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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
11 septembre 2017

Heure d'ete un fleau et une calamite pour le sommeil

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Ode à la Joie (L'hymne européen)

Le manque de sommeil rend les enfants obèses

Heure d ete un fleau et une calamite pour le sommeil Certes, en mars, nos soirées ont gagné 2h de soleil, mais ce n’est pas pour autant que nous sommes pressés de nous lever de bon matin quand le réveil se met à sonner.

"L’heure d’été entraîne une désynchronisation entre l’heure solaire, celle de nos montres et notre cycle circadien", explique Natalie Dautovich au Huffington Post. Chacun finit par ne pas s' habituer, mais à son rythme. Ceux pour qui l’adaptation est plus longue ressentiront davantage la fatigue, surtout en milieu d’après-­midi. "Notre corps aime les routines, et le cycle veille-

sommeil est particulièrement sensible, ce qui explique qu’un changement d’horaire puisse le perturber."

La france est devenue le premier consommateur de spycotrophes drogues dures et dangereuses pour la santé C'est du canbis legalisé par l'Etat français



  1. Cependant, elle constate que dans les pays qui appliquent l’heure d’été tout en maintenant l’avancement permanent de l’heure légale, notamment la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas, le décalage entre cette dernière et l’heure de méridien peut dépasser deux heures en été, créant ainsi la situation d’heure d’été double.

Recommandation 1432 (1999)

Respect du système de fuseaux horaires européens

Auteur(s) : Assemblée parlementaire

Origine - Voir Doc. 8564, rapport de la commission de l’environnement, de l’aménagement du territoire et des pouvoirs locaux, rapporteur: M. Briane. Texte adopté par la Commission permanente, agissant au nom de l’Assemblée, le 4 novembre 1999.

 

8. D’après certaines recherches et observations scientifiques récentes, ce décalage important et le déplacement des rythmes journaliers par rapport à l’heure de méridien qui en résulte sont à l’origine, dans ces pays, de certains effets qui affectent l’environnement, la santé et la condition physiologique et psychologique humaines.



Manger en famille, bien dormir et une bonne hygiène de vie seraient les clés pour lutter contre l'obésité infantile selon une nouvelle étude scientifique américaine.

Les enfants qui vivent dans des familles impliquées dans la gestion du sommeil, le temps passé devant les écrans et le partage des diners sont moins susceptibles de devenir obèses que les autres selon les résultats de cette étude publiée dans la revue médicale Frontiers in Psychology.

Les chercheurs de l'Université de l'Illinois ont analysé le sommeil de 337 enfants de moins de 7 ans, le temps qu'ils passaient devant un écran et le nombre de diners passés en famille.

LE MANQUE DE SOMMEIL JOUE SUR LA PRISE DE POIDS

Le manque de sommeil semble avoir un impact réel sur la prise de poids car il perturbe particulièrement la zone qui gère la satiété et l'alimentation. Ne pas assez dormir ferait donc grossir. Les enfants qui dormaient au moins 10 heures par jour étaient moins susceptibles de devenir obèses que ceux qui dormaient moins, et peu importe leur hygiène de vie. Comme les enfants semblent agir par mimétisme, il est important aussi que les parents aient une bonne hygiène de vie et un temps de sommeil suffisant. En effet, l'étude a aussi révélé que le manque de sommeil des parents a un impact sur le poids de leurs enfants. Ce constat a déjà été affirmé par de précédentes études.

"Nous avons fait une autre découverte intéressante, c'est que les aliments les plus caloriques étaient particulièrement recherchés par les personnes privées de sommeil" précise Matthew Walke de l'Université de Californie dans une étude publiée en aout 2013. "Toutes ces découvertes peuvent potentiellement expliquer le lien entre le manque de sommeil, le gain de poids et l'obésité" a-t-il ajouté, avant de conclure «qu'un sommeil suffisant pourrait permettre de mieux contrôler son poids, par le biais des mécanismes cérébraux régissant des choix alimentaires appropriés".

"La forte prévalence de surpoids et d'obésité chez les enfants et les adultes aux États-Unis continue d'être un problème majeur de santé publique" rappellent les chercheurs.

