, et endommagent les écosystèmes. La France et Chypre n'ont, entre autres, pas transposé en droit national la directive : obligation de mettre à jour leur programme national de lutte contre la pollution atmosphérique au moins tous les quatre ans.La Lituanie n'a pas correctement transposé en droit national les dispositions de la directive qui permettent aux États membres d'ajuster, dans certaines conditions limitées, leurs inventaires d'émissions de polluants atmosphériques pour évaluer les progrès accomplis dans la réduction de la pollution atmosphérique dans l'UE.Par conséquent, la Commission a décidé aujourd'hui d'envoyer des lettres de mise en demeure aux trois pays, qui disposent désormais de quatre mois pour remédier à la situation. Sinon, la Commission peut décider d'envoyer un avis motivé.

L’administration est-elle soumise au principe de précaution ?

Le principe de précaution s’impose aux administrations. Il les oblige à développer en leur sein des procédures de prévision et d’évaluation afin de tenter de prévenir les risques majeurs pouvant conduire à l’engagement de leur responsabilité.

Dernière modification : 30 juin 2018 à 11h22

Le principe de précaution a été introduit en droit français par la loi Barnier du 2 février 1995 sur le renforcement de la protection de l’environnement. Selon ce principe, "l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économique acceptable".

Le Conseil d’État a fait application de ce principe. Dans son arrêt Association Greenpeace France du 25 septembre 1998, il a prononcé sur ce fondement un sursis à exécution d’un arrêté du ministère de l’Agriculture et de la Pêche qui autorisait la commercialisation de variétés de maïs génétiquement modifié.

Ce principe a aujourd'hui valeur constitutionnelle. En effet, la révision constitutionnelle du 1er mars 2005 a annexé la Charte de l’environnement à la Constitution. Or, l’article 5 de la Charte dispose : "Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage".

Par ailleurs, par son arrêt Commune d’Annecy du 3 octobre 2008, le Conseil d’État a précisé que tous les droits inscrits dans la Charte de l’environnement avaient une valeur juridique contraignante.

 

 

Pollution et propagation fulgurante du coronavirus, les particules fines montrées du doigt

Note de la rédaction : la rédaction de la RTBF a contacté l'épidémiologiste Marius Gilbert afin de lui demander son opinion par rapport à cette étude réalisée par ses confrères italiens. Il en ressort que la question soulevée par l'étude s'inscrit dans un questionnement plus large évoqué à plusieurs reprises dans le milieu profesionnel, la pollution atmosphérique étant en effet un facteur aggravant pour les pathologies respiratoires. La corrélation entre pollution et transport du virus est  donc, toujours selon Marius Gilbert, une corrélation intéressante qu'il convient d'explorer de manière plus fine dans le futur lorsque des données chiffrées spécifiques à la Belgique seront disponibles. Cela permettrait de voir si effectivement dans les régions où la pollution est plus forte, les vitesses de croissance sont plus importantes qu'ailleurs.

C’est une étude très sérieuse menée conjointement par l’Université de Bologne et celle de Bari qui émet cette hypothèse, le nouveau coronavirus aurait été boosté dans sa propagation par la pollution de l’air et plus précisément par certaines particules fines très présentes dans les zones polluées de Wuhan, mais également de Lombardie, d’Emilie-Romagne et d’autres centres urbains.

Après le New England Journal of Médecine, une autre publication de renom tend donc à accréditer la thèse selon laquelle le SARS-CoV-2 pourrait survivre en suspension dans l’air dans certaines conditions, parmi lesquelles un taux de pollution élevé.

Cela pourrait être l’un des paramètres permettant d’expliquer la vitesse étonnante à laquelle s’est propagé le COVID-19 en Italie du nord. C’est en tout cas ce qu’affirme l’étude réalisée par 12 chercheurs de la Société Italienne de Médecine environnementale (SIMA).

