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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
27 août 2018

Airparif dit airparasite pour la biodiversité ment et oublie des polluants a sa guise sous l'heure d'ete de petain 1942

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Cen'est qu'un au revoir -Andre Rieu-Concert-Auld Lang Syne

 

 le système de l'heure d'été semble avoir un impact aggravant la pollution atmosphérique par l'ozone

heure d'ete responsable par l'etude de copdeville 1986

 

Conclusion de l’étude

 

- a titre indicatif, nous avons effectué deux simulations avec un profil d'émission mixte (mécanisme CB3), une pour le 13 Août 1986 où le pourcentage d'augmentation était le plus fort et une autre pour le 16 Juillet 1986 où il était le plus faible, et ceci avec l'hypothèse de l'utilisation de I'heure solaire comme heure légale ; nous avons obtenu dans ce cas des pourcentages importants d'augmentation de la concentrat ion maximale calculée en ozone quand on passe de I'heure solaire à I'heure d'été (deux heures de décalage) : respectivement 23 % et 18 %. Pour le PAN ces augmentations sont beaucoup plus conséquentes : respectivement 33 et 47,6 96.- enfin, il existe un effet cumulatif d'un jour sur l'autre, entraînant une augmentation de la teneur en ozone le deuxième jour. Cet effet s'explique par une simple question d'initialisation du modèle, mais il a été intéressant de constater que l'usage de l'heure d'été a un effet aggravant ce phénomène.

 



 

Lutte contre la pollution de l'air -

 

Un rapport sénatorial déplore un accompagnement insuffisant des collectivités Publié le 12/07/2017 Anne Lenormand Environnement - Energie - Transports | Europe - International La lutte contre la pollution de l'air pâtit en France d'un manque de vision stratégique et d'un accompagnement insuffisant des collectivités, a pointé Jean-François Husson, auteur d'un rapport sénatorial sur l'application du droit environnemental européen publié le 7 juillet. Les risques budgétaires encourus par la France au titre des contentieux européens environnementaux sont à ce jour relativement faibles. Néanmoins, plusieurs dossiers ouverts contre la France pourraient, à l’avenir, faire peser des risques de sanctions pécuniaires, notamment les deux procédures relatives à la qualité de l’air, constate Jean-François Husson, sénateur LR de Meurthe-et-Moselle, dans son rapport sur l’application du droit environnemental européen, publié ce 7 juillet. Selon Jean-François Husson, la lutte contre la pollution de l'air "illustre les difficultés à appliquer une directive environnementale sur le terrain". "La qualité de l'air fait aujourd'hui l'objet d'une réelle ambition politique, pénalisée cependant par l'absence de vision stratégique. De plus, une gouvernance complexe, résultant d'une multiplicité d'outils de planification, s'ajoute à des financements insuffisants, freinant une mise en oeuvre effective de la directive européenne sur l'air sur le terrain", a déclaré le sénateur en présentant ce "rapport d'information" à la commission des finances de la Haute Assemblée.

 

Risque d'amendes importantes L'environnement reste la principale source de contentieux européens, a-t-il rappelé. Pour la France, 18% des nouvelles plaintes enregistrées par la Commission européenne concernaient ce secteur. Le sénateur note que la situation s'est améliorée pour de nombreux dossiers tels que les eaux résiduaires urbaines et les nitrates. Mais quatre procédures continuent à faire peser des risques de sanctions sur l’Hexagone : celle relative au braconnage du Bruant ortolan, le dossier relatif aux plans de gestion des déchets, ainsi que les deux procédures sur la qualité de l'air. L'une concerne les dépassements des valeurs limites de particules (PM10) et l'autre ceux de dioxyde d'azote (NO2). D'après la Cour des comptes, le montant de l'amende pour le seul contentieux "particules" pourrait s'élever à plus de 100 millions d'euros la première année, puis 90 millions par an les années suivantes, tant que des dépassements seront 06/06/2018 Un rapport sénatorial déplore un accompagnement insuffisant des collectivités , souligne le rapporteur. Il rappelle aussi que depuis la loi Notre, les collectivités territoriales sont "coresponsables politiquement et financièrement avec l’Etat en cas de procédures contentieuses européennes liées à l’inexécution d’obligations relevant en tout ou partie de leur compétence". Outils de pilotage "peu coordonnés", financements "éclatés" Pour Jean-François Husson, en matière de qualité de l’air, la difficulté de mise en œuvre de la directive s’explique par le retard pris dans les mesures de planification nationale – plan national de réduction des émissions de polluants atmosphériques (Prepa) – et d’une "faible visibilité en matière de fiscalité énergétique". Mais il pointe surtout la multiplicité d’outils de pilotage, "peu coordonnés" - plan climat air-énergie territorial (PCAET), Schéma régional sur l’air, le climat et l’énergie (SRCAE), Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires (Sraddet), plan de protection de l’atmosphère (PPA) - et des "financements éclatés, voire insuffisants et alloués sans offrir de visibilité aux collectivités locales sur les montants finaux". Il reproche ainsi à l’Etat "un accompagnement imparfait" des collectivités, alors qu’elles sont largement chargées d'appliquer les mesures pour l'air (par exemple, l’instauration de zones de circulation restreinte en ville). "La place des collectivités territoriales doit être confortée tout au long de l'élaboration de la norme européenne environnementale, depuis sa négociation jusqu'à son adoption", ajoute le rapporteur. "Au niveau local", il faudrait, selon lui, des "instances de pilotage" pour approfondir la relation partenariale État-collectivités, et au niveau central "décloisonner" les dossiers environnementaux pour en faire un sujet inter-ministériel. "Une étroite collaboration" est ainsi attendue entre le ministère de Nicolas Hulot, et les ministères de la Santé et de l'Agriculture

