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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
1 mars 2017

Quand l'airaq ment sur l'origine de la pollution en hiver

 

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La France et l'Airaq mentent sur l'origine de la pollution en augmentant la part des responsabilités sur les activités humaines sur la pollution

Le fait de déplacer les activités vis a vis du soleil aggrave les deux polluants ozone et dioxyde d'azote qui réagissent aux UV

Les responsable de l'Airaq augmentent volontairement la part des transports pour cacher la responsabilité de l’État

N02 . Ce gaz a, en effet, un potentiel de réchauffement global 270 fois supérieur à celui du C02 et a u ne action pote nti elle importante dans la destruction d e l a couche d'ozone et renforce une partie de l'Ozone troposphérique

La comparaison entre les impacts climatiques de l’élevage et ceux émanant des transports installe une idée fausse dans l’opinion publique. Largement médiatisée sous la formule « l’élevage émet plus de gaz à effet de serre que les transports », cette comparaison repose sur la mise en regard des chiffres du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture). Problème : ces deux organisations ne mesurent pas les même impacts.

Cette fiche rappelle les différences entre les méthodes d’évaluation des deux organisations :
– un périmètre très large pour l’élevage (de la production à la distribution) mené par la FAO grâce à la méthode d’analyse de cycle de vie ;


– un cadre restreint pour les transports (limité aux modalités d’usage du véhicule) dont les émissions sont évaluées par le GIEC grâce aux techniques d’inventaire.

En conclusion, la fiche rappelle que le GIEC évalue la contribution de l’élevage à 5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Cette fiche a été élaborée grâce au soutien d’Anne Mottet, chargée des politiques d’élevage à la FAO, et Etienne Mathias, chargé des projets agriculture au Citepa (Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique).

Mais on ne tient pas compte des boues des stations d’épuration étendue du mois de Mars a octobre qui génèrent du méthane,dioxyde d'azote et acide nitreux et COVl

Les boues d’épurations désignent le déchets à base de matière organique et de bactéries mortes produites par les stations d’épuration.Depuis 2002, ces stations de retraitement des eaux usées n’ont plus le droit d’enfouir leurs déchets sous terre. Elles défendent à présent le retraitement par épandage des terres agricoles, une solution économique à leurs yeux.

Mais plusieurs mouvements de protestations dans l’Aisne, dans le Cher et ailleurs, témoignent d’une défiance des campagnes face aux boues d’épuration d’origines urbaines, utilisées comme engrais pour les terres cultivables.

Au départ, l’épandage sur les terres cultivées permet de faire de l’engrais à partir de déjections animales (lisier et fumier). Dans les années 70, l’épandage a été étendu aux boues d’épurations des villes, pour bonifier les productions agricoles.

Ces boues sont des déchets produits par les stations d’épuration de traitement des eaux.  ». Le plan d’épandage prévu dans le Chère devrait toutefois entrer en vigueur au début de l’année 2010.

Dans l’Aisne, on dénonçait déjà un cocktail à retardement sur le plan sanitaire

Dans l’Aisne, c’est une révolte d’une ampleur comparable que les boues d’Archères ont cristallisées en 2004. Malgré un avis défavorable du Conseil Général, la préfecture avait décidé « l’épandage annuel de 20 000 tonnes de boues de la station d’épuration d’Achères, sur 8 500 hectares de surfaces agricoles ».

La réaction des agriculteurs, recueillie par un journaliste de l’AFP, en dit long sur les soupçons qui pèsent sur la dangerosité de ces engrais : « Ces boues ont une teneur trop forte en métaux lourds et sont trop riches en phosphore » estimait Hubert Duez, président de l’Union des Syndicats agricoles de l’Aisne.

Un responsable syndical agricole local n’hésite pas à dresser un parallèle avec les farines animales à l’origine de la vache folle : « A l’époque, on ne savait pas que c’était dangereux, et ça nous a coûté très cher. Pour les boues, on ne sait pas encore ce que seront les conséquences ».

S’il n’y pas de danger identifié à court ou moyen terme, on sait que les stations d’épurations sont incapables de supprimer des métaux lourds, du mercure, des polluants organiques et métalliques faiblement biodégradables, dioxines, PCB et pesticides et résidus médicamenteux .Un cocktail d’autant plus explosif sur le plan sanitaire, qu’il se propage dans les nappes phréatiques et touche l’ensemble de la chaîne alimentaire, via les fruits et légumes.

 

Les boues de stations d'épuration (STEP) ne renferment pas seulement des macro-éléments (azote, phosphore) et de la matière organique intéressants en fertilisation; ils contiennent également 2 sortes d'éléments indésirables, car potentiellement dangereux pour l'homme, les animaux ou l'environnement : ce sont les agents pathogènes et les contaminants chimiques.

