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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
9 mars 2018

Les activités humaines sont responsables et non les transports encore moins l'elevage

Cen'est qu'un au revoir -Andre Rieu-Concert-Auld Lang Syne

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Les activités humaines réchauffent le climat entraînant des conséquences graves et irréversibles

 

 

Les Conclusions de la Recommandation 1432 du Conseil de l’Europe

avaient deja donner des conclusions sur le climat et l'écosystème

8. D’après certaines recherches et observations scientifiques récentes, ce décalage important et le déplacement des rythmes journaliers par rapport à l’heure de méridien qui en résulte sont à l’origine, dans ces pays, de certains effets qui affectent l’environnement, la santé et la condition physiologique et psychologique humaines.

9. Ils contribuent par exemple à une plus forte concentration dans l’air des oxydants photochimiques (dont l’ozone et le nitrate de péroxyacétyle), ce qui a des conséquences graves pour la santé des personnes vulnérables aux substances toxiques, mais aussi pour le patrimoine naturel et culturel.

Notre mission consiste à éclairer les responsables politiques, mais aussi les opinions publiques, afin de les aider à prendre des décisions pour répondre aux dérèglements climatiques.Je considère que le Giec, en plus de vingt-cinq ans, a bien avancé et rempli son rôle d'alerte. Quatre ans après sa mise en place, lors du Sommet de l’air a Montreal en 1990 ,du Sommet de la Terre de Rio, en 1992, a été créée la Convention climat avec pour objectif de limiter le réchauffement. Puis, à Copenhague, en 2009, a été introduite l'idée de contenir, à long terme, ce réchauffement à 2°C par rapport au climat de la période préindustrielle, de façon à éviter des conséquences catastrophiques. Aucun pays n'a contesté la nécessité d'atteindre cet objectif. A présent, toute la difficulté consiste à passer du constat à l'action.



La conclusion du Rapport de synthèse est sans ambiguïté et particulièrement sévère : « L'influence de l'homme sur le système climatique est claire et en augmentation, avec des incidences observées sur tous les continents. Si on ne les maîtrise pas, les changements climatiques vont accroître le risque de conséquences graves, généralisées et irréversibles pour l'être humain et les écosystèmes. »

Pour Michel Jarraud, Secrétaire général du Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), le message est clair: le changement climatique a bien lieu et les êtres humains en sont la cause. « Dans les décennies à venir, nous allons être confrontés à une augmentation constante des répercussions et des risques associés, et notamment à des inondations plus destructrices, des vagues de chaleur plus fréquentes et intenses et une élévation considérable du niveau des océans. »

M. Jarraud insiste également sur la nécessité de prendre d'urgence des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale. En effet, plus nous attendons, plus l'adaptation sera coûteuse et difficile, au point que certaines conséquences seront tout simplement irréversibles et insurmontables.

Malheureusement, le Rapport confirme avec une certitude encore plus grande que les évaluations précédentes du GIEC étaient pertinentes : les émissions de gaz à effet de serre et d'autres facteurs anthropiques ont été la cause prédominante du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle.

- Ces incertitudes viennent de ce que nous ne connaissons pas suffisamment les sources et les puits des gaz à effet de serre et les réactions des nuages, des océans et des calottes glaciaires polaires à un changement du forçage radiatif provoqué par l'augmentation des concentrations de ces gaz.

Le Rapport de synthèse indique clairement que de nombreux risques représentent des problèmes particuliers pour les pays les moins développés et les collectivités vulnérables, vu leur capacité limitée d'y faire face. Les personnes marginalisées sur le plan social, économique, culturel, politique, institutionnel ou autre sont particulièrement vulnérables aux changements climatiques.

Ce réchauffement se fait sentir sur l'ensemble des continents et des océans au cours des dernières décennies. Ainsi, les records de chaleur, moyennés à la planète, se succèdent, en témoignent les mois qui viennent de s'écouler.