Déjà le fait de prendre des mesures contre les transports démontrent le peu de connaissance du sujet par les collectivités locales

Les activités humaines sont responsables et les déplacer vis à vis du soleil est une aggravation suicidaire que le rapporteur a oublié volontairement le Sénateur....

Air Parif l’association pétainiste contre les transports oublie les vapeur d’eau des centrales nucléaires et des incinérateurs à Ivry sur seine 

La vapeur d'eau, contenue dans les nuages ou les fumées des tours des centrales nucléaires et des incenérateurs  est un puissant gaz à effet de serre (GES).

Il s'agit même du principal gaz à effet de serre, puisque la vapeur contribue pour 60% à l'effet de serre planétaire, contribution qui monte jusqu'à 90% si l'on considère aussi les nuages.

Cependant, seule une partie très infime de la vapeur d'eau atmosphérique est due aux activités humaines. L'essentielle de la vapeur d'eau est donc responsable de l'effet de serre naturel, sans lequel la planète Terre aurait une température moyenne de -18°C.

Enfin, la vapeur d'eau reste très peu de temps dans l'atmosphère, à peine quelques jours, tandis qu'un gaz comme le dioxyde de carbone y demeure un siècle environ.

Les émissions de vapeur d'eau jouent donc un rôle direct très négligeable dans l'augmentation de l'effet de serre.

 

L'association de surveillance de qualité de l'air réalise un inventaire des émissions, aussi bien pour les polluants atmosphériques que pour les principaux gaz à effet de serre. Il permet de connaître la répartition géographique de ces émissions, leur évolution dans le temps, et la responsabilité des différentes sources.Cet inventaire des émissions est un outil précieux pour identifier les sources de polluants sur lesquelles des actions auraient le plus d'efficacité et pour tester des scenaris de réduction prenant en compte ces deux problématiques.

Pas un mot sur l’acide nitreux

A l'occasion de travaux, dont un extrait est paru dans l'édition courante du journal Nature, des chercheurs européens ont mis en évidence une nouvelle source de production de l'acide nitreux, ce composé qui interagit avec la lumière pour produire des radicaux hydroxyle et participe ainsi à la production d'ozone dans les couches basses de l'atmosphère.

Si l'ozone de la stratosphère nous protège efficacement des rayonnements solaires - en filtrant les rayons ultraviolets - et présente ainsi un effet bénéfique, ce n'est pas le cas de l'ozone présent dans les couches basses de l'atmosphère, qui participe activement à la pollution de l'air.

Alors qu'on supposait que l'acide nitreux (HNO2) ne se formait qu'à la faveur de la nuit, des mesures fines menées par l'université de Wuppertal, en Allemagne, ont révélé l'existence d'une surproduction diurne de ce composé, et des concentrations nettement supérieures aux prédictions.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement de Villeurbanne, en collaboration avec l'université de Wuppertal et l'Institut Paul Scherrer, en Suisse, sont parvenus à déterminer l'origine de cette surproduction. Ils publient leurs résultats dans l'édition du 9 mars du journal Nature, et révèlent que la photoréduction du dioxyde d'azote (à l'origine de la production d'acide nitreux) est facilitée par l'absorption du rayonnement lumineux par les substances humiques - des composés obtenus par décomposition de la matière organique biogène - présentes à la surface de la Terre.

Ces substances humiques se trouvant en fortes quantités dans les zones rurales, mais également dans les villes, la surproduction diurne d'acide nitreux qu'engendre ce phénomène est non négligeable : en effet, selon les chercheurs, il serait responsable de la moitié des radicaux hydroxyles produits dans les milieux citadins..

L'heure d'été de pétain 1942  aggrave de plus de 60% l’acide nitreux et pas un mot d’Airparif

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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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