Greepeace falsifie les etudes scientifiques pour accuser a tort les transports...malgre les conclusions du GIEC

Cen'est qu'un au revoir -Andre Rieu-Concert-Auld Lang Syne

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Greenpeace

Bonjour,

Je vous remercie pour votre message et l’intérêt que vous portez aux causes que nous défendons.

Greenpeace France lance prochainement une campagne pour lutter contre la pollution de l’air.

La manière la plus efficace pour améliorer la qualité de l’air dans les villes est de réduire les émissions liées au transport. Le secteur des transports assume une responsabilité particulièrement forte pour la pollution aux oxydes d’azote (NOx). En abandonnant rapidement les voitures diesel, on peut agit sur cette pollution aux oxydes d’azote. Nous nous concentrons donc pour l’instant sur un problème particulièrement grave, et pour laquelle une solution est connue et possible à mettre en oeuvre.

POLLUTION DE L'AIR - La Commission européenne a décidé jeudi 17 mai de renvoyer six Etats membres, dont la France et l'Allemagne, devant la Cour de justice de l'UE pour avoir manqué à leurs obligations en matière de qualité de l'air.

 L'exécutif européen exigeait d'eux "des mesures additionnelles crédibles, opportunes et efficaces". Les neuf pays ciblés ont dû présenter un plan d'action. "Trop peu, trop tard", selon l'avis du BEE. Le ministre français Nicolas Hulot avait estimé que la plan d'action présenté par Paris pour les 14 zones les plus polluées de France était "à la hauteur des enjeux".

Cela ne signifie pas que les particules doivent être négligées. En termes de risques sanitaires, des études démontrent que les émissions de PM sont bien plus dangereuses que celles d’autres polluants. Cependant, les émissions de particules sont liées aux émissions de NOx. La solution que nous proposons a des effets positifs sur les deux.

En outre, la pollution de PM provient de divers secteurs tels que la construction, l’agriculture et le transport. Nous savons que la majorité du NOx provient du transport routier dans les zones urbaines, c’est pour cette raison qu’un focus sur ces émissions polluantes dans ces zones a davantage de sens.

L'ozone est un polluant secondaire : il n'est pas directement rejeté dans l'atmosphère mais provient de réactions chimiques de gaz entre eux. L'ozone (O3) résulte de la transformation chimique de l'oxygène au contact d'oxydes d'azote et d'hydrocarbures, en présence de rayonnement ultra-violet solaire et d'une température élevée. L'ozone ainsi que d'autres polluants photochimiques constituent le smog, ce nuage brunâtre qui stagne parfois au-dessus des grandes villes comme Paris. La formation d'ozone nécessite un certain temps durant lequel les masses d'air se déplacent. Ce qui explique pourquoi les niveaux d'ozone sont plus soutenus et posent problème en zone rurale autour des agglomérations plutôt que dans les agglomérations elles-mêmes où leur précurseurs ont été produits. Mais, ici aussi, la réduction des émissions de NOx entraînera une amélioration notoire, étant donné qu’il y aura moins d’ozone qui sera transporté par le vent depuis les villes et autoroutes vers les campagnes.

Quant aux acides nitreux provenant de l’élevage industriel, nous en parlons à travers une autre de nos campagnes. Vous trouverez plus d’informations sur notre site internet dans les pages dédiées en cliquant

Ceci est une démonstration des manipulations par des incultes de la pollution atmosphérique

L’élevage industriel est marginale en france et confondre l'acide nitreux et de la vapeur d'eau c'est grave ..

Pas un mot sur la vapeur d'eau des centrales nucléaires de Greenpeace qui démontre le peu de connaissance sérieuse de la pollution atmosphérique..

De plus pas un mot sur l'effet radian de l'ozone et du dioxyde d'azote vis a vis des uv..

Faire croire que les transports sont responsable de 70% de la pollution au dioxyde d'azote est une ânerie de greenpeace ...

 Pas un mot sur les activités humaines qui sont déplacées par rapport au soleil

Je reste à votre disposition et vous souhaite une excellente journée.

Julie, pour l’équipe Relations Adhérents

Greenpeace France

01 80 96 96 80

https://greenpeace.fr/contact

PS : Savez-vous que Greenpeace est une organisation indépendante des pouvoirs publics comme des industriels ? C'est uniquement grâce à nos 190 000 adhérents que nous pouvons porter votre voix ! Venez vous engager à nos côtés ! 

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Votre message du 28/05/2018 [demande n° 00109795]

Les transports n'ont aucune incidence sur la pollution a l'ozone+dioxyde
d'azote+ acide nitreux
La recommandation 1432 du Conseil de l’Europe devient même une obligation

Voir le fichier joint

cordialement

Les scientifiques découvrent une nouvelle source de pollution atmosphérique à l'acide nitreux

Des chercheurs français, suisses et allemands ont mis en évidence une nouvelle source de production d'acide nitreux (HNO2). Ce gaz, précurseurs de l'ozone troposphérique, serait produit en présence de matière organique et d'oxyde d'azote.

Une nouvelle étude, parue dans la revue Nature, dévoile de nouveaux mécanismes de production de l'acide nitreux (HNO2). Ce gaz est déjà bien connu et tient une place importante dans la chimie atmosphérique et particulièrement dans la pollution à l'ozone.
En effet, il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux libres (OH-). Associés aux composés organiques volatiles (COV), ces radicaux participent à la production d'ozone troposphérique, polluants généralement urbains à l'origine des brouillards et des « pics d'ozone » présents dans la troposphère, couche la plus basse et la plus polluée de l'atmosphère.

Jusqu'à maintenant l'acide nitreux était supposé se former principalement la nuit et être dégradé en radicaux libres par la lumière dès le lever du soleil. Grâce à de nouvelles techniques de mesure de ce gaz, plus sensibles, les scientifiques se sont rendus compte récemment qu'il pouvait se former également le jour avec des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique.
Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement de Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL) en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse) et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent d'identifier les processus chimiques liés à cette production diurne. Leur étude a permis de démontrer que l'acide nitreux était produit par photo-réduction du dioxyde d'azote atmosphérique (NO2) à la surface de matière organique en décomposition (humus). Les résultats indiquent que le sol et d'autres surfaces contenant de l'acide humique produisent par photochimie des espèces réductrices qui réagissent sélectivement avec le dioxyde d'azote.
Le taux de formation d'acide nitreux relevé dans cette étude pourrait expliquer les concentrations élevées d'HNO2 récemment observées en journée et dont la photolyse compte pour 60% de la production de radicaux libres. Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique, ont expliqué les chercheurs européens.