 1. Les agents vivants pathogènes

 Dans les eaux usées, et donc les boues de station d'épuration, on trouve une flore microbienne abondante, banale et sans danger, mais on rencontre aussi des agents pathogènes, éliminés par des organismes vivants, malades ou porteurs inapparents, ou bien présents dans l'environnement.

 Ces bactéries, virus, parasites... dangereux sont présents en faible concentration, mais celle-ci est très variable selon les conditions de collecte et de traitement.

Lorsque le réseau est séparatif, la principale source de ces microorganismes pathogènes est représentée par l'élimination des matières fécales humaines; mais lorsque le réseau est unitaire, la contamination peut également provenir du lessivage de déjections animales variées (animaux de compagnie, oiseaux, rongeurs...). Par ailleurs, la charge des boues sera aussi augmentée lorsque  la station reçoit les effluents d'industries agroalimentaires (abattoirs, laiteries, équarissages...) ou d'établissements de soins (hopitaux, laboratoires...).

 L'évaluation du danger potentiel de l'épandage agricole des boues est difficile

-  d'une part parce que ces agents pathogènes sont très variés, souvent difficiles à identifier et à dénombrer dans ce milieu très particulier que représentent les boues de STEP

- d'autre part parce que le risque que leur présence soit source d'une infection chez l'individu qui y sera exposé est très complexe à évaluer. En effet, s'il est possible de définir une dose minimale infectante (DMI) pour l'homme ou l'animal , il est beaucoup plus hazardeux d'estimer le niveau réel auquel ceux-ci seront exposés, lors de la manipulation des boues ou après contamination de leur alimentation. De plus, la viabilité et la virulence des agents pathogènes peuvent être sensiblement altérées par les conditions de traitement des boues.

 Pour empêcher le risque de transmission de maladies infectieuses par l'usage des boues de STEP en agriculture, on dispose donc de 2 moyens :

1°) L'intervention sur les pratiques et les conditions d'épandage, telle que :

- interdiction sur production maraîchère et fruitière consommées à l'état de cru

- respect d'un délai avant la mise en culture ou la mise à l'herbe,

- enfouissement pour prévenir les risques liés au ruissellement...

 

2°) L'hygiénisation des boues, c'est à dire le traitement permettant de "réduire à un niveau non détectable les agents pathogènes présents".

Cette hygiénisation peut se faire par action de la chaux (chaulage), par séchage ou compostage thermique.

2. Les contaminants chimiques

 Les principaux polluants à surveiller en priorité sont les métaux dits "lourds", ainsi que certaines familles de molécules organiques peu biodégradables.

 

 D'où viennent ces contaminants?

 Les métaux lourds ou éléments traces métalliques (ETM): cuivre, zinc, plomb, cadmium, chrome, nickel, mercure, auquel il faut adjoindre un métalloïde le sélénium, proviennent en particulier

- des déchets du métabolisme, car plusieurs sont des oligo-éléments indispensables à l'organisme (Cu, Zn, Se)

- de diverses activités artisanales ou industrielles

- de pigments et peintures

- de produits de nettoyage

- de produits phytosanitaires...

Une partie est liée également au ruissellement de l'eau sur les toitures, gouttières et voies de circulation lorsque les réseaux sont unitaires.



La présence des composés organiques est la conséquence de l'emploi des dérivés du pétrole, des solvants, des détergents, des produits phytosanitaires, des produits de bricolage...

Deux familles sont principalement en cause

- les hydrocarbures polycycliques aromatiques (HPA)

- les polychlorobiphényls (PCB) et dioxines







 

Une compilation de près de 20 000 études et projections scientifiques par plus de 800 chercheurs. Voilà la somme que représente le cinquième rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui vient d'être intégralement achevé et s'avère bien plus alarmant que la précédente édition, en 2007.

Après un premier volet qui concernait l'état des connaissances scientifiques sur le réchauffement, publié fin septembre 2013, et un deuxième sur l'impact et l'adaptation du changement climatique en cours sur les sociétés et écosystèmes, fin mars, la troisième partie a été révélée, dimanche 13 avril, et concerne cette fois les mesures d'atténuation de ce dérèglement climatique. Voici une synthèse en dix points pour s'y retrouver dans ces travaux colossaux, les plus complets sur le sujet.