"Avoir une famille bien reposée devraient être une priorité pour les parents, a expliqué Barbara H. Fiese en charge de l'étude. Nous avons regardé combien de temps les parents dormaient ainsi que leurs enfants au sein du foyer et nous avons trouvé que les deux côtés étaient vraiment liés."

Obésité : quand le manque de sommeil pèse sur la balance...

"Qui dort moins, grossit plus" : ce nouveau dicton pourrait résumer les conclusions d'une étude conduite par des chercheurs québécois, publiée sur le site Internet de l'"International Journal of Obesity".



Obésité : quand le manque de sommeil pèse sur la balance...

Pour cette étude, Jean-Philippe Chaput, Marc Brunet et Angelo Tremblay, de la faculté de médecine de l'université de Laval, à Sainte-Foy (Québec), se sont appuyés sur des données recueillies dans le cadre du projet "Québec en Forme", qui vise à soutenir la mise en place d'actions de promotion des activités physiques et sportives chez les enfants de quatre à douze ans, notamment dans les écoles. Au total, leur travail a consisté à analyser les données de corpulence (taille, poids et tour de taille) collectées auprès de 422 élèves âgés de cinq à dix ans, ainsi que des informations complémentaires sur les habitudes de ces jeunes écoliers et le statut socioéconomique de leurs parents, recueillies lors d'entretiens téléphoniques avec les parents. En se fondant sur les résultats du calcul de l'indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur le carré de la taille), les chercheurs québécois ont constaté que 20% des garçons et 24% des filles pouvaient être considérés comme étant en situation de surpoids, voire carrément obèses. D'après les résultats de cette étude, les "petits dormeurs" (affichant moins de dix heures de sommeil par nuit au compteur) sont apparus 3,5 fois plus susceptibles d'être en surpoids que les enfants dormant au moins douze heures par nuit. Pour les enfants dormant de 10h30 à 11h30 par nuit, le risque de surcharge pondérale est multiplié par 1,42 par rapport aux enfants dont les nuits durent plus de douze heures. L'obésité parentale, un faible niveau d'éducation des parents, un faible revenu du foyer, le fait de passer de longues heures devant la télévision ou l'ordinateur et le manque d'activité physique, s'avèrent également significativement associés au surpoids ou à l'obésité, mais de façon moins marquée. Il existe donc une relation inverse entre la durée du sommeil et le risque d'apparition d'un surpoids ou d'une obésité infantile, mais des études supplémentaires doivent encore être conduites pour déterminer s'il existe un lien de cause à effet entre ces deux paramètres, concluent les auteurs. Si une telle relation de causalité est effectivement identifiée, elle pourrait s'expliquer, selon eux, par le fait que la durée du sommeil influence la libération d'hormones. En effet, le manque de sommeil réduit la synthèse de leptine -une hormone stimulant le métabolisme et participant à l'apparition de la sensation de satiété-, tandis qu'il stimule la libération de ghréline -hormone stimulant l'appétit-, expliquent les chercheurs québécois. "Au vu des résultats de cette étude, ma meilleure prescription contre l'obésité infantile consisterait à inciter les enfants à bouger plus et à s'assurer qu'ils dorment suffisamment", résume Angelo Tremblay dans un communiqué de presse diffusé par l'Université de Laval. (International Journal of Obesity, édition accélérée en ligne, 14 avril 2006)
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Une analyse italienne de grande ampleur montre que les risques d'obésité et de diabète augmentent chez les sujets dormant moins de cinq heures par nuit.

Les études épidémiologiques le montrent: une durée de sommeil courte est associée à une forte prévalence de l'obésité et du diabète, et l'insomnie elle-même est un facteur de risque pour ces deux pathologies.

D'après une méta-analyse italienne sur 45 études (soit plus de 600.000 participants), le risque d'obésité est augmenté de 55 % chez les sujets dormant en moyenne moins de 5 heures par nuit. Les mêmes auteurs ont montré dans une autre méta-analyse qu'une durée de sommeil inférieure à 6 heures augmentait de 28 % le risque de diabète de type 2.

Régulation de l'appétit

En revanche, il n'y a pas d'études consacrées spécifiquement au lien entre insomnie chronique sévère et obésité. Les études expérimentales existantes portent sur de courtes privations de sommeil, mais corroborent les observations épidémiologiques.

