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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
15 septembre 2019

pollution a l ozone détruit le patrimoine naturel et nos fleurs

Titre

 

hymne européen

petition_NO2_2019_

2018_No2

recommandation_1432_Conseil_de_l_Europe_

 

 

sante

téléchargement

pluies-acides-cout

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notre dame 5

L heure d’été de 1942 est un fléau et une calamite pour la sante et le climat


Fin juillet les transports sont moindre en été les parisiens sont en vacances
La théorie sur les transports et la pollution est en mauvaise posture au mois de juillet et aout ...

 Le forçage radiatif dû aux changements dans le rayonnement solaire observés depuis 1750 est estimé à environ +0,3 Wm–2, et la plus grosse partie de ce forçage est survenue au cours de la première moitié du XXe siècle. Depuis la fin des années 70 avec l’apparition du retour de l heure d'ete de 1942 les instruments embarqués sur les satellites ont observé de faibles oscillations dues au cycle solaire de 11 ans. On a proposé un certain nombre de mécanismes visant à amplifier les effets du Soleil sur le climat, mais ces mécanismes peuvent  s'appuyer sur des théories ou des observations rigoureuses conclusion du GIEC 2019

Dépassement du niveau d'Information du 25/07/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 209 µg/m³

Dépassement du niveau d'Alerte du 24/07/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 251  µg/m³

Dépassement du niveau d'Information du 23/07/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

 Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 187  µg/m³

Dépassement du niveau d'Information du 22/07/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

 Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 203  µg/m³

 

Dépassement du niveau d'Information du 06/07/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

 

 Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 213  µg/m³

 

Dépassement du niveau d'Information du 29/06/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

 

 Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 234  µg/m³

Dépassement du niveau d'Information du 28/06/2019 sur la zone Île-de-France pour le polluant O3.

 Concentration maximum en O3 sur l'Île-de-France : 195  µg/m³

Le gouvernement d'Edouard philippe petain a supprime le seuils a la protection des vegetaux a Iraty 64  

Bonjour,
En réponse à votre sollicitation,
Je vous confirme que tout arrêt de station en France doit faire l'objet d'une confirmation auprès des instances nationales qui elles mêmes font le relai auprès de la communauté européenne. De nombreuses stations permettent la validation des réglementations au niveau communautaire.
La station d'Iraty était une station dite rurale nationale qui permet d'avoir une information en dehors de toute activité humaine. Elle a été fermée pour des questions techniques compte tenu notamment de la présence d'une station sur le Limousin qui elle fonctionne 365 jours / an (contre uniquement l'été pour Iraty). Cette station sur la commune de La Nouaille (23) mesure notamment l'ozone. Les niveaux sont globalement comparables puisque le positionnement répond aux mêmes critères.
L'ozone est effectivement un polluant qui impacte l'indice de la qualité de l'air mais les niveaux généralement obtenus sont de moindre ampleur que par le passé. Les polluants regardés très fortement aujourd'hui en France sont notamment pour les polluants dits "classiques" les particules, et les NOx en situation de proximité automobile notamment.
En espérant avoir répondu à vos attentes
Bien cordialement
Rémi FEUILLADE
Directeur Délégué Production et Exploitation

Vendredi 26 juillet : Conditions météorologiques toujours propices à la photochimie, la qualité de l'air pourrait être localement mauvaise en raison des concentrations en ozone.
Les départements du Vaucluse et des Bouches-du-Rhône restent en alerte niveau 2.Les Alpes-Maritimes et les Alpes de Haute-Provence passent en alerte niveau 1 ce jour sur prévision de dépassement du seuil d'information-recommandations de 180µg/m3.
La qualité de l'air devrait être médiocre sur le reste du territoire, toujours en raison des concentrations en ozone.

Samedi 27 et dimanche 28 juillet : Les concentrations en ozone devraient diminuer dès ce samedi et tout au long du week-end avec le retour du Mistral, la baisse des températures et des averses orageuses sur l'ensemble de la région, limitant la photochimie et dispersant les polluants.En effet la modelisation ne tient pas compte du vent tout simplement C'est de l'escorlogie du ministere de la necrologie et des amis du marechal petain de l 'ADEME pour cacher cette pollution meurtriere sous l heure d'ete de 1942 pour la zone libre et 1940 pour la zone occupee 
La qualité de l'air devrait être moyenne voire localement médiocre pour la journée de samedi, moyenne pour dimanche.

