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rechauffement climatique cop21 changement d'heure
6 juillet 2016

Heure d'ete (1942) danger pour votre peau

 

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Heure d’été danger pour la santé

Ne vous exposez pas entre 12 et 16 heures (heure légale d’été 1942), car les rayons du soleil sont alors verticaux et pénètrent plus dans la peau et l'intensité la plus élevée de la journée Quelques chiffres • En France, le cancer est la seconde cause de mortalité après les maladies cardio-vasculaires et plus de 150 000 décès lui sont imputables chaque année. C'est la première cause de décès prématuré (avant 65 ans) et la première cause de mortalité chez l'homme. •

• Environ 270 000 nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués chaque année. •

Le Premier Ministre peut etre poursuivit devant le justice en violation de l'article 223.1 du nouveau code de procédure pénale pour non application de la recommandation du conseil de l'Europe 1432 en vertu du traite de Lisbonne sur la santé Titre XIV : santé publique

Article 168

(ex-article 152 TCE)

1. Un niveau élevé de protection de la santé humaine est assuré dans la définition et la mise en œuvre de toutes les politiques et actions de l'Union.

L'action de l'Union, qui complète les politiques nationales, porte sur l'amélioration de la santé publique et la prévention des maladies et des affections humaines et des causes de danger pour la santé physique et mentale. Cette action comprend également la lutte contre les grands fléaux, en favorisant la recherche sur leurs causes, leur transmission et leur prévention ainsi que l'information et l'éducation en matière de santé, ainsi que la surveillance de menaces transfrontières graves sur la santé, l'alerte en cas de telles menaces et la lutte contre celles-ci.3 Le Parlement européen et le Conseil Européen , statuant conformément à la procédure législative ordinaire et après consultation du Comité économique et social, arrêtent les mesures visées au paragraphe 2, point b).

4. Les mesures arrêtées en application du paragraphe 3 ne peuvent empêcher un État membre de maintenir ou d'établir des mesures de protection plus strictes. Ces mesures doivent être compatibles avec les traités. Elles sont notifiées à la Commission.

Le cancer de la peau est préoccupant pour les personnes qui travaillent au grand air, exposées au soleil. Cependant, on peut réduire le risque de contracter cette maladie en étant bien informé du problème et en prenant des mesures pour prévenir l'exposition au soleil.

 

 

a lumière solaire émet-elle différentsLa meilleure façon d'éviter d'avoir un cancer de la peau est de réduire le temps d'exposition au soleil, et non de recourir aux crèmes solaires, montre une étude-bilan internationale.

Il vaut mieux éviter de s'exposer aux rayons du soleil qu'utiliser des crèmes pour se protéger des cancers de la peau, montre un bilan d'études publié dans la revue médicale The Lancet.

Alors que l'été est à nos portes, les dermatologues rappellent que la meilleure stratégie de prévention du cancer de la peau est la réduction au minimum du temps d'exposition au soleil.

Les produits solaires ne devraient pas être utilisés pour augmenter au maximum le temps d'exposition au soleil.

Ils invitent aussi les adeptes des activités extérieures à porter chapeau et vêtements protecteurs, et à opter pour des activités à l'ombre.

Le choix du textile est important, puisque certains laissent passer les rayons ultraviolets. Par exemple, une chemise en coton de couleur claire n'offre qu'un facteur de protection solaire faible.

types de rayonnements?

Oui. Les types de rayonnements émis par la lumière solaire comprennent :

  • la lumière visible, celle-là même qui nous permet de distinguer les couleurs

  • le rayonnement infrarouge, qui nous procure la chaleur que nous ressentons

  • le rayonnement ultraviolet (UV)

Sauf dans les situations extrêmes, ni la lumière visible ni le rayonnement infrarouge émis par le soleil ne causent de problèmes de santé. Il en va autrement du rayonnement ultraviolet (UV) dont les effets sur la peau sont néfastes.

Il existe trois grands types de rayons ultraviolets :

  • les UVA (rayons ultraviolets A ou UV de grandes longueurs d'onde)

  • les UVB (rayons ultraviolets B ou UV responsables des coups de soleil)

  • les UVC (rayons ultraviolets C ou UV de courtes longueurs d'onde)

 

 

 

Sur Instagram, Hugh Jackman a publié au début du mois un selfie où il porte un sparadrap sur le nez. Il annonce de cette manière qu’il s’est fait opérer d’un carcinome basocellulaire, un cancer bénin de la peau. Le cinquième pour l’acteur australien.

