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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
13 janvier 2018

Hulot le cagoulard a la solde du nucléaire et un bonimenteur de l'environnement

 

 

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Cen'est qu'un au revoir -Andre Rieu-Concert-Auld Lang Syne

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 Vapeur d'eau la realité

Formation de la neige industrielle

Lorsque la température est négative et que la grisaille est bien présente et sans vent, il arrive qu'il tombe un peu de "neige industrielle" ou "neige de pollution". Cette neige se forme lorsque l'air est déjà chargé d'humidité, à température négative et qu'il ne manque pas grand chose pour avoir de la neige. Les particules liées à la pollution s'accumulent à cause de l'absence de vent et favorisent la condensation de l'eau dans l'air humide et froid, ce qui crée de la neige. Le phénomène de condensation est naturel, mais il est favorisé par les particules dans l'air.

De plus, les usines rejettent souvent de la vapeur d'eau (résultant de l'incinération, des centrales électriques, des usines de pâte à papier, centrales nucleaires etc) et cette vapeur d'eau contribue à augmenter encore l'humidité de l'air stagnant au dessus de la zone. Lorsque les conditions naturelles sont presque réunies, il suffit du petit apport de l'industrie pour déclencher le phénomène qui donnera le (beau) et fin manteau blanc.

La neige industrielle n'est pas constituée de gros flocons (des pizzas ou des plumes comme disent certain.e.s passionné.e.s de météo et d'hiver), mais de petits grains blancs. En ville, les automobilistes n'aiment que rarement cette poudrée blanche...

La vapeur d'eau a une efficacité quatre fois supérieure au gaz carbonique pour absorber les infrarouges d'origine terrestre. Cette absorption est proportionnelle à la pression partielle de vapeur d'eau dans l'air, fort heureusement la vapeur d'eau n'a pas en principe une durée de vie très élevée dans l'atmosphère, cette durée de vie n’est pas  limitée par la pression de vapeur saturante de l'air humide qui représente la quantité maximale de vapeur d'eau que l'air peut contenir.Mais l'émission de la vapeur d’eau des centrales nucléaires est constante sur 24h

Les tours de refroidissement sont emblématiques des centrales nucléaires. Leurs fumées blanches trahissent de loin leur présence.

Si elles sont blanches, c'est qu'il s'agit en faite de vapeur d'eau. Il y a des gros risques de contamination radioactive à cause de ces panaches.

Cette vapeur d'eau se forme par évaporation de l'eau puisée par la centrale dans son environnement proche. Cette évaporation sert à refroidir le circuit secondaire de la centrale, responsable du fonctionnement des turbines électriques, lui-même séparé du circuit primaire où se trouve le combustible nucléaire.

La vapeur d’eau etant naturelle ou industrielle elle reste un gaz à effet de serre

Elle aggrave le dioxyde d’azote par l’acide nitreux qu’elle  va former dans la stratosphère

Une nouvelle étude, parue dans la revue Nature, dévoile de nouveaux mécanismes de production de l'acide nitreux (HNO2). Ce gaz est déjà bien connu et tient une place importante dans la chimie atmosphérique et particulièrement dans la pollution à l'ozone.

En effet, il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux libres (OH-). Associés aux composés organiques volatiles (COV), ces radicaux participent à la production d'ozone troposphérique, polluants généralement urbains à l'origine des brouillards et des « pics d'ozone » présents dans la troposphère, couche la plus basse et la plus polluée de l'atmosphère.

 

 

La vapeur d'eau est générée par l'évaporation des océans et des eaux de surface, ainsi que par l'évapotranspiration. Au cours de ce processus, la vapeur d'eau est libérée via les feuilles des plantes, la respiration des animaux et des hommes ainsi que l'évaporation des eaux souterraines.

 

Bien que l'atmosphère contienne peu de vapeur d'eau, elle exerce un effet important sur la météo et le climat. La capacité de l'air à contenir de l'eau dépend de la température. Plus l'air est chaud, plus il peut contenir d'eau. Lorsque l'air humide refroidit brusquement, il peut retenir moins d'eau et la vapeur d'eau qu'il contient va se condenser et se transformer en pluies (ou neige, grêle, rosée, brouillard…). En outre, la vapeur d'eau est aussi un important gaz à effet de serre.

 

L'augmentation de CO2 provoque le réchauffement de l'atmosphère, de sorte que plus d'humidité peut être absorbée (l'air chaud peut contenir plus d'eau que l'air froid). Ainsi, l'atmosphère peut continuer de se réchauffer. Autrement dit, une augmentation de la température augmente la capacité de l'atmosphère à retenir la vapeur d'eau et une concentration accrue de vapeur d'eau absorbe plus de chaleur. Ceci contribue à son tour à une nouvelle augmentation de la température. Voilà un exemple de rétroaction positive.