L'équipe de Karine Spiegel (Inserm/UCBL-U628, Lyon) a ainsi montré sur des adultes qu'une restriction de sommeil durant 2 à 7 jours altère la régulation neuro-endocrinienne de l'appétit. «La leptine, hormone qui signale au cerveau que vous avez assez mangé, est diminuée, et la ghréline, autre hormone qui stimule la faim, est augmentée, de même que la sensation de faim et d'appétit. D'autres études démontrent que les sujets en restriction de sommeil mangent plus, des aliments plus gras et plus sucrés», explique la chercheuse. La même équipe a montré que, lors d'une restriction de sommeil, la sensibilité à l'insuline et la tolérance au glucose sont diminuées, des tendances qui, sur le long terme, correspondent à une augmentation du risque de diabète de type 2.

Une des hypothèses implique l'orexine. Comme le précise Karine Spiegel, «identifié en même temps au cours d'études sur le sommeil et sur la nutrition, ce neuropeptide stimule le système de l'éveil dans le cortex, mais aussi le système sympathique, ce qui expliquerait son effet sur la leptine et la ghréline, ainsi que l'hypothalamus où est sécrété le neuropeptide Y qui stimule fortement l'appétit et le système de la récompense, augmentant le plaisir associé à la prise alimentaire». La privation de sommeil chez l'animal stimule ce système. «C'est probablement l'inhibition insuffisante de ce système lorsque la durée de sommeil est réduite qui explique les effets d'un sommeil court sur l'obésité et le diabète.»

Plus de muscle perdu

Dans une autre étude, des sujets en surpoids ont suivi le même régime amaigrissant, mais certains étaient en plus soumis à une privation de sommeil. Tous ont perdu le même poids, mais ceux qui avaient un sommeil court ont plus perdu de masse maigre, de muscle que les autres. Or la masse maigre participe à la régulation glucidique.

Il a aussi été montré, en suivant des adultes pendant six ans, que les petits dormeurs prenaient dans l'ensemble plus de poids que les autres, et qu'augmenter leur durée de sommeil freinait leur prise de poids.

L'insomnie augmente aussi la sécrétion de cortisol par une tout autre voie. Cette augmentation est responsable d'un accroissement de l'adiposité viscérale et de l'insulino-résistance, qui contribuent également au risque d'obésité et de diabète.

J ai honneur de vous annoncer des poursuites a l'encontre de la France sur l'Ozone et dioxyde d'azote 
Les seuils aux vegetaux et a la sante ne sont pas respectes par notre pays
De plus les sinistres du ministères de l’Écologie remettent en cause la conclusion du GIEC sur la responsabilité des activités humaines vis a vis des transports sans la moindre Etude scientifique prouvant le contraire
De plus l’étude sur l'acide nitreux hno2 a démontré l'importance des UV en 2006 par le SNRS et des scientifiques européens 
Le fait d'avancer de plus de 2h les activités humaines aggrave les polluants ozone et dioxyde d'azote de 40% à 60% sur une journée 
La recommandation 1432 du Conseil de l'Europe confirme cela 
Cette volonté de cacher la réalité est connue de l'agence de l’environnement Européen qui avait épinglé notre pays en 2003 sur un dépassement de 2342 impact sur l'annee 
Le rapport de la canicule en novembre 2003 n’avait même pas parle de dépassement de l'Ozone c’était une manipulation parlementaire volontaire 
La dite commission fut manipule par l'ADEME et le Ministère de l'Ecologie c'est un crime ainsi officiellement déclaré et conduit par le Premier Ministre de l’Époque en violation de l'article 223.6 du Code penal 
Le meme problème s'est produit en 2015 avec les 6000 morts 
Le Parlement Européen m' a donne raison en octobre 2016 en rejetant la directive changement d'heure et confirme le rapport du Parlement espagnol sur les méfaits de l'avancement des activités humaines par rapport au soleil et non au transports 
la pollution atmosphérique est une retombée pas une émanation 😯

 

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Commentaires
rechauffement climatique cop21 changement d'heure
  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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