«S’il vous plaît, mettez de la crème solaire, et faites des contrôles réguliers» de votre peau, intime celui qui incarne le mutant Wolverine à l’écran. Une recommandation bienvenue contre le cancer de la peau, mais pas suffisante

Des scientifiques font de grandes révélations sur le cancer & la crème solaire Selon un article de juin 2014 paru dans The Independent (Royaume-Uni), une vaste étude menée par des chercheurs de l’Institut Karolinska en Suède a révélé que le taux de mortalité chez les femmes qui évitent les bains de soleil est deux fois plus élevé que celles qui prennent le soleil tous les jours.

L’étude épidémiologique a suivi 30 000 femmes pendant plus de 20 ans et « a montré que le taux de mortalité doublait chez les femmes qui évitaient l’exposition au soleil par rapport au groupe le plus exposé. »

Les chercheurs ont conclu que le dogme conventionnel, qui conseille d’éviter le soleil à tout prix et de s’enduire de crème solaire pour minimiser l’exposition au soleil, fait plus de mal que de bien en réalité.

C’est parce que le fait d’éviter le soleil et d’appliquer en plus un écran solaire empêche le corps de produire de la vitamine D3 à partir des rayons UVB du soleil, qui est de loin la meilleure forme de vitamine D.

Par exemple, aux États-Unis, la carence en vitamine D a atteint des niveaux épidémiques. Paradoxalement, la carence en vitamine D peut conduire à des formes agressives de cancer de la peau. Une étude révolutionnaire de 2011 publiée dans la recherche sur la prévention du cancer indique qu’un taux sanguin optimal de vitamine D offre une protection contre les coups de soleil et le cancer de la peau.

De plus, la vitamine D protège le corps contre les maladies telles que la sclérose en plaques, le rachitisme (chez les jeunes), la tuberculose, le diabète de type 1, la maladie intestinale inflammatoire, la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et le syndrome de Sjogren.

Selon le Vitamin D Council, des chercheurs de l’Université d’Alabama à Birmingham ont récemment rapporté que «le manque d’exposition au soleil peut conduire à un déclin cognitif au fil du temps. »

UN DERMATOLOGUE DISSIDENT

Bernard Ackerman, docteur en médecine, (décédé en 2008) était l’un des spécialistes les plus éminents au monde concernant le cancer de la peau et le soleil, les crèmes solaires et les risques de mélanome (cancer de la peau).

Vous trouverez ci-dessous les points de vue de Bernard Ackerman extraits d’un article du New York Times (20 juillet 2004), intitulé « « J’OSE M’AFFIRMER; un dermatologue qui n’a pas peur de dire la vérité » :

Le lien entre le mélanome et l’exposition au soleil (le dogme de la dermatologie) n’est pas prouvé. Il n’y a pas de preuve concluante que les coups de soleil causent le cancer. Il n’y a aucune preuve réelle que les crèmes solaires protègent contre le mélanome. Il n’y a aucune preuve que l’augmentation de l’exposition au soleil augmente le risque de mélanome.

Une étude suédoise de 2000 a conclu qu’il y avait un taux plus élevé de mélanome chez ceux qui utilisaient de la crème solaire par rapport à ceux qui n’en utilisaient pas.

CRÈMES SOLAIRES : DES PROTECTIONS CANCÉRIGÈNES

Le Docteur Elizabeth Plourde, scientifique basée en Californie qui a rédigé le livre sur les crèmes solaires « Biohazard : Treat as Hazardous Waste, donne de nombreuses informations sur les crèmes solaires qui sont une menace potentiellement mortelle pour la vie non seulement pour les gens mais aussi pour l’environnement.

Le Dr Plourde apporte la preuve que le mélanome malin et tous les autres cancers de la peau ont augmenté de façon significative avec l’utilisation omniprésente de crème solaire sur une période de 30 ans. Elle souligne que nombreuses crèmes solaires contiennent des produits chimiques qui sont des cancérogènes connus et des produits chimiques perturbateurs du système endocrinien.

Concernant l’environnement, elle constate que « dans les zones où il y a eu beaucoup d’exposition aux perturbateurs endocriniens (cocktail de produits chimiques), les coraux et d’autres populations marines sont morts et la prévalence de l’hermaphrodisme chez les poissons a augmenté.»