  • Jusqu'à 4,8 °C d'augmentation de la température d'ici à 2100

Les modèles climatiques prévoient, selon quatre scénarios plus ou moins pessimistes, une élévation de la température comprise entre 0,3 °C et 4,8 °C pour la période 2081-2100, par rapport à la moyenne de 1986-2005. La forte incertitude dépend en premier lieu des quantités de gaz à effet de serre qui seront émises dans l'atmosphère ces prochaines décennies.

Pour l'instant, la Terre s'est réchauffée de 0,85 °C depuis l'époque pré-industrielle, et les trois dernières décennies sont « probablement » les plus chaudes qu'a connu l'hémisphère Nord depuis au moins mille quatre cents ans. De 2000 à 2010, décennie qui a vu un retour en force du charbon, les émissions ont augmenté de 2,2 % par an contre 0,4 % en moyenne au cours des trois décennies précédentes. A ce rythme, le seuil des 2 °C supplémentaires, qui est l'objectif international réitéré lors des conférences successives des Nations unies sur le climat, sera franchi dès 2030. A l'exception du scénario le plus sobre en émissions carbonées, il est hautement improbable que la hausse des températures soit contenue dans cette limite de 2 °C.

  • Un réchauffement d'origine humaine

Les experts du climat estiment désormais « extrêmement probable » – c'est-à-dire, dans le jargon du GIEC, avec une probabilité supérieure à 95 % – que l'élévation de la température terrestre relevée depuis le milieu du XXe siècle est bel et bien le fait de l'accumulation des gaz à effet de serre d'origine humaine. Cette probabilité était évaluée à 90 % dans le précédent rapport

  • Une hausse du niveau des mers jusqu'à un mètre

Plus de réels doutes sur l'influence humaine

Le réchauffement observé depuis 1950 est "sans équivoque", précise le résumé à l'attention des décideurs, et le Giec estime aujourd'hui qu'"il est extrêmement probable [c'est à dire avec une probabilité d'au moins 9,5 chances sur 10 pour que l'affirmation soit correcte] que l'influence humaine sur le climat a été la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du vingtième siècle". Ce réchauffement est constaté à la lecture des données atmosphériques et océanographiques ainsi que dans les modifications du cycle global de l'eau, dans la réduction des couvertures neigeuses et glaciaires ou encore dans l'observation de certains évènements climatiques extrêmes.

Il s'agit d'un renforcement du consensus scientifique, le précédent rapport stipulant que "c'est avec un degré de très haute confiance [c'est à dire avec une probabilité d'au moins 9 chances sur 10 pour que l'affirmation soit correcte] que l'on peut affirmer que l'effet global moyen net des activités humaines depuis 1750 a été le réchauffement".

Ce constat se base, entre autres, sur les mesures de concentrations de gaz à effet de serre (CO2, méthane et oxyde nitreux) qui font apparaître aujourd'hui des niveaux records depuis au moins 800.000 ans. De même, les concentrations atmosphériques de CO2 ont augmenté de 40% depuis l'ère préindustrielle, du fait principalement des émissions anthropiques et, dans une moindre mesure, du changement d'affectation des sols. "Il est extrêmement probable que plus de la moitié de la hausse des températures globales moyennes de surface observée de 1951 à 2010 a été causée par la hausse des concentrations de gaz à effet de serre anthropiques", ajoute le Giec.

Aujourd'hui, les climatologues du Giec envisagent une hausse des températures comprise entre 1°C, pour le scénario le plus favorable, et 2°C, pour le scénario le plus pessimiste, sur la période allant de 2046 à 2065, par rapport à la période 1986-2005. Sur la période allant de 2081 à 2100, elle pourrait s'élever de 1°C à 3,7°C.

Quant à la hausse du niveau des océans, elle pourrait être comprise entre 24 cm et 30 cm, pour la période allant de 2046 à 2065, et de 40 cm et 63 cm, pour la période allant de 2081 à 2100.

Aux décideurs d'agir

Quelles conséquences auraient ces changements climatiques s'ils se matérialisaient ? Les spécialistes des impacts climatiques du deuxième groupe de travail rendront leur synthèse sur le sujet en mars 2014? Comment réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre ? Ce sont cette fois-ci les économistes qui répondront en avril 2014.

Objectif : convaincre les responsables politiques de signer un accord global sur le climat en décembre 2015 à Paris. Certes, "on ne connaît pas encore tout du climat, mais on en sait déjà suffisamment pour agir", a rappelé, en préambule à la présentation du rapport, Achim Steiner, directeur général du Programme des Nations unies pour l'environnement (Pnue), exhortant les décideurs politiques à agir. On peut néanmoins relever que le précédent rapport de 2007 apportait déjà suffisamment de certitudes, mais qu'elles n'ont pas abouti à un accord global en 2009 à Copenhague (Danemark).





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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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