Pour rappel le seuil a la protection des végétaux est de 60 µg/m" d'air sur 1H et le seuil a la protection de la sante est de 100µg/m" d'air sur 8h de 12h à 20h 

Faire du velo est un danger et ils vont vous faire croire que c'est la sécheresse qui est responsable du dépérissement des végétaux 
L'ozone est un polluant atmosphérique dont la concentration augmente régulièrement dans la basse atmosphère (troposphère). Contrairement à ses effets sur la santé humaine, qui commencent à être connus du grand public, ses effets sur la santé des plantes sont encore assez peu médiatisés. Pourtant, tout comme les animaux, les végétaux sont sensibles aux propriétés oxydantes de ce polluant.

La plupart des végétaux sont sensibles à l'ozone, mais cette sensibilité s'exprime à des degrés très différents d'une espèce à l'autre et même entre individus d'une même espèce. Les études expérimentales montrent que les espèces les plus vulnérables sont le blé, le soja, la laitue, l'oignon, la tomate, le tournesol et certaines légumineuses comme le haricot. La pomme de terre, le tabac, le colza et la betterave paraissent un peu moins sensibles, tout comme le maïs, alors que le riz et la vigne sont assez peu sensibles. Enfin, des espèces comme l'orge, le seigle et quelques arbres fruitiers comme le prunier semblent bien résister à l'ozone C'est principalement au niveau des feuilles que les plantes réalisent leurs échanges avec l'atmosphère, par de minuscules orifices présents à la surface des épidermes : les stomates. Les polluants atmosphériques diffusent à travers ces ouvertures vers l'intérieur de la feuille et leur impact est d'autant plus important que la quantité absorbée par la feuille est grande. La quantité de polluant absorbée dépend donc à la fois de la concentration en polluant dans l'air et du degré d'ouverture des stomates, qui est contrôlé par de nombreux facteurs physiques et physiologiques (rayonnement solaire, température, humidité de l'air, état hydrique, etc.).

L'ozone est un oxydant puissant, qui réagit directement avec les composés chimiques présents à la surface des cellules végétales (parois et membranes). Les produits issus de ces réactions sont encore mal connus, mais certains peuvent également être toxiques pour les plantes. En réponse à ces oxydations, les impacts sur les végétaux sont de deux types :

Les dégâts foliaires sont les plus spectaculaires. Ils se manifestent par l'apparition de tâches ou de nécroses à la surface des feuilles. On les observe habituellement après un « pic » de pollution (période pouvant durer de quelques heures à quelques jours pendant laquelle la teneur en ozone de l'air atteint des niveaux assez élevés en milieu de journée). Cependant, l'impact sur le fonctionnement des plantes reste limité si seulement une faible proportion de la surface des feuilles est endommagée.

Il existe des variétés de trèfle et de tabac très sensibles à l'ozone : des nécroses apparaissent à la surface de leurs feuilles après quelques heures d'exposition à l'ozone, même à des concentrations relativement modestes (de l'ordre de 25 ppb, soit 50 µg/m³). Ces variétés sont couramment utilisées lors d'opérations de biosurveillance de la qualité de l'air.a réduction de la photosynthèse 
La photosynthèse est le phénomène par lequel les plantes utilisent l'énergie du soleil pour fabriquer une partie de leur biomasse (des sucres) à partir du gaz carbonique de l'air (CO2) et de l'eau prélevée dans le sol par les racines.
l'augmentation de la respiration 
Une partie des sucres élaborés par la photosynthèse est consommée par la respiration pour fournir l'énergie nécessaire à la réparation des tissus abîmés par l'ozone.