 

En outre, la vapeur d'eau (effet albédo) sous la forme des nuages reflète une partie des rayons du soleil durant le jour, de sorte que la température est tempérée. Il s'agit ici d'une rétroaction négative. La vapeur d'eau joue donc un rôle important dans les mécanismes de rétroaction tant positive que négative.

 

Des nuages hauts et minces retiennent plus de chaleur qu'ils ne réfléchissent la lumière, tandis que les nuages bas et épais font l'inverse. Étant donné que la vapeur d'eau a aussi bien des effets positifs que négatifs sur le réchauffement du climat, ce facteur complique les prévisions quant au futur de notre climat.

Le président du GIEC, Hoesung Lee, est un économiste coréen, le vice-président, Jean Jouzel, climatologue, est par ailleurs membre du Commissariat à l'Energie Atomique. Il a déclaré à la SFEN (Société Française de l'Energie Nucléaire) ; « il y a très peu de scénarios qui réussissent à garder sous la barre des 2°C (de réchauffement climatique, NDLR) sans nucléaire. »

 

Michel Petit, ancien responsable du groupe français des experts du GIEC, préside le comité scientifique de l'association « Sauvons le climat » . Dans un article du 5 novembre 2014 intitulé : « Oser le nucléaire pour trouver les solutions aux problèmes climatiques », il déclare : « Seuls les scénarios de « la catégorie Message » (Autriche) limitent le stockage du CO2 à 24 milliards de tonnes (24 Gt) grâce à un développement massif de la production d'électricité nucléaire entre 2060 et 2100, ou à une réduction drastique de la consommation énergétique » .Il ajoute aussi : « Un fort développement du nucléaire permet de maintenir la consommation d'énergie à un niveau raisonnable, de stabiliser la concentration de CO2dès 2060, de réduire considérablement sinon de supprimer les besoins de stockage de CO2et le recours aux combustibles fossiles plusieurs décennies avant la fin du siècle ».

Nonobstant le fait que l'uranium est aussi un combustible fossile, duquel on extrait une infime partie qu'est l'uranium 235 nécessaire au fonctionnement des centrales nucléaires, l'uranium est extrait dans des pays particulièrement instables politiquement, comme le Niger. Et le développement de l'énergie nucléaire risque de poser de sérieux problèmes géopolitiques, mais aussi économiques en raison de l'augmentation de la demande de minerai. Michel Petit aurait des actions chez AREVA qu'il ne s'exprimerait pas autrement !

D'ailleurs, à propos d'AREVA, Philippe Varin, président du conseil d'administration, a déclaré le 1er décembre 2015, dans Slate : « Le nucléaire est une technologie indispensable si le monde veut gagner le combat du climat. Ne perdons plus de temps dans les combats d'arrière-garde avec les climato-sceptiques ». Effectivement, AREVA ne doit pas perdre de temps pour renflouer les 4,5 milliards d'euros qu'elle a perdu dans un chantier d'EPR à la dérive en Finlande, et les contribuables français devront mettre la main à la poche pour payer les 3 milliards d'euros qui lient l’État à l'EDF pour le sauvetage d'AREVA !

Même l'AIE ne jure que par le nucléaire. Maria Van der Hoeven, directrice exécutive de l'AIE, a déclaré : « pour limiter efficacement l'augmentation de la température à 2°C, les capacités nucléaires doivent plus que doubler d'ici 2050. »

 

Brice Lalonde, ancien candidat écologiste aux présidentielles et ministre de l'environnement sous Mitterrand, gère actuellement pour la France, le « global compact », organisation chargée par l'ONU de proposer des solutions au changement climatique. Il a engagé Myrtho Tripathi, ancienne dirigeante d'AREVA, pour proposer des offres « nouveaux réacteurs » à

l'Inde. Elle a déclaré par ailleurs : « Le nucléaire est une des solutions d'aujourd'hui sans laquelle nous ne parviendrons pas à relever le défi du changement climatique ». Myrtho Tripathi a été détachée par AREVA pour faire partie des programmateurs de la COP 21.

On a bien compris les gros enjeux économiques et les conflits d'intérêts qui se cachent derrière cette mascarade, d'autant plus que l'objectif de la COP 21 est de lever 100 milliards de dollars par an auprès des pays dits développés. Les contribuables seront à nouveau mis à contribution avec de nouvelles taxes !

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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