Greanpeace manipule la pollution contre les transports sans la moindre etude scientifique
L'arnaque(the sting)
La vapeur d'eau des centrales nucleaires et des incenérateurs n'est pas prise en compte par greanpeace
Les transports ne sont responsables que de 14% des emissions des polluants
Conclusion du GIEC 2014
Pour y parvenir, des changements d'approche doivent intervenir dans tous les secteurs dont, en premier lieu, celui de l'énergie – qui représente 35 % des émissions, devant l'agriculture et la forêt (24 %), l'industrie (21 %), les transports (14 %) et le bâtiment (6 %). Pour cela, prônent les experts du GIEC
POLLUTION DE L'AIR - La Commission européenne a décidé jeudi 17 mai de renvoyer six Etats membres, dont la France et l'Allemagne, devant la Cour de justice de l'UE pour avoir manqué à leurs obligations en matière de qualité de l'air.
L'exécutif européen exigeait d'eux "des mesures additionnelles crédibles, opportunes et efficaces". Les neuf pays ciblés ont dû présenter un plan d'action. "Trop peu, trop tard", selon l'avis du BEE. Le ministre français Nicolas Hulot avait estimé que la plan d'action présenté par Paris pour les 14 zones les plus polluées de France était "à la hauteur des enjeux".
C 'est faux car il misait tout sur les transports et l'agriculture pour ruiner ces rergions..
Les chercheurs de l’INERIS ont étudié, en parallèle de leurs travaux sur les particules, l’impact du changement climatique sur la concentration d’ozone. Ce gaz, lorsqu’il est présent dans les basses couches de l’atmosphère, est issu d’un processus de transformation chimique déclenché par l’interaction d’autres polluants émis par l’activité humaine (NOx et COV) en présence du rayonnement solaire (UV). L’ozone est à la fois un GES et un des polluants ayant la plus forte influence sur la qualité de l’air : il peut créer une gêne respiratoire, des irritations oculaires et des altérations
L’impact de l’évolution du climat sur l’ozone Concernant l’ozone, les premiers travaux de l’Institut montrent que l’évolution climatique provoquerait une augmentation des niveaux d’ozone en période estivale sous l'heure d'ete . Sur la base des scénarios d’évolution climatique du Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC), les pics journaliers seraient susceptibles de croître en moyenne de 25 à 40 µg/m3 par rapport au niveau actuel. Les prédictions indiquent qu’à l’échelle européenne, la France se trouverait fortement touchée par l’accroissement des concentrations : le dépassement des seuils d’information et d’alerte serait par conséquent beaucoup plus fréquent. La persistance des épisodes d’ozone augmenterait également : les fortes concentrations d’ozone de l’été 2003 pourraient ainsi devenir une situation « normale » à la fin du siècle.
De plus greanpeace oublie volontairement la vapeur d'eau et l'impact de l'acide nitreux sur le dioxyde d'azote
Il ont aqugmente le taux des transports sur le dioxyde d'azote de plus de 34% c'est une honte
Des chercheurs français, suisses et allemands ont mis en évidence une nouvelle source de production d'acide nitreux (HNO2). Ce gaz, précurseurs de l'ozone troposphérique, serait produit en présence de matière organique et d'oxyde d'azote.
Une nouvelle étude, parue dans la revue Nature, dévoile de nouveaux mécanismes de production de l'acide nitreux (HNO2). Ce gaz est déjà bien connu et tient une place importante dans la chimie atmosphérique et particulièrement dans la pollution à l'ozone.
En effet, il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux libres (OH-). Associés aux composés organiques volatiles (COV), ces radicaux participent à la production d'ozone troposphérique, polluants généralement urbains à l'origine des brouillards et des « pics d'ozone » présents dans la troposphère, couche la plus basse et la plus polluée de l'atmosphère.
Jusqu'à maintenant l'acide nitreux était supposé se former principalement la nuit et être dégradé en radicaux libres par la lumière dès le lever du soleil. Grâce à de nouvelles techniques de mesure de ce gaz, plus sensibles, les scientifiques se sont rendus compte récemment qu'il pouvait se former également le jour avec des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique.
Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement de Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL) en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse) et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent d'identifier les processus chimiques liés à cette production diurne. Leur étude a permis de démontrer que l'acide nitreux était produit par photo-réduction du dioxyde d'azote atmosphérique (NO2) à la surface de matière organique en décomposition (humus). Les résultats indiquent que le sol et d'autres surfaces contenant de l'acide humique produisent par photochimie des espèces réductrices qui réagissent sélectivement avec le dioxyde d'azote. Le taux de formation d'acide nitreux relevé dans cette étude pourrait expliquer les concentrations élevées d'HNO2 récemment observées en journée et dont la photolyse compte pour 60% de la production de radicaux libres. Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique, ont expliqué les chercheurs européens.