L’ACIDE NITREUX, UNE VÉRITABLE SOURCE DE COMPOSÉS AZOTÉS RÉACTIFS POUR L’ATMOSPHÈRE
Une équipe internationale de chercheurs menée par le Max Planck Institute for Chemistry (Mainz, Allemagne), et comprenant des chercheurs du Laboratoire d’aérologie (LA/OMP, CNRS / UPS) et de Géosciences environnement Toulouse (GET/OMP, CNRS / IRD / CNES / UPS), a quantifié les émissions d’acide nitreux (HONO) par divers types de sols prélevés dans différentes régions du monde. Cette étude a permis de mettre en évidence la forte contribution de l’acide nitreux au cycle de l’azote atmosphérique.
En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.
L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.
Les émissions naturelles biogéniques d’oxyde d’azote (NO) par les sols jouent un rôle important dans l’augmentation des teneurs atmosphériques en composés azotés réactifs, NO étant lui-même un composé réactif qui en forme d’autres par oxydation. Elles participent en outre à la formation d’ozone dans la basse atmosphère. Ces émissions biogéniques de NO représentent environ 20 % des émissions totales de NO depuis la surface (le reste étant d’origine humaine). Elles sont dues à la nitrification, un processus d’oxydation de l’ammonium (NH4+) en nitrites (NO2-) puis en nitrates (NO3-) par certaines bactéries du sol. Elles varient donc en fonction de l’activité microbienne du sol mais aussi de ses propriétés physicochimiques (température, contenu en eau, acidité et quantité intrinsèque d’azote). L’acide nitreux (HONO) est également un précurseur de composés azotés réactifs, émis par les sols dans des conditions de température et d’humidité similaires à celles de NO, mais il a été nettement moins étudié et quantifié. Pour estimer les émissions de HONO et élucider les processus qui les gouvernent, une équipe internationale a analysé au laboratoire, dans des conditions contrôlées de température et d’humidité, une large gamme d’échantillons de sol en provenance de différentes régions du monde. En particulier, des sols sableux ont été collectés au Sahel, au Sénégal et au Mali sur des sites suivis par les Services d’observation AMMA-CATCH (Analyses multidisciplinaires de la mousson africaine - Couplage de l’atmosphère tropicale et du cycle hydrologique) et IDAF (International global atmospheric chemistry - deposition of biogeochemically trace species- Africa).
Découverte d'une nouvelle source de production d'acide nitreux dans l'air
chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour.
En présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère[1], et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux sont parus dans Nature le 9 mars 2006.
L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.
La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.
L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.
Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.
Que recouvrent les termes poussières, particules ou aérosols ? Nous tenterons ici de définir plus précisément la nature physico-chimique des particules présentes dans l'atmosphère
Les particules sont solides ou liquides et résultent essentiellement de composés solides du carbone, des hydrocarbures non brûlés, mais aussi de l'usure des pneus et des métaux lourds. Leur taille est donc réduite et les place à une échelle microscopique. Dans la littérature, on emploie bien souvent indistinctement différents termes pour définir ce type de pollution. Parmi eux :
les aérosols sont formés de particules solides ou liquides de dimension inférieure à 100 micromètre. La définition stricte est la "suspension, dans un milieu gazeux, de particules solides ou liquides présentant une vitesse de chute négligeable." On peut également parler de particules insédimentables. Les aérosols correspondent donc aux plus fines particules les "fumées noires" (qualifiées comme telles d'après la méthode de prélèvement associée) sont des particules carbonées de diamètre inférieur à 5 µm jusqu'à 0,1 µm environ les poussières qui sont faites de particules solides inférieures à 75 µm, les plus grosses retombant prés de la source d'émission Le terme de "particules" englobe en fait l'ensemble des définitions précédentes indifféremment des propriétés physico-chimiques de chacune d'elle. C'est l'expression générique. Ce composant atmosphérique peut-être soit d'origine naturelle ou lié aux émissions anthropiques de polluants.
Les émetteurs de particules sont multiples. Les travaux domestiques d'intérieur nous exposent à prés de 45% des rejets totaux de particules par an. L'automobile n'en constituant qu'environ 7%. Cela explique l'apparition d'études quantifiant les particules inhalées par une personne dans ses déplacements et dans son habitation. Dans une ville industrielle, l'air peut contenir plus de 3 millions de particules par cm3, dans une ville aux activités plus tertiaires de 10 000 à 50 000 (soit 100 µg.cm-3) alors qu'au-dessus de l'océan ou en montagne il n'y en a que quelques milliers, et dans un endroit exempt d'émission seulement 100 à 20 particules par cm3 (LYONS T.J., SCOTT W.D, 1990).
Cette pollution est dite par voie sèche afin de se démarquer de celle par voie humide caractérisée notamment par les pluies acides. Nous distinguerons les grosses particules des plus fines d'après leurs propriétés et leur genèse. Ainsi, les particules sont produites par divers processus comme :