Une base scientifique solide

 

 

Coronavirus : un lien entre la pollution et la mortalité de la maladie Des scientifiques italiens mènent une étude pour établir un lien entre la pollution des villes et les complications liées au Covid-19.
La pollution peut-elle être un vecteur d'accélération de l'épidémie de Covid-19 ? Des scientifiques italiens ont apparemment une réponse à cette interrogation. "C'est une étude qui va faire du bruit, estime notre journaliste Alban Mikoczy, en direct de Rome. Elle affirme qu'il y a un lien entre la pollution et la gravité de la maladie. Pour cela, ils prennent des exemples, comme la région de Lombardie, le Piémont également, la région de Madrid, le Benelux, la région parisienne en France et également le sud du Royaume-Uni". Mauvaise qualité de l’air dans la Manche : un nouvel épisode de pollution ce vendredi
 L'observatoire Atmo Normandie alerte ce jeudi 23 avril de la poursuite de l'épisode de pollution vendredi dans la Manche. La qualité de l'air étant médiocre, voire mauvaise

Parlement européen
2019 - 2024

Commission des pétitions

18.2.2020
COMMUNICATION AUX MEMBRES

Objet: Pétition nº 0193/2012, présentée par Erick Labrousse, de nationalité
française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
sur les seuils visés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du
Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe,
ainsi que la protection insuffisante de la santé publique et de l’environnement
à cet égard
1. Résumé de la pétition
Le pétitionnaire exprime son mécontentement quant aux valeurs cibles et aux objectifs à long terme fixés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe. Il critique aussi vertement la manière dont la France applique les dispositions en vigueur dans ce domaine. Il invite dès lors la
Commission à prendre des mesures à l’encontre de la France et à appliquer des seuils plus sévères.
2. Recevabilité
Déclarée recevable le 13 juin 2012. La Commission a été invitée à fournir des informations (article 227, paragraphe 6, du règlement intérieur) (ancien article 216, paragraphe 6, du règlement intérieur).
3. Réponse de la Commission,

 Conclusions

À la suite du renvoi de la France devant la Cour par la Commission en raison des
dépassements des valeurs limites de NO 2 fixées par la directive 2008/50/CE, la Cour de
justice de l’Union européenne a condamné la France pour manquement aux obligations issues de cette directive.
Dans le même sens, le bilan de qualité des directives concernant la qualité de l’air ambiant, achevé en novembre 2019, a conclu que la directive avait donné lieu à des règles applicables et qu’il était important d’adopter des mesures d’exécution pour réduire la pollution atmosphérique.

 

Eviter de sortir et faire du velo 
 Il est de ce fait conseiller de réduire, voire reporter, ses activités physiques, même le peu autorisé actuellement, d’éviter de mettre le nez dehors, malgré l’appel du ciel bleu, et surtout d’éviter le chauffage au bois (cheminées, poêles, inserts anciens) et de respecter l’interdiction du brûlage à l’air libre des déchets verts, même si votre déchetterie est fermée. Mais l Etat refuse d'appliquer le recommandation 1432 qui est la solution la plus rapide et plus simple a mettre en place lors de ce confinement 
 A Paris aucune alerte les releves sont arretes a 15H heure solaire c'est une mascarde de PREV AIR  La saison printanière est aussi à problème pour les allergiques, puisque temps sec et températures douces « entraînent une augmentation rapide et importante des émissions de pollens de bouleau dans l’air », avait déjà alerté récemment Atmo Normandie. Une nouvelle étude américaine publiée dans la revue médicale MedRxiv relie la pollution de l'air et la létalité du Covid-19.

En se basant sur 90 % des cas de décès liés au coronavirus aux États-Unis depuis le 4 avril, les chercheurs de l'université de Harvard (Boston) démontrent un taux de mortalité accru des patients exposés pendant quinze à vingt ans aux particules fines PM2,5 Selon leurs conclusions, toute hausse de 1µg/m3 de la teneur atmosphérique en PM2,5 entraînerait un taux de mortalité accru de 15 %. L'étude ne permet pas de trancher quant au rôle direct de la pollution, qui rendrait la population plus sensible au virus, ou sur des effets indirects, qui favoriseraient des maladies cardiovasculaires ou pulmonaires qui augmentent elles-mêmes le risque de mourir du virus. Ou si ces deux effets s'exercent en même temps.

Après une première étude italienne qui corrélait les taux de particules PM10 en suspension et le nombre de personnes atteintes du coronavirus, cette publication établit un nouveau facteur aggravant des effets de la pollution de l'air sur les personnes atteintes par ce virus

Dans une étude relayée vendredi 24 avril par le quotidien britannique The Guardian, des scientifiques italiens indiquent avoir détecté le coronavirus dans des particules d'air pollué. Ils veulent maintenant savoir si la pollution peut servir de véhicule au SARS-CoV-2 et contribuer ainsi à contaminer plus de personnes in fine.