Vous pouvez decouvrir comme des nazis verts veulent vous rendre resposable de la pollution or que c'est l'Etat lui meme qui est le coupable
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Association Non a l’heure d'été en
France et Europe
Communiqué des presse
Les faux écologistes et les manipulations a l’encontre des transports sont inadmisibles aujourd’hui
Faire du vélo en ville n’est pas un danger mais faire de football oui d'après greanpeace
Ne pas tenir compte de la vapeur d’eau et de l’acide nitreux démontre le peu de serieux de cette information des verts ultra conservateurs
De plus le dioxyde d’azote est plus dangereux l’hiver que l’ete sous l’heure d’ete de 1942…
La vapeur d'eau des centrales nucleaires et des incenérateurs n'est pas prise en compte par greanpeace
Les transports ne sont responsables que de 14% des emissions des polluants
Conclusion du GIEC 2014
Pour y parvenir, des changements d'approche doivent intervenir dans tous les secteurs dont, en premier lieu, celui de l'énergie – qui représente 35 % des émissions, devant l'agriculture et la forêt (24 %), l'industrie (21 %), les transports (14 %) et le bâtiment (6 %). Pour cela, prônent les experts du GIEC
Les chercheurs de l’INERIS ont étudié, en parallèle de leurs travaux sur les particules, l’impact du changement climatique sur la concentration d’ozone. Ce gaz, lorsqu’il est présent dans les basses couches de l’atmosphère, est issu d’un processus de transformation chimique déclenché par l’interaction d’autres polluants émis par l’activité humaine (NOx et COV) en présence du rayonnement solaire (UV). L’ozone est à la fois un GES et un des polluants ayant la plus forte influence sur la qualité de l’air : il peut créer une gêne respiratoire, des irritations oculaires et des altérations
L’impact de l’évolution du climat sur l’ozone Concernant l’ozone, les premiers travaux de l’Institut montrent que l’évolution climatique provoquerait une augmentation des niveaux d’ozone en période estivale sous l'heure d'ete . Sur la base des scénarios d’évolution climatique du Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC), les pics journaliers seraient susceptibles de croître en moyenne de 25 à 40 µg/m3 par rapport au niveau actuel. Les prédictions indiquent qu’à l’échelle européenne, la France se trouverait fortement touchée par l’accroissement des concentrations : le dépassement des seuils d’information et d’alerte serait par conséquent beaucoup plus fréquent. La persistance des épisodes d’ozone augmenterait également : les fortes concentrations d’ozone de l’été 2003 pourraient ainsi devenir une situation « normale » à la fin du siècle.
De plus greanpeace oublie volontairement la vapeur d'eau et l'impact de l'acide nitreux sur le dioxyde d'azote
Il ont augmenté le taux des transports sur le dioxyde d'azote de plus de 34% c'est une honte
Des chercheurs français, suisses et allemands ont mis en évidence une nouvelle source de production d'acide nitreux (HNO2). Ce gaz, précurseurs de l'ozone troposphérique, serait produit en présence de matière organique et d'oxyde d'azote.
Une nouvelle étude, parue dans la revue Nature, dévoile de nouveaux mécanismes de production de l'acide nitreux (HNO2). Ce gaz est déjà bien connu et tient une place importante dans la chimie atmosphérique et particulièrement dans la pollution à l'ozone.
En effet, il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux libres (OH-). Associés aux composés organiques volatiles (COV), ces radicaux participent à la production d'ozone troposphérique, polluants généralement urbains à l'origine des brouillards et des « pics d'ozone » présents dans la troposphère, couche la plus basse et la plus polluée de l'atmosphère.
Jusqu'à maintenant l'acide nitreux était supposé se former principalement la nuit et être dégradé en radicaux libres par la lumière dès le lever du soleil. Grâce à de nouvelles techniques de mesure de ce gaz, plus sensibles, les scientifiques se sont rendus compte récemment qu'il pouvait se former également le jour avec des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique.
Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement de Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL) en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse) et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent d'identifier les processus chimiques liés à cette production diurne. Leur étude a permis de démontrer que l'acide nitreux était produit par photo-réduction du dioxyde d'azote atmosphérique (NO2) à la surface de matière organique en décomposition (humus). Les résultats indiquent que le sol et d'autres surfaces contenant de l'acide humique produisent par photochimie des espèces réductrices qui réagissent sélectivement avec le dioxyde d'azote. Le taux de formation d'acide nitreux relevé dans cette étude pourrait expliquer les concentrations élevées d'HNO2 récemment observées en journée et dont la photolyse compte pour 60% de la production de radicaux libres. Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique, ont expliqué les chercheurs européens.
Vous pouvez decouvrir comme des nazis verts veulent vous rendre resposable de la pollution or que c'est l'Etat lui meme qui est le coupable
L’utilisation de la recommandation 1432 devient une obligation et la solution la plus efficace pour augmenter la productivité de 1.5 point sans aggraver la pollution ..
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