la transformation des gaz en particules l'altération éolienne la coalescence et croissance des particules les émissions directes les bris des vagues des océans : des sels marins sont injectés dans l'atmosphère sous l'effet d'un pétillement résultant de l'éclatement de bulles à la surface de l'eau des océans les météorites (matière extra-terrestre) Pour les particules naturelles, leur origine est : volcanique, saline (cristaux salins : NaCl ; 2240 millions de tonnes par an), feux de végétation (170 millions de tonnes par an), organique : formes vivantes microscopiques (bactéries, acariens, moisissures...), graines aigrettées, pollen (de 30 à 40 µm), fibres végétales (champignons...) ou animales..., tellurique : argiles (inférieur à 2µm), limons (de 2 à 50 µm), sables fins (de 50 à 200 µm).
Si elles sont anthropiques (poussières chimiques et minérales), elles résultent :
de la combustion industrielle (hauts fourneaux et fours) du chauffage des incinérateurs à grilles ou à lit fluidisé des transports (notamment routier), celles-ci sont généralement constituées de : charbon (carbone si la combustion est incomplète) d'oxydes métalliques : fer, aluminium... de ciment de calcaire de silice de goudron. Chaque année, les activités humaines soumises à l'heure d'été produisent environ 300 millions de tonnes de poussières !
Actuellement, on s'intéresse davantage aux particules de 10 et 2,5 microns. En effet, ces seuils jouent un rôle essentiel au niveau sanitaire. Car les particules inférieures à 10 microns sont capables de pénétrer dans les poumons (on les appelle particules inhalables PM10), et celles qui ont un diamètre inférieur à 2,5 microns peuvent atteindre les alvéoles pulmonaires pour s'y accumuler (particules alvéolaires PM2,5). A ce titre, une stratégie thématique sur la pollution atmosphérique a été adoptée par la Commission européenne en septembre 2005, elle est assortie d’une proposition de directive sur la qualité de l’air ambiant. Celle-ci devrait fixer des limites sur les concentrations des PM2,5 et PM10. En milieu urbain la mesure des PM10, qui contiennent 80% en masse de particules inférieures à 2,5 microns, fournit une assez bonne représentation des concentrations en PM 2,5. (Communauté européenne, 09/2006)
Parlement européen 2014 - 2019 Commission des pétitions 30.6.2015 COMMUNICATION AUX MEMBRES Objet: Pétition 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du "Groupement pour le respect des fuseaux en Europe", sur les seuils visés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l'air ambiant et un air pur pour l'Europe, ainsi que la protection insuffisante de la santé publique et de l'environnement à cet égard 1. Résumé de la pétition Le pétitionnaire exprime son mécontentement quant aux valeurs cibles et aux objectifs à long terme visés par la directive 2008/50/CE du Parlement européen et du Conseil concernant la qualité de l'air ambiant et un air pur pour l'Europe. Il critique aussi vertement la manière dont la France applique les dispositions en vigueur dans le domaine. Il invite dès lors la Commission à prendre des mesures à l'encontre de la France et à appliquer des seuils plus sévères. 2. Recevabilité Déclarée recevable le 13 juin 2012. La Commission a été invitée à fournir des informations (article 216, paragraphe 6, du règlement). 3. Réponse de la Commission, reçue le 28 septembre 2012 La directive 2008/50/CE concernant la qualité de l'air ambiant et un air pur pour l'Europe1 fixe une valeur limite horaire de 200 9g/m³ pour le dioxyde d'azote (NO2), à ne pas dépasser plus de dix-huit fois par année civile, ainsi qu'une valeur limite annuelle de 40 9g/m³. Ces valeurs limites pour le NO2 sont applicables depuis le 1er janvier 2010. En vertu de ladite directive, les États membres ont toutefois la possibilité de notifier à la Commission un report 1 JO L 152 du 11.6.2008. PE496.612v03-00 2/3 CM\1067557FR.doc FR
du délai fixé pour l'application des valeurs limites de NO2 jusqu'au 1er janvier 2015, au plus tard. Pour pouvoir bénéficier de ce report de délai, les États membres doivent remplir certaines conditions, et notamment élaborer un plan relatif à la qualité de l'air précisant comment ils entendent atteindre les valeurs cibles d'ici l'expiration du délai prolongé. La Commission examine actuellement la notification adressée par les autorités françaises concernant un report du délai fixé pour le respect des valeurs limites pour le dioxyde d'azote (lettre du 8 mars 2012). Après un premier examen, la Commission a estimé que la notification était incomplète et a demandé des informations complémentaires aux autorités françaises. Ces dernières ont fourni ce complément d'information en juin 2012. La Commission dispose de neuf mois pour évaluer la notification. La Commission a entrepris un examen complet des politiques de l'Union en matière de qualité de l'air, qui doit être achevé en 2013. Cet examen visera notamment à actualiser les bases scientifiques permettant d'évaluer les incidences sur la santé et sur l'environnement et débouchera, le cas échéant, sur de nouvelles propositions ou la révision des propositions existantes. Des informations complémentaires sont disponibles sur le site internet consacré à cet examen et dans la bibliothèque CIRCA 