Conflit d interet entre prev air et les medias via le nucleaire 

C'est un delit !.......

 heure d ete responsable et une enquete parlementaire s'impose rapidement Le mercredi 08 avril 2020, la qualité de l'air devrait être de mauvaise sur le littoral à moyenne sur le reste de la région Hauts de France, en raison de conditions météorologiques défavorables à la dispersion des polluants.l agriculture est inexistante sur le littoral c'est bien la preuve du mensonge de prev air...

Depuis 2002, Louis Bodin est aussi Rédacteur en Chef adjoint au service météo de RTL où il y présente dix bulletins journaliers. Il y anime également une chronique hebdomadaire sur le nautisme ainsi qu'une émission sur l'environnement intitulée "Elément Terre" (pendant les périodes de vacances) qu'il a toutes deux conçues.

Coronavirus : la présidente de la Commission européenne présente ses excuses à l’Italie «Aujourd’hui, l’Europe se mobilise aux côtés de l’Italie. Mais cela n’a pas toujours été le cas», a reconnu Ursula von der Leyen, dans une tribune parue dans la presse transalpine.

COMMISSION EUROPÉENNE
Direction générale de la mobilité et des transports
Direction A - Coordination des politiques
Directeur faisant fonction

Bruxelles, le
MOVE.A.1/ST

Cher Monsieur,labrousse Erick
Je vous remercie pour votre message du 11 décembre 2019, adressé à la Présidente de la Commission Ursula von der Leyen et les annexes que vous avez envoyées. La Présidente m'a demandé d'y répondre en son nom.
Je ne peux cependant que seulement répéter ce que je vous ai répondu le 19 février 2020 suite à votre lettre à la Commissaire de la Santé Stella Kyriakides au même sujet.
La décision sur la proposition de la Commission mettant fin aux changements d'heure
saisonniers revient au Parlement Européen et aux Etats membres. Au niveau des États
membres (dont la France), les discussions sur la proposition de la Commission sont
encore en cours, leur souci principal étant la cohérence des fuseaux horaires en Europe.
Si la fin du changement horaire est adoptée il reviendra alors à chaque État membre de
décider sur son heure standard permanent. L’Union Européenne n’a pas la compétence
pour déterminer l’heure standard dans les différents États membres.

Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

/e-signed/
Maja BAKRAN MARCICH

Cher Monsieur Labrousse,

Veuillez trouver ci-joint le document Ares(2020)1912050 de BAKRAN Maja (MOVE.A) daté du 03/04/2020.

Cordialement,

DG MOVE

LABROUSSE Erick

5 Square Hector Berlioz

94700 Maisons-Alfort 



Pétition Nº 0193/2012 Parlement Européen 

                   N° 1431/2015 Parlement Européen 

Maisons-Alfort le 01/04/2020

Madame la Presidente de la Commission Européenne

J ai l honneur de vous écrire afin de vous informer et de vous signifier le fait de ne pas tenir compte de l'heure d'été des vaincus de 1945 comme un grave facteur d'aggravation et de propagation de la pollution atmosphérique est désespérant

Les dernières études et le confinement démontrent que les transports n'ont que très peu d'influence sur le NO2,l'Ozone,Les PM10  et l'acide nitreux sur ces gaz a effet de setrre 

L’air sous l'heure d'été des vaincu de 1945 a plus d’effet négatifs sur la santé et le climat et l air est plus pollué en montagne que dans les villes 


La Cour de justice Européenne a confirmé par sa condamnation l'importance de l'avancement des activités humaines vis a vis du soleil

Je vous invite a prendre des mesures et a apporter votre soutien aux deux votes du Parlement Européen qui a exprimé son choix de mettre un terme définitif aux avancements des activités humaines 

Heure d été responsable de l'aggravation de la pollution de l air 
7. Cependant, elle constate que dans les pays qui appliquent l’heure d’été tout en maintenant l’avancement permanent de l’heure légale, notamment la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas, le décalage entre cette dernière et l’heure de méridien peut dépasser deux heures en été, créant ainsi la situation d’heure d’été double.
8. D’après certaines recherches et observations scientifiques récentes, ce décalage important et le déplacement des rythmes journaliers par rapport à l’heure de méridien qui en résulte sont à l’origine, dans ces pays, de certains effets qui affectent l’environnement, la santé et la condition physiologique et psychologique humaines.
9. Ils contribuent par exemple à une plus forte concentration dans l’air des oxydants photochimiques (dont l’ozone et le nitrate de péroxyacétyle), ce qui a des conséquences graves pour la santé des personnes vulnérables aux substances toxiques, mais aussi pour le patrimoine naturel et culturel.
Découverte d'une nouvelle source de production d'acide nitreux dans l'air