Au cours de ces dernières années plusieurs programmes de recherche ont été initiés notamment en France et en Europe pour estimer les effets de l'ozone sur le rendement des plantes cultivées. L'approche la plus simple consiste à établir une relation statistique entre la perte de rendement et un indice d'exposition à l'ozone, l'AOT40, qui rend compte à la fois des fortes concentrations en ozone de l'air (supérieures à 40 ppb) et de la durée pendant laquelle les plantes sont exposées. En appliquant cette méthode, on constate qu'au cours des quinze dernières années, le rendement du blé en région parisienne a été réduit en moyenne d'environ 30 % par rapport à une situation non polluée. Cette méthode est très approximative et devient inutilisable quand les conditions climatiques sont exceptionnelles, comme la canicule de l'été 2003. D'autre part, les nouvelles variétés de blé semblent moins sensibles à l'ozone que les anciennes, ce qui demande de réactualiser régulièrement ces relations empiriques. Cependant, les méthodes plus fines, qui consistent à calculer la dose d'ozone absorbée en tenant compte du degré d'ouverture des stomates des feuilles ainsi que les impacts physiologiques de l'ozone donnent des résultats du même ordre de grandeur.
Grâce à ces programmes de recherche, on dispose aujourd'hui de modèles d'impact très performants de l'ozone sur le fonctionnement et le rendement du blé, qui est la céréale la plus largement cultivée en Ile-de-France comme dans beaucoup d'autres régions françaises et européennes. Il existe également un modèle européen pour la pomme de terre, et nous développons en ce moment des outils d'estimation des impacts pour le maïs. Pour les autres espèces, on doit encore se contenter des relations empiriques entre rendements et AOT40.

Des répercussions socio-économiques considérables

L’ozone est donc un facteur à prendre en compte dans les liens entre pauvreté, malnutrition, augmentation de la demande alimentaire et changements climatiques, qui mettent en péril la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans certaines de ces régions.

Il faut également tenir compte du fait que l’instabilité de ces systèmes alimentaires aura des répercussions socio-économiques considérables : sur l’évolution des prix des denrées alimentaires, les revenus agricoles, les comportements des consommateurs ou encore l’équilibre nutritionnel des populations.

Des études montrent que les pertes de récoltes causées par des facteurs environnementaux frappent les agriculteurs en les poussant à s’endetter et en intensifiant leur charge de travail, tout en [entre hommes et femmes] altérant les relations.

Intégrer la pollution par l’ozone

Conscients de ces défis, les scientifiques doivent envisager d’intégrer ce type de pollution dans les prévisions de rendement des cultures saisonnières. Les chercheurs de l’Institut de l’environnement de Stockholm ont ainsi mis au point des outils d’évaluation des risques et des dommages causés par l’ozone pour les cultures.

Un rapport récent souligne l’importance des réseaux de surveillance dans les zones rurales pour évaluer les concentrations de fond d’ozone et la fréquence des épisodes de forte concentration.

Ce rapport synthétise des informations provenant de quinze réseaux de surveillance de l’ozone, tels que le Programme européen de surveillance et d’évaluation et de données recueillies par des chercheurs indépendants, ou par des réseaux régionaux ou nationaux.

Ces réseaux permettront d’intégrer les informations sur ce type de pollution et de fournir des alertes sur les pics d’ozone (qui durent souvent des jours ou des semaines), afin d’aider les agriculteurs à réduire au minimum les pertes de récoltes grâce à des pratiques de gestion appropriées.

La recherche visant à développer des systèmes agricoles résilients intégrera idéalement dans ses modélisations sur l’adaptation au changement climatique cet aspect ; il s’agira d’éviter les pires effets de la pollution par l’ozone grâce à l’amélioration des pratiques agronomiques et à la sélection des cultures.

Pour dresser un tableau complet du problème et offrir des solutions efficaces, il est indispensable de bien comprendre les liens et les interactions entre la qualité de l’air, le changement climatique, l’agriculture, l’approvisionnement alimentaire et les implications socio-économiques à l’échelle locale, régionale et mondiale.

La pollution atmosphérique cause beaucoup de dégâts sur les végétaux. L'augmentation des gaz polluants perturbe les arbres, qui se mettent à fabriquer des branches déformées. Parmi les premières victimes, les sapins et les épicéas qui se mettent à jaunir. Les particules grasses de Diesel bouchent aussi les pores des feuilles. La plante respire mal et sa photosynthèse est perturbée.

De plus, des études ont montré que l'ozone faisait chuter le rendement de certaines cultures agricoles. Mais c'est sans compter avec les pluies, les neiges et les brouillards acides qui, eux aussi, causent de nombreux dommages. Les pluies acides sont le fruit d'une rencontre entre un nuage de pluie et un nuage de pollution. Le dioxyde de soufre et les oxydes d'azote vont se dissoudre dans l'eau. Une fois dissous, nos chers amis se changent en acides. Acide sulfurique pour le soufre et acide nitrique pour l'azote. Ces acides sont particulièrement corrosifs : les feuilles sont brûlées et le sol perd de sa fertilité.

 

 

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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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