La recherche du Dr Plourde sur des souris et l’exposition à des crèmes solaires a également montré une augmentation de la mortalité des petits et de la mère ainsi que des problèmes de reproduction pour les générations suivantes.

De plus, le livre documente sur la façon dont les produits chimiques des crèmes solaires ont pollué nos sources d’eau y compris les océans, les rivières et l’eau potable municipale. Pire encore, des tests ont révélé que 97% des Américains ont des traces de produits chimiques des crèmes solaires dans le sang !

Le livre du Dr Plourde a également un chapitre sur l’importance de la vitamine D3 pour la santé, et elle part du principe que la généralisation de carence en vitamine D3 est liée à la surutilisation de la crème solaire combinée à l’évitement du soleil en général.  La véritable protection solaire…  …vient de votre alimentation!

Elizabeth Plourde a écrit: « La recherche a prouvé qu’une alimentation riche en antioxydants fournit à la peau une protection naturelle contre les radiations UV et IR (infra rouge) tout en favorisant une peau plus saine ».

Il existe même des classes d’anti-oxidants ayant un effet d’écran. Des études sont également en train de montrer qu’une « alimentation très riche en antioxydants et substances naturelles anti-inflammatoires, peut renverser et réparer des dommages causés par des périodes prolongées passées au soleil ».

Mangez des quantités de légumes de toutes les couleurs, surtout les légumes à feuilles vert foncé. Les fruits les plus riches en anti-oxidants sont les baies rouges telles que framboises, myrtilles, sureau. Les baies de goji et les fruits séchés du mûrier sont des concentrés de nutriments et d’anti-oxydants.

- See more at: http://www.espritsciencemetaphysiques.com/cancer-la-creme-solaire.html#sthash.2OEbNMHO.dpuf

La banane noircit comme l’épiderme

Il fallait y penser. La banane, quand elle mûrit, produit des taches noires qui contiennent une enzyme, la tyrosinase. Or un mélanome qui grandit exprime aussi de la tyrosinase. La chercheuse Tzu-En Lin, du laboratoire d’électrochimie physique de l’EPFL, a donc pu utiliser des bananes pour développer un dispositif de détection électrique du mélanome. Il s’agit d’une électrode souple, ressemblant à une sorte de pinceau, explique sa collègue 
Alexandra Bondarenko. Si l’on promène ce détecteur sur un échantillon de banane ou de peau, le courant varie selon la quantité de tyrosinase. L’équipe a testé le dispositif sur des échantillons humains provenant de neuf patients. «Actuellement, cela permet de déterminer s’il s’agit d’un mélanome de type II», le deuxième stade sur quatre de son évolution, explique la scientifique. Avec l’avantage que la couleur de la peau influence peu une telle mesure électrique contrairement à des méthodes de détection optiques. L’équipe aimerait désormais tester l’appareil 
en situation clinique et cherche des partenaires pour le faire.

Globules blancs, soldats contre le mélanome

Le traitement du mélanome est un domaine de recherche en pleine ébullition, explique le professeur Olivier Michielin, oncologue au CHUV. Au centre de ces recherches, l’idée de doper l’immunité du corps pour qu’il combatte plus efficacement la tumeur. Trois approches émergent. 

Depuis plusieurs années, on recourt à des médicaments comme l’ipilimumab. Il s’agit d’anticorps qui «stimulent le système immunitaire et l’activent de manière directe, explique le chercheur. Pour une fraction des patients, ils ont amené d’incroyables résultats.» 

Selon une approche plus expérimentale, l’équipe du professeur Michielin a développé une technique qui permet de «booster» par génie génétique les globules blancs du malade avant de les lui réinjecter. «On obtient ainsi un «superlymphocyte» qui peut bien mieux tuer les cellules tumorales, détaille-t-il. Les souris traitées survivent beaucoup plus longtemps. Nous aimerions commencer à tester ce traitement chez l’homme d’ici à deux ans.» 