Les chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour. En présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère[1], et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux sont parus dans Nature le 9 mars 2006.
L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique. La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction.
En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.
L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.
Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.
La pollution de l’air, une autoroute pour la propagation du coronavirus

Explication Croisant les chiffres de l’Agence pour la protection de l’environnement et ceux de la Protection civile, une étude italienne a mis en évidence la relation entre les concentrations en particules fines et la rapidité avec laquelle l’épidémie de Covid-19 s’est diffusée dans le nord de l’Italie

La pollution pourrait expliquer, au moins en partie, la vitesse à laquelle s’est propagée l’épidémie de coronavirus dans le nord de l’Italie. C’est ce que met en évidence un article de 6 pages publié par la Société italienne de médecine environnementale (1) et rédigé par douze chercheurs des universités de Bologne, Bari, Milan et Trieste Les scientifiques ont croisé les chiffres de l’Agence pour la protection de l’environnement sur les concentrations en particules fines et ceux de la Protection civile sur les malades du Covid-19 entre les 10 et 29 février (avec une mise à jour le 3 mars pour tenir compte de la période d’incubation du virus). Graphiques à l’appui, il apparaît que les phases d’« impulsion » ou d’« accélération » sont « concomitantes à la présence de fortes concentrations de particules atmosphériques », en particulier en Lombardie, région « caractérisée par trois périodes de dépassements des concentrations de PM 10 bien au-delà des limites ». « Les particules atmosphériques ont pu jouer un rôle de «boost» », écrivent-ils en conclusion.L’air pollué contient une demi-douzaine de composants sous forme de particules solides, de gaz ou de gouttelettes (aérosols). Parmi les particules fines, on distingue les PM 10 (diamètre inférieur à 10 microns, six fois plus petites que l’épaisseur d’un cheveu) et les PM 2,5 (diamètre inférieur à 2,5 microns). Considérées comme le polluant atmosphérique le plus nocif pour la santé humaine par l’Agence européenne de l’environnement, les PM (de l’anglais particulate matter) pénètrent dans les voies respiratoires et peuvent entraîner cancer, asthme, allergies, maladies respiratoires et cardio-vasculaires.De fait, ces particules fines « constituent un vecteur efficace pour le transport, la propagation et la prolifération des infections virales », rapporte l’étude. D’où l’expression d’« autoroutes », utilisée par l’un des auteurs, Gianluigi de Gennaro, dans la presse italienne.« En plus d’être un vecteur de l’épidémie, les particules fines constituent un substrat qui permet au virus de rester dans l’air dans des conditions viables pendant plusieurs heures voire plusieurs jours », avancent les chercheurs. Selon eux, la forte pollution atmosphérique expliquerait pourquoi l’épidémie a flambé « dans la plaine du Pô plus que dans d’autres régions d'Italie ».

Coronavirus en Bretagne : Sans trafic routier, pourquoi la qualité de l’air est-elle si mauvaise ?

La qualité de l’air est mauvaise en Bretagne. D’après les données de l’association AirBreizh chargée de la surveillance, l’indice est de 8 sur 10 sur l’ensemble des départements bretons (7 dans le Morbihan) ce vendredi. Le seuil d’information et de recommandation a été dépassé et des recommandations sont à suivre. Il est notamment bon de ne pas « surventiler » et donc de limiter l’activité physique et les déplacements en extérieur.

La situation devrait être la même samedi avant une amélioration prévue dimanche. Mais comment expliquer la présence si concentrée de particules fines dans l’air alors que la France est confinée et que le trafic routier est quasi inexistant ? Plusieurs facteurs sont responsables de cette dégradation : la météo, le chauffage et l’activité agricole. En cette période de lutte contre le coronavirus, la pollution interpelle. En Italie, des chercheurs ont émis l’hypothèse que les particules fines avaient pu accélérer la propagation du virus

Confinement : pourquoi la qualité de l'air ne s'améliore pas vraiment ?

Vendredi 20 mars 202   à 9:44

 

Malgré le confinement, la qualité de l'air est restée médiocre ces quatre derniers jours. Certes le trafic routier a beaucoup baissé mais d'autres facteurs entrent en jeu comme la météo, les produits agricoles et le chauffage.