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Le GIEC évalue les informations scientifiques, techniques et socio-économiques permettant de comprendre le risque de changement climatique imputable à l'homme. Les rapports qu'il établit périodiquement reposent essentiellement sur la littérature scientifique et technique publiée ou étudiée par les spécialistes du domaine. Les évaluations sont réalisées par trois groupes de travail réunissant des centaines d'experts éminents du monde entier. Les rapports reflètent donc le consensus scientifique mondial le plus digne de foi en matière de changement climatique.

 

Les projets de recherche financés au titre des programmes-cadres communautaires de recherche ainsi que des programmes de recherche des différents États membres ont notablement contribué à l'élaboration du rapport du GT 1.

Les enquêtes sur la perception du réchauffement climatique montrent que les citoyens sont de plus en plus conscients de la réalité du phénomène, mais pas vraiment, en revanche, des causes de ce réchauffement. Et donc des solutions que l'on pourrait apporter. C'est vrai aussi pour le personnel politique. François Hollande n'a pas caché qu'il avait réalisé tardivement l'ampleur du problème, notamment grâce aux rapports du Giec qu'il a étudiés de près dans la perspective de la COP 21 organisée en décembre prochain par la France. Cela a été, je crois, une révélation pour lui.  

Laurent Fabius et Ségolène Royal nous écoutent aussi, mais il faut bien comprendre que le Parti socialiste, de culture productiviste, commence seulement à s'emparer des questions environnementales, qui ne sont pas dans ses gènes. Rappelons que le chef de file des climatosceptiques, Claude Allègre, est issu de ses rangs.

les 6000 morts de 2015 sont bien de la responsabilité de ces deux derniers pour leur inertie .Ils ont refuse de prendre en compte la recommandation 1432 volontairement

Ils doivent etre juges pour ce crime contre l’humanité sans la moindre réserve

Claude Allegre voulait intégrer la vapeur d’eau des centrales nucléaires dans le climat

Il n'est pas le seul, Henri Atlan par exemple, biologiste et philosophe de renom, a expliqué qu'il ne faudrait pas faire des conclusions du Giec une religion…

Agriculture et exploitation de la forêt 2.1.1 On dispose aujourd'hui d'éléments de preuve suffisants pour supposer qu'un changement climatique aurait sur l'agriculture et le bétail des effets importants. Toutefois, les diverses études qui ont été réalisées ne permettent pas d'établir de façon concluante si, en moyenne, la capacité productive globale de l'agriculture augmentera ou diminuera. La modification des conditions météorologiques et de la situation des parasites résultant de l'évolution du climat, de même que les variations de l'ozone en surface liées à la pollution pourraient avoir des incidences régionales négatives qui nécessitent que l'on innove dans le domaine des techniques et des pratiques agricoles. Certaines régions seraient plus sévèrement touchées et l'on pourrait notamment enregistrer une forte baisse de la production dans celles qui sont aujourd'hui les plus vulnérables et, partant, les moins aptes à s'adapter.

L’utilisation des pesticides sont bien une corrélation avec les parasites et les pluies acides HNO3

 

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