Enfin, des essais de thérapie cellulaire vont démarrer au CHUV dans les prochains mois, grâce à l’arrivée récente des professeurs George Coukos et Lana Kandalaft dans l’institution. En résumé, il s’agit de prélever des globules blancs d’une métastase – ils sont probablement plus efficaces que leurs homologues que l’on trouverait ailleurs dans le corps –, de les multiplier, puis de les réinjecter au patient après une chimiothérapie. Les premiers résultats obtenus aux Etats-Unis sont très 
prometteurs.Quand Hugh Jackman dit de mettre de la crème solaire pour éviter le cancer, on a tendance à l’écouter. L’acteur, qui est connu pour sa sympathie et son professionnalisme, a aussi grandi en Australie, le pays le plus touché du monde par les tumeurs de la peau. Même si l’intention de celui qui incarne Wolverine à l’écran est louable, son message doit être nuancé. En effet, en matière de cancers de la peau, la réalité scientifique est plus compliquée. Tout d’abord, il n’y a pas un, mais des cancers de la peau. On en décrit en effet trois grands types, qui se distinguent par leur degré de nocivité et leur fréquence, et pour lesquels le soleil joue un rôle plus ou moins important.

Le carcinome basocellulaire, celui qui a touché Jackman, est le plus fréquent mais le moins dangereux car il crée rarement des métastases (des tumeurs qui se développent ailleurs dans l’organisme). Un autre type de carcinome, dit spinocellulaire, peut, lui, être plus grave. Mais celui dont on parle le plus est sans doute le mélanome, qui est en réalité le moins fréquent de ces trois cancers, mais le plus mortel car ayant un fort pouvoir métastatique. Les Suisses sont d’ailleurs plus souvent touchés que leurs voisins européens: 2400 Helvètes par an développent un mélanome et 300 en décèdent selon la Ligue suisse contre le cancer.

Soleil parmi les risques

«Les trois types de cancer de la peau sont liés à l’exposition solaire», explique le Dr Olivier Gaide, dermato-oncologue au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV). Pas de doute: plus on a pris le soleil et exposé sa peau à ses rayons ultraviolets (UV), et ce dès son plus jeune âge, plus on risque de développer un cancer de la peau. Ce lien est néanmoins moins fort pour le mélanome. Car ce type de cancer atteint aussi des personnes qui se sont exposées au soleil de manière raisonnable. De même, le mélanome peut toucher des zones du corps habituellement cachées, car protégées par des vêtements, même à la plage. En plus des rayons UV, le risque de mélanome est donc aussi influencé par d’autres facteurs. Il augmente si on a la peau claire, beaucoup de grains de beauté et si des membres de sa famille ont eux-mêmes eu un mélanome. Un système immunitaire affaibli – par exemple en raison d’une greffe d’organe ou d’un traitement contre certains cancers – favorise aussi son développement.

Comment s’en prémunir?

Pour se prémunir des cancers de la peau, les messages de prévention incitent, entre autres, à utiliser de la crème solaire pour protéger sa peau. Or, pour ce qui est du mélanome – le cancer de la peau le plus tueur, rappelons-le – la science reste incertaine. «Nous manquons d’études démontrant clairement que l’utilisation de la crème solaire diminue le nombre de mélanomes», affirme le Dr Gaide. Les spécialistes ne découragent pas son utilisation pour autant. «Mais si le seul message de protection contre le mélanome que le public entend est qu’il faut mettre de la crème, il est faux», résume le médecin. Ce message est en effet réducteur.

«Notre recommandation est beaucoup plus globale, poursuit le médecin. Il s’agit de consommer le soleil avec modération et avec tous les moyens de protection disponibles.» Pour prévenir le cancer, pas question de s’enduire de crème et de lézarder des heures en plein cagnard. Il faut limiter l’exposition, éviter les heures les plus chaudes de la journée et chercher l’ombre. «Entre midi et deux, aux Caraïbes, même la crème solaire la plus forte sera insuffisante», sourit Olivier Gaide.

Deuxième ligne de défense: porter des vêtements au tissage serré qui couvrent le corps, de même qu’un chapeau à large bord qui protège le visage et la nuque du soleil. «Une étude allemande a comparé la protection fournie à des enfants par des T-shirts anti-UV et de la crème solaire, détaille le dermatologue. Les résultats étaient sans appel en faveur des vêtements.» On le comprend d’ailleurs intuitivement: après deux heures dans l’eau, un T-shirt de surf fournit toujours le même écran à votre peau. Ce n’est pas le cas de la crème solaire qu’on devrait de toute manière réappliquer toutes les deux heures et après la baignade.

 

 

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  • Réchauffement climatique et déplacement des activités humaines par rapport au soleil Pétition nº 0193/2012 présentée par Erick Labrousse, de nationalité française, au nom du «Groupement pour le respect des fuseaux en Europe»
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