Les agriculteurs et les feux de cheminées ne sont pas la panacée du chauffage à  paris mais lors de l'incendie de notre dame aucune alerte au NO2 et au Plomb sur paris cela démontre les manipulations de prev’air Depuis sa création en 2003, la plateforme nationale PREV’AIR ont l’Ineris est coordinateur technique, fournit quotidiennement des prévisions de la qualité de l’air pour les principaux polluants réglementés (ozone, dioxyde d’azote et particules). Après près de 15 ans d’opération, la plateforme a passé cette année un cap technologique majeur qui renforce sa qualité et sa fiabilité au service du public et des autorités.PREV’AIR, plate-forme nationale de prévision de la qualité de l’air, est l’une des composantes du dispositif français de surveillance et de gestion de la qualité de l’air, en complément des informations fournies par les réseaux de mesure gérés par les Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA). Cette plateforme de prévision de la qualité de l’air, développée et gérée au quotidien par l’Ineris, est le fruit du travail d’un consortium intégrant aux côtés de l’Ineris, Météo France, le CNRS et le Laboratoire central de surveillance de la qualité de l’air (LCSQA). Elle intègre simulations numériques et observations recueillies sur le terrain pour prédire et cartographier les concentrations de polluants atmosphériques réglementés.

La qualité de l’air se dégrade dans les Hauts-de-France, le confinement n’a-t-il aucun effet?

Le réseau Atmo de contrôle de la qualité de l’air pointait dès vendredi et pour tout le week-end un air dégradé dans tous les Hauts-de-France. Un air pollué qui l’aurait été davantage sans le confinement, confirme l’organisme de surveillance.Malgré le confinement, un pic de pollution aux poussières en suspension est enregistré dans les Hauts-de-France

Malgré les mesures de confinement liées au coronavirus et la baisse du trafic routier, les cinq départements des Hauts-de-France connaissent ce samedi un épisode de pollution aux poussières en suspension, indiquent l'agence ATMO et la préfecture. Depuis vendredi, la concentration moyenne dans l'air des particules PM10 atteint ainsi les 50 µg/m3, ce qui correspond au "niveau d’information et de recommandation". L'indice de qualité de l'air est de 8 ("mauvais") sur une échelle de 10 dans les principales agglomérations de la région (Lille, Valenciennes, Douai-Lens, Dunkerque, Maubeuge, Calais, Boulogne-sur-mer, Saint-Omer, Arras, Béthune, Amiens, Saint-Quentin et Creil) .Ce week-end, un premier épisode de pollution printanier a été constaté en plusieurs points du territoire, notamment en Ile-de-France et dans le Grand-Est, les deux régions les plus touchées par la propagation de l’épidémie de Covid-19. Car, si les mesures de confinement ont permis de réduire la pollution liée au trafic routier avec une chute spectaculaire des émissions d’oxydes d’azote, elles n’ont pas eu d’effet sur les niveaux de particules fines, les plus dangereuses pour la santé, car elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires. Ces niveaux ont même augmenté au cours de la semaine à la faveur des conditions météorologiques (ensoleillement et absence de vent) pour dépasser, samedi 28 mars, les limites légales, dans l’agglomération parisienne, le Bas-Rhin ou le Haut-Rhin.

Une semaine plus tôt, plusieurs médecins et chercheurs, tous spécialistes de la pollution de l’air, avaient donné l’alerte. Dans un courrier, adressé le 21 mars à l’ensemble des préfets, le collectif Air-Santé-Climat interpellait l’Etat sur « la nécessité de limiter drastiquement les épandages agricoles, afin de tout mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus ».Membre du collectif et directrice du département d’épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires de l’Inserm, Isabella Annesi-Maesano détaille le mécanisme : « La pollution abîme les muqueuses des voies respiratoires et du poumon, ce qui fait pénétrer plus facilement les virus et, par agrégation, les particules fines et ultrafines véhiculent les virus au fond des voies aériennes. » En 2003, une étude, publiée dans la revue scientifique de santé publique Environmental Health, a analysé le lien entre la pollution de l’air et les cas létaux de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS ; causé par le SARS-CoV) en Chine. Elle montrait que les patients contaminés vivant dans des régions modérément polluées avaient 84 % plus de risques de mourir que les patients de régions peu polluées. De même, les patients vivant dans des zones fortement polluées avaient deux fois plus de risques de mourir du SRAS que ceux des régions peu polluées.Une étude italienne, publiée le 17 mars, par la Société italienne de médecine environnementale, va plus loin. En se basant sur la corrélation entre les niveaux de pollution élevés, constatés en Lombardie, et le nombre important de victimes du coronavirus, elle suggère que les particules fines pourraient aussi contribuer à la propagation du Covid-19 en le transportant dans l’air. Les spécialistes italiens des aérosols ont pris leurs distances avec ces résultats, estimant que le lien de causalité restait à prouver « au moyen d’enquêtes approfondies » Une autre étude, publiée également le 17 mars, dans le New England Journal of Medicine, montre pour sa part que le coronavirus pourrait persister dans l’air pendant trois heures. Mais l’article ne mentionne pas le rôle des particules fines ni la charge virale, c’est-à-dire à partir de quelle dose le virus serait infectant via les aérosols. Dans un avis rendu le même jour, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) rappelle que « la présence d’un virus dans l’air ne signifie pas qu’il est infectieux ni qu’il y a une transmission respiratoire de type “air” ». Pour le HCSP, « il n’existe pas d’études prouvant une transmission interhumaine du virus par des aérosols sur de longues distances. Néanmoins, s’il existe, ce mode de transmission n’est pas le mode de transmission majoritaire ».Même prudence à l’Organisation mondiale de santé (OMS). « Le fait que les particules fines puissent servir de vecteur à la propagation du coronavirus reste une hypothèse, commente Maria Neira, la directrice du département santé publique et environnement. Et il va falloir plusieurs mois pour la confirmer ou l’infirmer, car la propagation du virus dépend d’une multitude de paramètres comme les conditions météorologiques, la démographie ou les mesures de confinement prises par les pays. » Plusieurs équipes commencent à travailler sur le sujet, à l’OMS, au service européen de surveillance de l’atmosphère Copernicus ou encore parmi les épidémiologistes de la London School of Hygiene & Tropical Medicine. « Nous cherchons à étendre notre réseau de collaboration avec les équipes de recherche médicales qui souhaiteraient tester des hypothèses quant au transport et à la survie du virus dans l’air », indique le directeur de Copernicus, Vincent-Henri Peuch.Parmi les rares préfets qui ont répondu au courrier des médecins, celui de Vendée a fait savoir que « l’alerte » avait été « signalée à la région et au niveau national », « une position nationale étant nécessaire sur un sujet aussi important ».la France a enregistré mardi une nouvelle hausse record du nombre de morts du coronavirus : 499 en 24 heures, soit un décès toutes les trois minutes. Selon le dernier bilan des autorités, l’épidémie a tué 3.523 personnes. Le nombre de patients en réanimation a, lui, plus que doublé en une semaine et atteignait mardi soir 5.565 (+458). Le nombre de décès en France dépasse désormais le bilan officiel en Chine (3.305). Mais de nombreux experts, se basant notamment sur le nombre élevé d’urnes funéraires que les familles ont commencé à récupérer en Chine, jugent le nombre officiel chinois largement sous-estimé.

Dans l'attente de votre réponse dans le principe de votre bienveillance et de votre détermination pour préserver la santé Européenne 

Daignez agréer,Madame la Presidente de la Commission Européenne ,l'hommage de mon profond respect et de mon sincère dévouement


labrousse Erick

ozone acide

heure d ete 2020

labrousse erick livre 1

chasseur français

pluies acides hno3

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téléchargement (1)

pollution

Le 2 avril 2020 à 14h15

« Je vous présente mes excuses, nous sommes avec vous ». La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, exprime ses regrets à l'Italie pour le retard de réaction de l'UE face à la pandémie de Covid-19, dans une tribune parue jeudi dans le quotidien La Repubblica. « Aujourd'hui, l'Europe se mobilise aux côtés de l'Italie. Mais cela n'a pas toujours été le cas », reconnaît la responsable dans le journal italien.

La semaine passée, les 27 ne sont pas parvenus à trouver un accord pour offrir une réponse forte aux conséquences économiques de la pandémie. Une fracture était notamment apparue entre pays du Sud, comme l'Italie et l'Espagne soutenues par la France, qui réclamaient une mutualisation de la dette via des « corona bonds », et ceux du Nord qui, derrière l'Allemagne et les Pays-Bas, rejettent cette option.

 

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